Liga espagnole : Bakambu et Betis Séville renversent le Réal Madrid et remontent au classement !

2025-01-252025-01-252025-01-252025-01-25Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/joao_lourenco_250.jpegDans une déclaration publiée ce vendredi 24 janvier, le président angolais et facilitateur désigné par l’Union africaine pour le conflit à l’Est de la République démocratique du Congo, João Lourenço, a exprimé sa profonde inquiétude face à la dégradation rapide de la situation sécuritaire dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Le président angolais a fermement condamné ces attaques, soulignant qu’elles compromettent les efforts du processus de Luanda pour parvenir à une résolution pacifique du conflit.
João Lourenço a réitéré que “le conflit et les défis de sécurité dans l’Est de la RDC n’ont pas de solution militaire”.
À cet égard, il a exhorté les parties à reprendre immédiatement les négociations pour éviter une escalade supplémentaire.
De son côté, la France, par la voix de son ambassadeur à l’ONU, Nicolas Rivière, a exprimé sa grande préoccupation face à cette situation.

Au Nord-Kivu, les rebelles de l’AFC/M23 ont pris ce mercredi 19 février, le contrôle de la localité de Kitsombiro, située à au moins 30 kilomètres de Lubero centre, chef-lieu du territoire de Lubero.
Mais vers 9 heures locales, nous les avons aperçus dans notre agglomération”, témoigne à ACTUALITE.CD un habitant de Kitsombiro qui a préféré resté dans la localité.
Deux sources affirment à ACTUALITE.CD que les FARDC ont tenté de délocaliser les rebelles dans un quartier périphérique.
Mais jusqu’ au soir, ce sont les rebelles qui contrôlent l’entité, affirme un animateur de la société civile, actuellement réfugié à Lubero-centre.
Cette avancée des rebelles inquiète des habitants à Lubero-centre et Butembo, des entités qui accueillent les déplacés.

Au moins 784 présumés bandits urbains, communément appelés Kuluna, ont été arrêtés en l’espace de deux jours à Kinshasa dans le cadre de l’opération « Ndobo ».
Selon lui, l’opération « Ndobo » s’inscrit dans une volonté des autorités de restaurer la sécurité dans la capitale congolaise.
La police nationale entend neutraliser les groupes de jeunes criminels qui sèment la terreur dans les quartiers de Kinshasa.
Le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur a assuré l’opinion publique que cette opération se fait dans le respect de la loi.
-Oscar Shamba Bemusa, criminologue, il est professeur à l’Université pédagogique nationale et dans les Ecoles de criminologie de Kinshasa, Bukavu et Goma.