Bien que des sanctions soient nécessaires face à la désertion, la décision de recourir à la peine de mort remet sur la table des débats de nombreuses questions sur la politique de Tshisekedi.
Cette obsession pour la « lâcheté » devant l’ennemi renforce plutôt la perception selon laquelle le Président ne gère pas la situation de manière adéquate.
La convocation de religieux et de figures politiques pour des interrogatoires peut être perçue comme une distraction de taille.
Finalement, la véritable question que pose la situation actuelle est de savoir si Félix Tshisekedi fait face à la bonne bataille.
Le M23, soutenu par le Rwanda, poursuit son avancée dans l’Est, et les FARDC sont dans une situation de faiblesse indéniable.
Author(s): mediacongo.net
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