Goma : Augmentation des prix des haricots inquiète les consommateurs

« A travers la Loi des finances 2025 que je vais promulguer dans quelques jours, je me réjouis des crédits alloués au secteur agricole qui s’élèvent à hauteur de 11% du budget national 2025 bien, au-delà de l’objectif fixé dans le cadre des accords de Maputo», a déclaré le Président de la République, Felix Tshisekedi.
2025 consacrée au parachèvement des reformesPar ailleurs, le Président de la République a soutenu que l’année 2025 va être consacrée au parachèvement des reformes dans le secteur agricole pour se libérer de son potentiel.
« Je consacre l’année 2025 au parachèvement des réformes dans le secteur agricole afin que la gouvernance agricole permette à ce secteur de se libérer de son potentiel », a-t-il déclaré.
Pour assurer la viabilité et l’impact positif, le Président Tshisekedi s’est engagé à allouer des ressources supplémentaires à l’encadrement, à la professionnalisation et à l’accompagnement des pêcheurs et des éleveurs.
Il a martelé sur Le fait que l’autosuffisance alimentaire ne doit plus être un slogan, mais doit devenir une réalité.

Félix Tshisekedi a présidé ce lundi 27 janvier 2025 à Kinshasa, la réunion inter-institutionnelle axée sur la situation sécuritaire dans l’Est de la République démocratique du Congo, et particulièrement dans la ville de Goma.
Selon Vital Kamerhe, qui a fait le compte-rendu de ladite réunion, il ressort que les FARDC et les Wazalendo continuent de contrôler certaines positions dans la ville de Goma.
C’était une évaluation de la situation qui prévaut à l’Est et particulièrement dans la ville de Goma.
Il ressort de cette évaluation que nos militaires les FARDC et les Wazalendo continuent à tenir certaines positions dans la ville.
En outre, Vitam Kamerhe a annoncé que le président de la République va bientôt s’adresser à la Nation.

Cette étude avance qu’en République Démocratique du Congo, la véritable représentativité des partis politiques est obscurcie par la prolifération des regroupements politiques au grand dam de la stabilité des institutions démocratiques.
« Il est crucial de reconnaître et de préserver le rôle constitutionnel des partis politiques, car ils demeurent les courroies de transmission entre les citoyens et les pouvoirs publics.
Parmi les 5, le parti AFDC se démarque au sein AFDC-A avec 38 députés nationaux, soit 90 % des élus du regroupement politique.
L’UNC, avec 36 députés, représente 87 % des élus de son regroupement.
L’APOCM s’impose avec 13 sièges (59 % des élus du regroupement AAAP), tandis que le BUREC compte 12 députés (57,1 % des élus de l’A/B50).