Ligue 1: « Sanga Balende est une équipe difficile à manier » (Luc Eymael)

L’entonnement de l’hymne du parti présidentiel, l’UDPS, lors du discours sur l’état de la nation prononcé par le président de la République devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès le mercredi 11 décembre 2024, suscite des inquiétudes chez Delly Sessanga, président du parti politique ENVOL et membre de la coalition « Sursaut national ».
Pour cet ancien député national, l’imposition de l’hymne de l’UDPS à la place de l’hymne national pendant cette cérémonie marque un tournant préoccupant vers l’établissement d’un parti-État.
« Au lieu qu’ils entonnent l’hymne national, c’est l’hymne d’un parti politique qui a été chanté.
Ils nous obligeront à chanter leur hymne en lieu et place de l’hymne national.
Alors que le président de la République s’apprêtait à prendre la parole dans ce congrès, les militants de l’UDPS ont commencé à chanter l’hymne de leur parti.

« Il faut faire un bon usage des savoir conformément à la devise de l’université.
<< Mettez votre savoir au service des autres pour le développement du pays, de la communauté et de la sous-région. Nous sommes donc là pour vous préparer à faire face à des pandémies et à des épidémies qui vont venir », a-t-il recommandé. Il a précisé qu’une évaluation permanente des recherches sera organisée pour apprécier l’évolution des travaux des ces doctorants. Crée en 2023, l’INOHA est une institution de recherche et de formation qui vise à contribuer à l’élaboration des solutions innovantes pour faire face à des problèmes de santé à travers l’approche multidisciplinaire dite « une santé », rappelle-t-on.

Des tirs sporadiques sont toujours entendus au lendemain de violents combats entre les FARDC et le M23 dans le territoire de Nyiragongo, proche immédiat de la ville.
Des militaires convergent de différents coins de la ville pour un rassemblement, comme si consigne était donnée.
Pour l’instant, la vie est timide dans la ville.
La veille, plusieurs officiels ont quitté la ville la nuit par bateaux via le lac Kivu en destination de Bukavu.
Aucun commandement n’est resté dans la ville à part les hommes des troupes, policiers et militaires.