Réduction du train de vie de l’État : une promesse sans lendemain ?

Kinshasa 19 janvier 2025 (ACP).- Au moins 86 morts ont été enregistrés dans l’explosion d’un camion-citerne transportant 60.000 litres d’essence, renversé au niveau de la « jonction de Dikko » sur la route reliant Abuja à la ville de Kaduna, dans le centre du Nigeria, ont écrit dimanche les medias internationaux.
La crise économique que traverse le Nigeria depuis un an et demi a poussé dans la précarité de nombreux Nigérians, notamment du fait de l’envolée des prix de l’essence.
En octobre, plus de 170 personnes avaient péri de la même manière dans l’Etat de Jigawa, dans le nord du pays, qui est le premier producteur de pétrole du continent.
En 2020, le FRSC avait recensé 1 531 accidents impliquant des camions-citernes, qui avaient causé la mort de 535 personnes.
En plus des pertes humaines et matérielles, ces accidents font des dégâts environnementaux, à cause des fuites d’essence.

Les travaux de construction de la route Kananga-Kalambambuji relancés par le ministre des travaux publics Alexus Gisaro vont se poursuivre avec la détermination du président Félix Antoine Tshisekedi, qui veut les voir achevés dans un temps relativement court.
“Je me réjouis du ferme engagement du numéro 1 du pays pour l’accélération des travaux dont la fin fera le bonheur des Centre-kasaïens”, a dit le gouverneur Kambulu .
“Quand on a lancé les travaux, il a été retenu une tranche de 40 millions de dollars par an et que ce montant devait faire 32 kilomètres.
Pour rappel, les opérateurs économiques du Kasaï Central sous le label de la FEC s’étaient rendus sur la route Kalambambuji pour s’enquérir de l’évolution des travaux.
De son côté, le vice -président de la FEC Jean Assaka Tshumbe a dénoncé les termes du contrat qui disposent que seuls 15 Kms de la route sur les 230 Kms vont être asphaltés.

Innovation et Technologies au Service de la TransformationL’atelier mettra en avant les innovations technologiques pouvant favoriser la transformation locale des minerais en produits semi-finis ou finis.
Parmi les technologies envisagées :L’hydrométallurgie et la pyrométallurgie, pour l’extraction et la purification des minerais.
Les discussions porteront notamment sur :Le cadre légal et réglementaire, pour assurer une meilleure protection des travailleurs artisanaux et une redistribution équitable des richesses minières.
Les incitations fiscales et douanières, afin d’encourager les investisseurs à développer des unités de transformation en RDC.
L’avenir de l’économie minière de la RDC passe par l’innovation, l’inclusion et la transformation locale : cet atelier scientifique en est une illustration concrète et ambitieuse.