Mongala : à Lisala, le ministre Sakombi Molendo mobilise la jeunesse à s’enrôler massivement dans les FARDC

La transition vers des bâtiments intelligents et durables n’est plus une simple tendance : elle devient une nécessité.
Entre promesses et défis colossauxÀ Lubumbashi comme à Kinshasa, la demande en logements, bureaux et infrastructures publiques ne cesse de croître.
En 2023, le taux d’urbanisation de la RDC avoisinait les 45 %, une proportion appelée à grimper dans les prochaines décennies.
En RDC, plus de 80 % des bâtiments existants sont encore conçus selon des méthodes traditionnelles, souvent inefficaces sur le plan énergétique.
Les bâtiments intelligents et durables offrent une chance unique de transformer ses villes en pôles d’innovation, tout en répondant aux aspirations d’une population jeune et dynamique.

Or, il ne s’agit pas d’un congrès portant sur une matière complexe, mais simplement de remplacer des juges à la Cour Constitutionnelle », a expliqué Vital Kamerhe.
Le président de l’Assemblée nationale a mis en avant la difficulté actuelle de la Cour Constitutionnelle à remplir ses fonctions, faute de membres en nombre suffisant.
Exceptionnellement pour la première composition de la Cour, les durées de mandat avaient été différenciées – trois, six et neuf ans – à travers un processus de tirage au sort, afin d’éviter une vacance complète à la Cour et de préserver la continuité de la jurisprudence.
La Cour Constitutionnelle, ci-après la Cour, comprend neuf membres nommés par le Président de la République, dont trois sur sa propre initiative, trois désignés par le Parlement réuni en Congrès et trois autres par le Conseil Supérieur de la Magistrature.
Lire aussi : Renouvellement à la Cour constitutionnelle de la RDC : Trois juges s’apprêtent à quitter leurs postesClément Muamba

Kinshasa, 10 février 2025 (ACP).- Le monde entier s’est levé contre le Président rwandais, a dit lundi le ministre de la Communication et médias, lors d’un briefing de presse tenu à Kinshasa.
« Le monde entier s’est levé contre le Président rwandais.
C’est une parfaite illustration », a déclaré Patrick Muyaya, lors de cette rencontre avec la presse axée sur la restitution de la session extraordinaire du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies sur la RDC.
« Vous avez suivi tous ces pays du monde qui se sont exprimés et qui ont dit clairement le nom du bourreau, le Rwanda et la nécessité pour lui d’abord de retirer ses troupes du territoire de la République démocratique du Congo », a-t-il poursuivi.
« Si le Président rwandais était venu le 15 décembre à Luanda, nous n’aurions pas eu ce qu’on a eu.