L’accès à l’argent à Goma, sous occupation du M23 : un casse-tête avec la fermeture des banques

“Les messages de certaines autorités appelant la population de Goma au calme car la situation était sous contrôle, ont désorienté les habitants, à quelques heures de l’incursion du M23 », a déclaré vendredi 31 janvier Butaragaza, coordonnateur national de la Dynamique génération consciente, une structure basée à Goma au Nord-Kivu, au cours d’une interview à Radio Okapi.
Ce dernier séjourne à Kinshasa en provenance de Goma qu’il a quitté quelques jours avant l’entrée des rebelles du M23 soutenus par le Rwanda.
Dans cette interview, il explique le climat qui a régné dans le chef-lieu de la province du Nord-Kivu, a la veille des évènements.
Il s’entretient avec Grâce Amzati/sites/default/files/2025-02/010225-p-f-kininvitejohnsonishara-00_web.mp3

Les uns les décrient et les autres les trouvent salutaires.
4 causes d’embouteillagesComme pour se défendre, il évoque « 4 piliers (ou causes, à la base des embouteillages à Kinshasa).
Autour du boulevard, il y a 19 avenues qui sont impraticables, surtout quand il pleut, les gens préfèrent ne pas les prendre ».
Ils vont se terminer dans trois semaines, maximum un mois et il y aura une plus grande fluidité.
Favorable donc à la révision Constitutionnelle, « je vois 4 articles qui pourraient nous aider à évoluer (s’ils étaient retouchés).

Bulungu, 24 février 2025(ACP).- Le prix d’huile de palme a connu une hausse de 60%, passant de 25.000 FC à 40.000 FC pour un bidon de 25 litres sur les différents marchés de la cité de Bulungu et ses environs au Kwilu, dans le sud- ouest de la République du Congo.
« Cette hausse de prix d’huile de palme de 25.000 à 40.000Fc ainsi que sa rareté sur les marchés se justifient par des pluies répétées malgré la mi-saison sèche.
D’où les coupeurs craignent la montée sur les palmiers de peur qu’ils tombent », a rapporté Adjan Mulula, coupeur des noix de palme.
Outre les raisons climatiques, tel que renseigne M. Mulula, le facteur non négligeable reste le vieillissement des palmiers ne pouvant plus donner un bon rendement, à tel point que les ménages manquent également les noix de cette plante pour la cuisson des aliments.
De leur côté, les preneurs de ce produit franchissent de longues distances pour en acheter en faible quantité, signale M. Mulula.