Day: March 11, 2025

Le collectif chrétien “Union de prières pour la nation” invite les croyants à un rassemblement, ce samedi 15 mars à la Cathédrale du Centenaire Protestant, dans la commune de Kasa-Vubu.
L’objectif de cette rencontre est de prier pour la nation, confrontée à une crise sécuritaire alimentée par la guerre d’agression qu’elle subit.
Cette structure, qui rassemble des croyants de diverses confessions, a publié un communiqué signé par le pasteur Pierre Ngolu, précisant que ce rassemblement vise à implorer l’intervention divine pour la paix et l’unité en République démocratique du Congo.
« Nous lançons un appel solennel à tous les croyants, églises, associations chrétiennes et citoyens congolais, où que vous soyez.
S’appuyant sur des passages bibliques, il souligne que cette initiative se veut un moment de repentance, d’adoration et d’intercession inspiré des Saintes Écritures.

La force de la MONUSCO et le gouvernement provincial du Nord-Kivu se sont accordés pour renforcer les actions militaires conjointes visant à sécuriser la population de cette province.
Ces deux officiers supérieurs ont, ensemble, analysé les mécanismes permettant de mener à bien les opérations conjointes entre les FARDC et la force de la MONUSCO, en vue de protéger les civils.
Devant la presse à Beni, le général Ulisses de Mesquita Gomes a réitéré l’engagement de la MONUSCO à adopter de nouvelles stratégies pour une meilleure protection des civils.
Il a également affirmé s’être rendu à Beni pour établir la force temporaire, soulignant que la présence du commandant de la force onusienne à Beni, pour travailler avec les FARDC et la FIB, est cruciale.
De son côté, le gouverneur militaire du Nord-Kivu s’est engagé à accompagner et à faciliter les actions sur le terrain.

2025-03-112025-03-112025-03-112025-03-11Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/10-16/le_depute_tobie_kayumbi_11_mars_2025.jpgLes travaux de modernisation de la voirie urbaine et de lutte antiérosive dans la ville de Mbuji-Mayi, au Kasaï oriental, sont actuellement à l’arrêt, suscitant l’inquiétude de la population et des autorités locales.
Face à cette situation, le député national Tobie Kayumbi a déposé une question écrite à l’Assemblée nationale adressée au ministre des Finances, Doudou Fwamba, pour demander des éclaircissements sur le taux d’exécution financière de ces projets.
Dans sa missive, le député Kayumbi s’appuie sur les articles 100 et 138 de la Constitution, ainsi que sur les articles 181 et 189 du Règlement Intérieur de l’Assemblée nationale.
Les travaux, qui visent à moderniser les infrastructures routières et à lutter contre l’érosion, sont d’une importance cruciale pour la ville.
Connu pour son engagement en faveur du développement du Kasaï Oriental, Tobie Kayumbi a réitéré sa détermination à défendre les intérêts de sa région à l’Assemblée nationale.

2025-03-112025-03-112025-03-112025-03-11Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/10-16/felix_tshisekedi_et_joao_lourenco_11_mars_2025.jpg.pngAprès le tête-à-tête de ce mardi 11 mars entre le président Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et son homologue angolais João Lourenço, Luanda a annoncé que des contacts seront établis avec le M23.
Selon ce communiqué rendu public sur la page Facebook de la présidence angolaise, l’objectif est d’arriver aux négociations directes entre la RDC et les M23.
L’annonce a été faite à l’issue du tête-à-tête Tshisekedi-Lourenço, tenu mardi 11 mars à Luanda, en Angola.
Le sommet conjoint EAC-SADC, tenu le 8 février, avait décidé de fusionner les processus de Nairobi et de Luanda, deux initiatives axées sur la facilitation du dialogue entre la RDC et divers groupes armés dans l’est de la RDC, notamment le M23, et sur l’apaisement des tensions diplomatiques entre la RDC et le Rwanda.
Cependant, il semble actuellement y avoir un manque de clarté sur la manière dont ce processus fusionné se déroulera.

Kinshasa, 11 mars 2025(ACP).- Un accord de résorption des arriérés de salaires des agents retraités de l’Office national des transports (Onatra) a été signé lundi à Kinshasa en République démocratique du Congo (RDC) lors d’une réunion de travail entre le Vice-premier ministre en charge des Transports, des représentants de la Direction générale des douanes et accises (DGDA) et de l’Onatra, pour finaliser l’accord visant à injecter un fonds social dans cet office.
« (…) aujourd’hui nous venons d’atterrir sur la signature d’un accord des résorption des arriérés de salaires des agents retraités de l’Office national des transports (Onatra) », a déclaré Martin Lukusa, directeur général de l’Onatra.
Vous comprenez que notre gouvernement met tout en œuvre pour résoudre définitivement la question des arriérés de salaires et des décomptes finaux des agents, tout en permettant à l’entreprise de retrouver son équilibre et de lancer un développement durable ».
Accompagné de l’ensemble de son comité, il a exprimé sa satisfaction et son enthousiasme, considérant cette étape comme un « atterrissage réussi ».
Dans cette dynamique, il a précisé que dans un délai de 48 heures, des discussions seront entamées avec la Direction générale des douanes et accises (DGDA) afin de mettre en commun les ressources et lancer les opérations de paiement des décomptes finaux et des arriérés de salaires.

« Durant la semaine sous examen, le baril de pétrole a accusé une baisse hebdomadaire de 3,90% sur les marchés internationaux en se négociant à 72,93 dollars américains le baril par rapport à la période précédente, au cours de laquelle, il s’est négocié à 75,89 USD », a-t-on lu.
Évolution des prix des produits de première nécessitéLa note de conjoncture économique a souligné que les prix de la tonne du riz, du blé et du maïs se sont établis respectivement à 300,44 USD, 207,58 USD et 177,17 USD, enregistrant des baisses hebdomadaires de 2,23 %, 3,80 % et 3,21 %.
A cet effet, une offre abondante avec la reprise des exportations de l’Inde explique la baisse du prix du riz.
Pour ce qui est du blé et du maïs, les baisses font suite à des conditions météorologiques favorables aux cultures qui vont conforter l’offre.
Par rapport à leurs niveaux de fin décembre 2024, le prix du riz affiche une baisse de 2,96 % tandis que ceux du blé et du maïs des hausses respectives de 2,45 % et 5,05 %.

« Au 28 février 2025, le cours indicatif s’est globalement stabilisé à son niveau du 21 février courant, soit 2 856,10 CDF le dollar américain.
Au parallèle, le franc congolais s’est légèrement déprécié de 0,13 %, en rythme hebdomadaire, situant le cours à 2 886,25 CDF », a-t-on lu.
La source a relevé que depuis le mois de mai 2024, le taux de change sur les deux segments a fluctué dans le plateau de 2 800 CDF le dollar américain.
La croissance économique soutenue par le dynamisme des industries extractivesPar ailleurs, la source précise que la conjoncture économique intérieure reste marquée par la poursuite d’une relative stabilité tant sur le marché des biens et services que sur celui des changes, attribuable à une meilleure coordination des politiques budgétaire et monétaire.
Cette évolution est essentiellement attribuable à l’accroissement de la consommation de l’internet et des paiements par téléphonie mobile, dopés par une multiplicité d’offres promotionnelles dans ce secteur.

Kinshasa, 11 mars 2025(ACP).- Le taux d’inflation mensuel sur le marché des biens et services en République démocratique du Congo a enregistré une baisse en s’établissant à 0,71% en février 2025 contre 1,01% le mois précédent, selon la note de conjoncture de la Banque centrale du Congo, consultée mardi par l’ACP.
Le taux d’inflation mensuel a enregistré une baisse, en s’établissant à 0,71% en février 2025 contre 1.01% le mois précédent», a-t-on lu.
Selon la source, la dernière semaine de février 2025, l’inflation hebdomadaire a légèrement ralenti à 0,18 % contre 0,19 % la semaine précédente.
A cet effet, le cadrage macroéconomique élaboré dans le cadre du Programme avec le FMI renseigne un taux d’inflation fin période de 7,8 % pour l’année 2025.
À cela s’ajoutent l’escalade des conflits géopolitiques, le changement climatique et une croissance plus faible dans les grandes économies.