Day: March 5, 2025

2025-03-052025-03-052025-03-052025-03-05Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/foulardafric.jpgLe foulard africain est bien plus qu’un simple accessoire de mode.
Appelé “gele” au Nigeria, “duku” au Ghana ou encore “moussor” au Sénégal, le foulard africain se distingue par ses couleurs vibrantes et ses motifs audacieux.
Avec l’essor de la mode africaine sur la scène internationale, le foulard africain s’invite dans les collections de nombreux créateurs.
Le foulard africain, par sa richesse de couleurs et de motifs, peut transformer une tenue en véritable œuvre d’art.
Le foulard africain est un symbole fort de culture, d’élégance et d’expression personnelle.

La caravane de dotation des bancs du service national fabriqués par les Ex-Kulunas est arrivée à Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï Oriental le lundi 03 mars où elle a offert 300 bancs-pupitres à l’Ep1 et 2 Maréchal Mobutu, ainsi que 300 autres à l’Ep1 et 2 24 novembre.
Le responsable d’une des écoles a exprimé sa satisfaction et celle des élèves, et a déclaré en faire bon usage.
Il revêt de notre devoir de les protéger comme il se doit, parce que ceci va dans le cadre de la promotion de la gratuité de l’enseignement que le président a prônée”, a-t-il déclaré.
À en croire le commandant du Service national, le lieutenant-général Jean-Pierre Kasongo Kabwik, ce n’est pas son premier voyage à l’intérieur du pays pour offrir des bancs-pupitres.
“Si vous vous rappelez, il y a deux ou trois ans, avec l’ambition de construire des écoles dans cette ville, il y a des écoles construites par le Service national dotées de bancs, de tables et tableaux.

2025-03-052025-03-052025-03-052025-03-05Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/3-9/donatien_nshole_et_pasteur_eric_nsenga_250.pngDans le cadre du pacte social pour la paix et le bon vivre ensemble, les pères de l’Église catholique et protestante, CENCO et ECC, poursuivent leur tournée.
« La CENCO et l’ECC devraient rencontrer le président Félix Tshisekedi pour lui présenter en premier lieu son rapport à mi-parcours.
La demande d’audience a déjà été déposée à la présidence de la République », espère cet homme de Dieu.
Selon Senga, ce qu’ils recherchent, c’est la paix, et pour y parvenir, l’engagement de tous est nécessaire.
La CENCO et l’ECC avaient informé le chef de l’État, Félix Tshisekedi, et l’avaient annoncé à l’opinion nationale et internationale.

Nous voici engagés dans des semaines si pas des mois de palabres à la congolaise.
Et quelle est notre réponse magistrale à cette épreuve existentielle ?
Loin d’être une démonstration de diligence ou de sagacité, cette procrastination est un aveuglement volontaire, une fuite devant l’urgence, un pied de nez à chaque citoyen congolais qui mérite mieux que des tergiversations laborieuses.
L’histoire sera sévère face à cette inaction flamboyante, comme seul l’excès d’opportunisme politique sait le produire.
Qui aura le courage de dénoncer ce théâtre d’apathie orchestrée, avant que le rideau ne tombe sur une nation qui aurait pu s’épargner bien des souffrances en brandissant les véritables armes du changement ?

Le précédent bilan faisait état de 13 morts, onze personnes arrivées décédées à l’hôpital et deux blessés ayant ensuite succombé.
Selon Dunia Masumbuko Bwenge, nommé par le M23 vice-gouverneur de la province du Sud-Kivu, dont Bukavu est le chef-lieu, quatre personnes supplémentaires sont depuis décédées.
“Aujourd’hui, on enterre 12 personnes, parce que certains corps ont déjà été enterrés et d’autres sont toujours à (la morgue de) l’hôpital”, a-t-il poursuivi.
A l’hôpital provincial de Bukavu, où avaient été transportées les victimes décédées ou blessées, douze cercueils de bois verni étaient alignés mardi sur des bancs.
Devant chacun, une modeste croix de bois sur laquelle sont écrits à la main, le nom, les dates et lieux de naissance et de décès.

En février dernier, lors de la conférence de Munich, Félix Tshisekedi avait accusé son prédécesseur d’être le véritable sponsor de la rébellion dans l’Est du pays.
Il affirme qu’il ne faut pas chercher de boucs émissaires face à l’incapacité du pouvoir actuel à rétablir la paix et la sécurité dans l’Est de la RDC.
« (…) Nous sommes un parti qui prône la paix et nous pensons que le gouvernement a le devoir de pouvoir ramener la paix au Congo.
Au niveau du parti Pprd, nous sommes mécontents du fait que notre chef soit cité comme l’auteur intellectuel de plusieurs groupes armés en RDC.
Par ailleurs, Aubin Minaku insiste sur le fait que la famille politique de Joseph Kabila entend reconquérir le pouvoir par la voie démocratique.

Avec Kampala comme base arrière et le soutien décisif du président Museveni, Paul Kagame réussit à s’imposer au Rwanda après le génocide, cimentant ainsi une alliance qui irait bouleverser les équilibres régionaux.
Les deux dirigeants ont ensuite conjointement orchestré la naissance de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL).
Ce qui leur permit de renverser le Maréchal Mobutu en 1997 et de porter Laurent-Désiré Kabila au pouvoir en RDC.
Le temps des dissimulations est révolu, et il est crucial que la communauté internationale saisisse toute l’ampleur de cette complicité historique.
Le soufflé médiatique autour de cette danse entre Rwanda et Ouganda doit donc être ravivé, non pas pour graver le passé, mais pour protéger l’avenir de la RDC et l’aspiration à une paix durable.

2025-03-052025-03-052025-03-052025-03-05Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/3-9/Emmanuel_Ramazani_Shadary_24.jpgDans un communiqué dont la copie est parvenue à Média Congo Press (MCP), ce mercredi 05 mars 2025, le bureau politique du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (Pprd), a exprimé son opposition face à la mise en place du gouvernement d’union nationale.
Le Pprd rappelle au régime Tshisekedi que la mise en place d’un gouvernement d’union nationale ne va jamais résoudre la crise que traverse le pays, dans sa partie Est.
– Le bureau politique note la volonté exprimée sur la constitution d’un Gouvernement dit d’Union Nationale.
Il relève par ailleurs que cela ne constitue aucunement une solution à la crise actuelle.
De 1960 à ce jour, les gouvernements d’union nationale n’ont jamais apporté des solutions pérennes aux crises qu’a connues notre pays.