RDC : lancement d’un projet de création des centres socio-culturels dénommés “Mama Muilu”

2024-12-072024-12-072024-12-072024-12-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/02-08/fardc_patrouille_2415.jpgCe samedi 7 décembre, des altercations violentes entre l’armée congolaise et les chauffeurs de taxis ont conduit à la tragique perte de deux vies humaines à Nziapanda, une localité située dans la ville de Butembo, dans la province du Nord-Kivu.
Ces derniers ont été transférés vers la ville de Beni, ce qui a provoqué l’ire des chauffeurs de taxi.
En signe de protestation contre ces arrestations jugées arbitraires, les conducteurs ont barricadé la route, interrompant ainsi toute circulation.
Cette situation a provoqué une paralysie totale des activités dans la région, impactant particulièrement les échanges commerciaux et la mobilité des habitants.
Les autorités n’ont pas encore précisé les raisons exactes de ces arrestations, mais cet incident met en lumière les tensions croissantes entre les forces de sécurité et la population locale, déjà fragilisée par la situation sécuritaire instable dans le Nord-Kivu.

Le Parlement européen a adopté, ce jeudi 23 janvier 2025, à main levée une résolution sur le respect des droits humains en République démocratique du Congo.
Dans son communiqué de presse parvenu à 7SUR7.CD, il condamne les peines de mort « prononcées » en RDC et appelle à des réformes du système judiciaire.
« Les députés condamnent fermement les condamnations à mort prononcées en RDC, y compris celle de Jean-Jacques Wondo, et les graves violations du droit à un procès équitable.
Exprimant leur profonde préoccupation face à la détérioration de la santé de Jean-Jacques Wondo, ils appellent également à sa libération immédiate et à un accès urgent à des soins médicaux », lit-on dans ce communiqué.
Réaffirmant son opposition catégorique à la peine de mort, le Parlement exhorte le gouvernement congolais à rétablir un moratoire sur les exécutions et à prendre des mesures pour abolir « totalement» cette décision.

Kinshasa, 20 janvier 2025 (ACP/APS).- La réunion ministérielle du Conseil de sécurité (CS) consacrée à « la situation au Moyen Orient, y compris la question palestinienne » sera présider par le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, a rapporté lundi l’Algérie presse service.
M. Attaf chargé par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune séjourne à New York aux Etats – Unis d’Amérique.
Cette réunion qui marquera l’ouverture, au Conseil de sécurité de l’ONU, du débat trimestriel sur la question, verra la participation du secrétaire général de l’organisation, Antonio Guterres qui devrait prononcer une allocution.
Fin décembre, dans un discours devant le Parlement, réuni en congrès, le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, avait assuré que l’Algérie n’abandonnerait jamais la Palestine et la soutiendra jusqu’à l’établissement d’un Etat, avec El Qods pour capitale.
La réunion de lundi sera l’occasion pour l’Algérie, qui préside le Conseil de sécurité pour le mois de janvier, d’appeler à la fin de l’occupation et la création d’un Etat palestinien indépendant et souverain.