“Ils viendraient nous aider ?” : Trump remet à nouveau en cause l’engagement américain dans l’Otan

Les engins explosifs causent de plus en plus d’accidents sur l’axe Eringeti-Kainama, dans le territoire de Beni, au Nord-Kivu.
En un mois, trois accidents mortels pour les civils ont été signalés dans cette zone.
La victime est décédée des suites de ses blessures à l’hôpital général de Beni, où elle avait été conduite pour recevoir des soins.
Deux semaines auparavant, trois autres accidents similaires ont été signalés entre Mayi-Safi et Mama-Neema, sur le même axe routier, tuant deux civils, selon la société civile locale.
L’axe routier Eringeti-Kainama est actuellement la seule voie reliant le territoire de Beni à la province de l’Ituri, via le territoire d’Irumu, depuis que l’axe routier Beni-Luna-Komanda est devenu impraticable.

Kinshasa, 14 décembre 2024(ACP/MAP).- Le Maroc est le pays le mieux placé et qui dispose de la plus grande « légitimité » pour représenter le continent africain en tant que membre permanent du Conseil de sécurité, a affirmé, à Rabat, l’ambassadeur, représentant permanent du Royaume auprès des Nations Unies à New York, Omar Hilale, a-t-on appris samedi de l’agence marocaine de presse.
« Le Royaume est éligible à devenir membre du Conseil de sécurité parce que, tout simplement, le critère fondamental pour devenir membre est de contribuer à la paix et la sécurité dans le monde notamment en contribuant aux forces de maintien de la paix », a expliqué l’ambassadeur.
L’autre critère pour contribuer à la sécurité internationale est la démocratie, a poursuivi M. Hilale, soulignant que le Royaume, État démocratique et de droit, reste attaché aux valeurs universelles et au respect de la Charte et des principes des Nations Unies.
« De ce fait, le Maroc a des atouts qui lui permettent légitimement d’être éligible, le moment venu, à un poste permanent au sein du Conseil de sécurité », a assuré M. Hilale.
Les débats s’articulent autour notamment de la diplomatie culturelle, le paradigme de la sécurité régionale, les infrastructures intelligentes et la régulation de l’intelligence artificielle, ainsi que d’autres enjeux mondiaux.

2025-02-172025-02-172025-02-172025-02-17Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/17-23/proces_rossy_mukendi_tshimanga_rossy_proces_carine_lokeso_21_0_jpg_711_473_1.jpegLe verdict sur l’affaire du meurtre de l’activiste politique Rossy Mukendi, fixée en appel devant la Haute cour militaire à Kinshasa, en République démocratique du Congo, est attendu le vendredi 21 février 2025, selon l’extrait de rôle de cette haute juridiction consulté lundi 17 février.
La République démocratique du Congo avait sollicité, en aout 2024, l’annulation de sa condamnation au premier degré de verser à la partie civile (victime) des dommages et intérêts de l’ordre de 115.000 dollars.
Lors de son réquisitoire à l’audience du 9 mai 2024, l’auditeur général, ministère public avait requis la servitude pénale à perpétuité contre les prévenus commissaire supérieur Carine Lokeso Koso et le brigadier en chef Tokis Nkumbo pour violation des consignes et meurtre avec participation criminelle.
De son côté, le collectif d’avocats de la défense du commissaire divisionnaire adjoint, Carine Lokeso, avait fustigé le réquisitoire du ministère public sollicitant la condamnation à mort de sa cliente, d’autant plus qu’il avait soulevé plusieurs irrégularités dans l’arrêt du premier juge notamment l’absence de motivation et donc par voie de conséquence, la prévenue doit être acquittée.
La Cour militaire de Kinshasa-Matete avait condamné, au premier degré, le commissaire supérieur, Carine Lokeso, à la servitude pénale à perpétuité dans son arrêt rendu lundi 10 janvier 2022.