Insécurité à Kwamouth : l’armée congolaise s’empare de « l’état-major » du chef des miliciens Mobondo

« Durant la semaine sous examen, le baril de pétrole a observé une hausse hebdomadaire de 2,31% sur les marchés internationaux en se négociant à 77,52 dollars américains le baril par rapport à la période précédente, au cours de laquelle, il s’est négocié à 74,15 USD », a-t-on lu.
En outre, au 9 janvier 2025, le prix de la tonne du riz a enregistré un bond de 1,77 %, se fixant à 318,10 USD la tonne et une hausse de 2,75 % par rapport à fin décembre 2024.
S’agissant des prix du blé et du maïs, il est noté des baisses respectives de 1,57 % et 0,06 %, soit respectivement 195,92 USD et 167,88 USD.
A cet effet, la note attribue cette hausse hebdomadaire à l’incertitude liée aux conditions climatiques et à la montée de la tendance protectionniste avec la nouvelle administration américaine.
Il sied de noter que la baisse du prix de baril de pétrole, est due au ralentissement du rythme de croissance de la demande de pétrole dans certains grands pays, en particulier la Chine.

Les professeurs de l’Université pédagogique nationale (UPN) sont entrés en grève illimitée et générale, ce lundi 9 décembre 2024.
Leur décision fait suite au mot d’ordre donné par le Réseau des associations des professeurs des universités et instituts supérieurs du Congo (RAPUICO), le 27 novembre dernier.
Cette structure avait annoncé une grève sèche générale et illimitée dans toutes les institutions d’enseignement supérieur et universitaire (ESU) de la République démocratique du Congo.
À l’instar de leurs collègues d’autres établissements, les professeurs de l’UPN reprochent au gouvernement, notamment, le non-respect de l’accord de Bibwa.
Trois jours plus tôt, ce sont les cadres scientifiques de l’UPN, dont les assistants et chefs de travaux qui sont entrés en grève, le 6 décembre 2024.

Des évêques de la Conférence épisopale nationale du Congo (CENCO) et de l’Eglise du Christ au Congo (ECC) ont présenté, mercredi 12 février, leur plan de sortie de crise sécuritaire aux rebelles de l’Alliance Fleuve Congo (AFC) et du M23, à Goma (Nord-Kivu).
Cette rencontre s’est inscrite dans le cadre des consultations menées par ces deux confessions religieuses auprès des acteurs sociopolitiques du pays dans le cadre du « Pacte social pour la paix et le vivre ensemble en RDC ».
Le secrétaire général de la CENCO, Mgr Donatien Nshole, a confié à Radio Okapi que le Chef de l’Etat état s’était montré ouvert à toute initiative favorisant le retour à la paix.
Certains acteurs politiques dont l’UDPS, parti au pouvoir, rejettent l’idée d’un dialogue direct entre les églises et le M23.
Ils estiment que cette approche risque de légitimer les revendications du groupe rebelle et de fragiliser les efforts déjà engagés par le gouvernement pour restaurer la stabilité dans l’Est du pays.