RDC : En prélude de l’ouverture de la session de Mars, la Première ministre a échangé avec le bureau de l’Assemblée nationale

Le Premier Vice-président de l’Assemblée nationale, le professeur Jean-Claude TSHILUMBAYI accompagné de ses collègues membres du bureau de la chambre basse ont reçu ce Mardi 11 mars, Madame la première Ministre Judith SUMINWA, cheffe du gouvernement.
Au centre des échanges, la question de la situation sécuritaire et les dispositions à prendre pour la rentrée parlementaire de Mars.”
Nous sommes aujourd’hui dans un contexte de guerre, d’occupation du pays,(…) Nous allons avoir la session parlementaire à la fin de la semaine, il était important qu’on fasse le point sur la situation actuelle et voir ensemble avec le bureau, un certain nombres de pistes de solutions à entrevoir pour pouvoir mieux gérer les choses et qu’ensemble avant la rentrée parlementaire nous soyons sur le même diapason.
L’Assemblée nationale va continuer à jouer son rôle de contrôle parlementaire, mais les échanges gouvernement-Assemblée nationale qu’on va avoir particulièrement avec le bureau vont nous permettre d’encadrer les futures échanges que nous allons avoir”, a déclarée Judith Suminwa .
La cheffe du gouvernement a rappelé son engagement pris devant le parlement au cours de son investiture, celui d’établir un cadre de collaboration permanent avec les deux chambres représentatives pour asseoir la paix définitive dans la partie orientale du pays.

Dialogue direct avec l’AFC/M23: Kinshasa se réveille enfin, mettant en avant la résolution 2773 du Conseil de Sécurité de l’ONU et attend voir la mise en œuvre de la démarche du médiateur angolais

L’Angola annonce qu’il va entreprendre des initiatives dans le cadre de la médiation.
Nous prenons acte et attendons voir la mise en œuvre de cette démarche de médiation angolaise.
Nous rappelons par ailleurs qu’il existe un cadre pré établi qui est le processus de Nairobi et nous réaffirmons notre attachement à la Résolution 2773″, a écrit Tina Salama.
“Le président angolais avait une responsabilité dans le cadre de la résolution 2773.
Divergence de vues avec les organisations régionalesCe tournant dans la crise sécuritaire dans l’Est de la RDC coïncide avec les divergences de vues entre Kinshasa et les organisations régionales.

Est de la RDC : pour assurer la couverture médiatique dans les zones occupées par l’AFC/M23, le Rwanda sélectionne et accrédite les journalistes étrangers, Vincent Karega est personnellement impliqué

Le Rwanda n’apporte pas seulement l’appui militaire aux rebelles de l’AFC/M23 comme l’ont attesté plusieurs rapports internationaux.
Le Rwanda est la voie obligatoire à emprunter pour entrer actuellement à Goma pour toute personne venant de l’extérieur.
« L’aéroport de Goma étant fermé, toutes les personnes se rendant à Goma doivent passer par le Rwanda », précise le rapport.
L’ancien ambassadeur du Rwanda à Kinshasa, Vincent Karega est également impliqué dans cette tâche.
Pour HRW, « la décision du Rwanda de traiter les accréditations de presse pour les zones contrôlées par le M23 est révélatrice de la proximité du pays avec le groupe armé ».

Exetat 2025 en RDC : au lieu de priver les élèves finalistes des zones occupées par l’AFC/M23 de passer cette épreuve, un député préconise l’ouverture d’un couloir humanitaire

Des incertitudes planent au sujet de la participation des élèves finalistes, vivant dans des zones sous occupation des rebelles de coalition M23/AFC, aux épreuves de l’examen d’État, édition 2025, prévue du 24 au 27 juin prochain, sur l’ensemble du territoire national de la RDC.
Pour lui, ils méritent « un accompagnement particulier pour ne pas réduire à néant leurs sacrifices et ainsi permettre de soulager tant soit peu leur souffrance ».
Et d’alerter : « La poursuite , par le gouvernement central, des services sociaux critiques tel que l’enseignement réaffirme l’unicité du pays et renforce la cohésion nationale, ultime rempart contre la menace de balkanisation ».
Des combats se mènent actuellement en profondeur dans des territoires où les rebelles s’emparent de nouvelles localités et cherchent à en occuper d’autres.
Kinshasa a pris acte et s’en tient toujours au processus de Nairobi pour la résolution de la crise.

Judo à Kinshasa : l’encadrement des jeunes athlètes sollicité par un club de Ngiri-Ngiri

Kinshasa, 12 mars 2025 (ACP).- L’encadrement des jeunes athlètes a été sollicité, mercredi, au cours d’une réunion d’un club de judo, dans la commune de Ngiri-Ngiri, au centre de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, afin de leur éviter tout comportement de délinquance.
« Pour l’encadrement des jeunes judokas, nous sollicitons l’aide du gouvernement ainsi que celle des personnes de bonne volonté, afin d’éviter ces jeunes pratiquants du judo, les comportements inhérents à la délinquance juvénile et autres facteurs qui nuisent à l’éducation de nos enfants », a déclaré Roger Kany, responsable du club de judo Dynam de Ngiri-Ngiri.
Dynam, un club de judo de plus de soixante ansLes athlètes du JC Dynam de Ngiri-NgiriPour rappel, Dynam, club de judo de la commune de Ngiri-Ngiri est considéré, dans les annales de cette discipline à Kinshasa, comme l’un de plus anciens de la ville.
Fondé en 1961, par le maître Jean Kapata, le club Dynam est le deuxième de la ville de Kinshasa.
Le Club Dynam qui fonctionne, dans une double vacation, de 16h 00 à 17h 45 pour les enfants et de 18h 00 à 20h 30, pour les adultes, et compte à son actif, un effectif d’environ 150 enfants.

RDC : un protocole d’accord pour promouvoir le tourisme conclu entre deux structures étatiques

Et la faible organisation et règlementation des agences touristiques, le besoin de renforcement des capacités à tous les niveaux », a –t-elle relevé.
Ce protocole d’accord est plutôt l’expression d’ambitions plus grandes de ces deux structures étatiques pour la promotion du tourisme en RDC.
Un concours heureux des circonstances, ce protocole d’accord est signé par deux femmes mandataires de l’Etat durant le mois de mars, mois dédié à la femme.
Elle a remercié la directrice générale de l’ANAPI ainsi que toute son équipe pour la concrétisation de ce partenariat dont les démarches ont commencé il y a plus de deux ans.
Ce partenariat, a-t-elle conclu, « peut nous permettre d’atteindre efficacement nos objectifs communs fixés (…) dans un cadre de mutualisation d’efforts à promouvoir davantage le tourisme congolais et de transformer le potentiel économique … ».

Haut-Katanga : plaidoyer pour l’intégration du genre à tous les niveaux de la vie

Lubumbashi, 12 mars 2025 (ACP).- Un plaidoyer pour l’intégration du genre à tous les niveaux de la vie a été formulé lors d’une conférence organisée mardi, à l’Université de Lubumbashi, dans la province du Haut-Katanga au sud-est de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP des organisateurs.
Selon elle, le genre est un concept qui se rapporte aux comportements, aux attributs que la société accorde à toute personnes homme ou femme.
«Comme sur le plan professionnel cette conception de dire que le genre féminin sa place c’est à la cuisine et est destinée à faire un travail non rémunérateur, tandis que le genre masculin est appelé à faire un travail rémunérateur.
« Le concept genre n’est pas seulement à propos des femmes mais plutôt des relations entre personnes de tout genre c’est-à-dire homme et femme et à tous les niveaux », a précisé la cheffe de travaux.
La femme appelée à prendre conscience et à se valoriser« Chaque jour, il y a des thèmes qui sont publiés, l’autonomisation de la femme.

Le CNPAV annonce un forum pour évaluer la mise en œuvre de l’Avenant 5 à la convention SICOMINES

La coalition Congo n’est pas à vendre (CNPAV) annonce la tenue, le vendredi 14 mars 2025, à Kinshasa, d’un forum de « haut niveau » afin d’évaluer la mise en œuvre de l’Avenant 5 à la convention SICOMINES, signé il y a exactement un an entre la République démocratique du Congo (RDC) et ses partenaires chinois.
Ce communiqué précise que ces assises ont pour but de :• Examiner les avancées et les défis liés à la mise en œuvre de l’Avenant 5 à la convention SICOMINES ;• Débattre des recommandations des rapports de l’ITIE et de l’IGF sur la gestion des ressources minières en RDC et ;• Identifier les obstacles potentiels et proposer des mesures pour garantir la transparence et l’efficacité des investissements prévus.
En 2008, la RDC avait signé une convention avec un consortium d’entreprises chinoises, établissant le projet Sicomines sous le principe « minerais contre infrastructures ».
« Ce partenariat, malgré son ambition initiale, a soulevé de nombreuses critiques quant à son exécution, notamment en matière de transparence et d’équilibre économique entre les deux parties.
L’Avenant 5, signé le 14 mars 2024, vise à rééquilibrer cette convention, notamment en augmentant les investissements en infrastructures de 3,2 à 7 milliards de dollars américains et en renforçant la participation congolaise dans la gestion de la Sino-congolaise Hydroélectrique (SICOHYDRO).

Le CNPAV annonce un forum pour évaluer la mise en œuvre de l’Avenant 5 à la convention SICOMINES

La coalition Congo n’est pas à vendre (CNPAV) annonce la tenue, le vendredi 14 mars 2025, à Kinshasa, d’un forum de « haut niveau » afin d’évaluer la mise en œuvre de l’Avenant 5 à la convention SICOMINES, signé il y a exactement un an entre la République démocratique du Congo (RDC) et ses partenaires chinois.
Ce communiqué précise que ces assises ont pour but de :• Examiner les avancées et les défis liés à la mise en œuvre de l’Avenant 5 à la convention SICOMINES ;• Débattre des recommandations des rapports de l’ITIE et de l’IGF sur la gestion des ressources minières en RDC et ;• Identifier les obstacles potentiels et proposer des mesures pour garantir la transparence et l’efficacité des investissements prévus.
En 2008, la RDC avait signé une convention avec un consortium d’entreprises chinoises, établissant le projet Sicomines sous le principe « minerais contre infrastructures ».
« Ce partenariat, malgré son ambition initiale, a soulevé de nombreuses critiques quant à son exécution, notamment en matière de transparence et d’équilibre économique entre les deux parties.
L’Avenant 5, signé le 14 mars 2024, vise à rééquilibrer cette convention, notamment en augmentant les investissements en infrastructures de 3,2 à 7 milliards de dollars américains et en renforçant la participation congolaise dans la gestion de la Sino-congolaise Hydroélectrique (SICOHYDRO).

Accepter les Notifications pour ne pas rater les news de la RDC OK No