La DGDA suspend le régime douanier de réimportation

Le 25 novembre marque le début de la campagne 16 jours d’activisme contre la violence faite aux femmes, avec un accent particulier cette année sur le féminicide.
Il a rappelé que ce phénomène touche tous les pays, y compris la République Démocratique du Congo, où les violences sexuelles sont utilisées comme armes de guerre, particulièrement dans l’Est.
Cette année, le thème international de la campagne retenu est “Riposter et se reconstruire après les violences”.
Dans ce contexte, les Nations Unies lancent l’initiative « Tous UNiS », visant à éradiquer la violence envers les femmes d’ici 2030, appelant tous les acteurs à se mobiliser pour mettre fin à ces abus dans tous les aspects de la société.
L’objectif est de briser le silence, prévenir et punir le féminicide, et agir de manière collective pour stopper le cycle de violence.

La dépravation des mœurs prend de plus en plus d’ampleur dans la société et cela inquiète et cela inquiète plus d’une personne.
En effet la dépravation des mœurs au sein de la jeunesse congolaise est une problématique croissante et préoccupante.
L’influence des médias, l’accès facilité à internet et aux réseaux sociaux, ainsi que d’autres facteurs socioculturels, contribuent à l’érosion des valeurs morales et à l’adoption de comportements répréhensibles des jeunes.
L’absence d’une éducation sexuelle adéquate et d’une communication ouverte sur ces questions dans les foyers et les écoles aggrave la situation.
Comment lutter contre la dépravation des moeurs chez les jeunes?

Kinshasa, 21 janvier 2025 (ACP).- Le Sénat et l’Assemblée nationale au Gabon ont adopté, en des termes identiques, le nouveau code électoral qui permettra d’organiser les trois scrutins électoraux qui mettront fin à la transition en août prochain, ont écrit les médias internationaux.
«À l’Assemblée nationale comme au Sénat, le nouveau code électoral a été adopté comme une avancée majeure en matière de transparence électorale », ont rapporté les sources.
Le code permet désormais aux militaires et aux magistrats de briguer les suffrages universels à condition de se mettre en disponibilité avant de faire acte de candidature.
C’est la première fois que dans le code électoral au Gabon, on tient compte de l’inclusion des femmes et des jeunes, 30 % de quota minimum pour les femmes et 20 % minimum pour les jeunes.
Le Gabon doit organiser dans les sept prochains mois une élection présidentielle, des législatives et des élections locales.