Eliminatoires Coupe du monde U17 dames : les Congolaises affrontent les Béninoises ce dimanche

Dans la ville de Bukavu, conquise par les rebelles, la vie n’a toujours pas repris son cours normal.
Depuis vendredi dernier, toutes les activités restent paralysées à cause des pillages qui ont suivi le retrait des Forces armées congolaises de la ville pendant que les rebelles stationnaient à Kavumu.
Toutes les activités sont à l’arrêt.
La ville est sale, des déchets et détritus des biens pillés sont visibles à travers les rues.
Dans un communiqué, dimanche dernier, le gouvernement à accusé le Rwanda de refus de respecter les conclusions du récent sommet conjoint EAC-SADC.

Bruxelles, 06 mars 2025 (ACP).- Le parlement du Grand-Duché de Luxembourg a voté mardi, à l’unanimité, une motion pour le retrait des troupes rwandaises du territoire de la République démocratique du Congo et pour le soutien des sanctions européennes contre des personnalités rwandaises responsables des exactions dans l’est de la RDC.
« La Chambre des députés invite le gouvernement à intervenir auprès du gouvernement rwandais en vue du retrait des troupes en RD Congo » et « à soutenir l’adoption des sanctions européennes ciblées à l’encontre des responsables rwandais des exactions commises en RD Congo », indique un document du parlement luxembourgeois parvenu mercredi matin à l’ACP.
Les députés luxembourgeois appellent également le gouvernement de leur pays à « renforcer l’engagement diplomatique du Luxembourg au sein de l’Union européenne et des Nations unies pour œuvrer à une solution diplomatique garantissant le respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de la RD Congo », ajoute la même source.
Selon le communiqué, la Chambre du Grand-Duché a ainsi tenu à réagir face à « l’intensification du conflit actuel en RDC, notamment l’offensive du M23 qui a conduit à la prise des villes de Goma et de Bukavu, avec des conséquences humanitaires graves ».
La motion a été motivée par « les récents événements dans l’est de la RDC, qui ont provoqué le déplacement de 70 000 personnes, de nombreuses victimes civiles ainsi que des violations des droits humains signalées par des organisations internationales, notamment des cas de violences sexuelles et d’autres exactions contre les populations vulnérables », explique le communiqué.