Ils vivent dans la peur et les risques sont réels.
« Certains défenseurs des droits de l’homme n’ont pas eu d’autre choix que de fuir leur domicile.
D’autres sont restés dans les zones contrôlées par les rebelles, mais craignent pour leur sécurité.
Parmi les prisonniers, des criminels violents et des chefs de groupes armés condamnés pour de graves violations des droits de l’homme assimilables à des crimes de guerre et à des crimes contre l’humanité.
Selon l’ONU, des hôpitaux et des entrepôts humanitaires ont également été attaqués, et des menaces ont été proférées contre le système judiciaire.
Author(s): actualite.cd
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