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Le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) révèle que, sur une population de 1000 habitants au Kwilu, 194 ont souffert du paludisme en 2024.
« Jusque-là, nous avons l’incidence, c’est à 194 pour 1000 habitants.
C’est ça la moyenne du pays.
Mais nous sommes à 194 pour 1000 habitants, ça ce sont des données de l’année 2024 », a détaillé Dr Aimé Yiyi.
Et ce phénomène a fait que ça puisse influencer nos données ».
Author(s): radiookapi.net
Source: Access the article
Ce don collecté auprès de la population est constitué notamment de près de deux tonnes de riz, farine de maïs et biscuits.
Selon les initiateurs, c’est un signe d’amour et de patriotisme destiné à renforcer la collaboration entre les civils et les militaires.
Et ce geste est vraiment très positif qui signe le soutien de cette population à ces forces armées de défense et de sécurité ».
Pour cette autorité militaire, ce geste est aussi un signe d’union entre la population et l’armée.
Donc, tous ensemble si nous sommes unis, nous serons forts et nous allons bouter dehors cet ennemi, cet agresseur qui est le Rwanda et ses supplétifs le M23 », a déclaré le colonel Alain Kiwewa.
Vérification des faitsAprès vérification, il apparaît que le communiqué a plusieurs fautes d’orthographes, ne comporte ni signature ni date, ce qui remet en cause son authenticité.
Contactée par le service Debunkage de l’ACP, la cellule de communication du gouverneur de Kinshasa a formellement démenti cette rumeur en déclarant :“Si vous parlez de ce message, c’est une intox.
Cette initiative vise à restaurer la sécurité dans la capitale et prévoit de s’étendre à d’autres grandes villes du pays confrontées à des taux de criminalité préoccupants.
ConclusionLe gouvernement provincial de Kinshasa n’a lancé aucune opération “Kanga Munguna”.
Il s’agit d’une fausse nouvelle destinée à semer la confusion.
Ni la haine ni le favoritisme ni la corruption ni le tribalisme ne caractérisent sa personnalité ».
La loyauté, la rigueur, la discipline, la régularité et le bien-être des agents sont les axes centraux de son cheval de bataille », conclut la mise au point.
L’article publié, vendredi, accusait le secrétaire général aux Affaires sociales de tribalisme, haine et favoritisme.
Selon cet élément publié par un média en ligne, il aurait opéré des mises en place irrégulières dans l’administration des Affaires sociales.
Des allégations que rejette la Cellule technique d’appui au Secrétariat général aux Affaires foncières.