“Je veux croire que les États-Unis seront à nos côtés, mais nous devons être prêts à ce que ce ne soit pas le cas”.
Cela aurait été un signal très clair pour l’Ukraine, mais aussi pour les autres, que nous assumons notre responsabilité.”
“Mais nous ne pouvons pas ignorer que le contexte a changé.
Nombre de nos États membres ont déclaré qu’ils étaient prêts à participer à la coalition”.
Pour Bruxelles, ces deux questions – l’avenir de l’Ukraine et les dépenses militaires – sont devenues les deux faces d’une même pièce.
Author(s): mediacongo.net
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