Sankuru : l’ancien gouverneur Mukumadi et son parti quittent l’Union sacrée

Kinshasa, 30 janvier 2025 (ACP).- La journée «Sans cours» décrétée pour soutenir les Forces armées de la République démocratique du Congo au front (FARDC) a été respectée jeudi au sein des universités de Kinshasa où les bureaux sont restés fermés, a constaté l’ACP.
«Aucun cours ne sera dispensé dans tout le réseau des universités (…).
«Je suis jeune, je soutiens les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC)» a-t-on écrit par ailleurs sur les t-shirts des étudiants de l’Académie des beaux-arts de Kinshasa à l’occasion de cette journée «Sans cours».
Outre, une journée de lutte contre l’agression rwandaise a été organisée jeudi à Kinshasa dans les installations de l’Institut supérieur pédagogique et technique (ISPT), a constaté l’ACP.
Un calme pour exprimer cette solidarité aux Forces armées a été observé à l’Université de Kinshasa (Unikin), cette alma mater située à Lemba, une commune du Centre de la capitale Congolaise.

Après la fin du match, Youssouph Dabo, entraîneur de V.Club a passé en revue cette rencontre.
Selon le coach de Vclub, l’équipe a manqué d’intensité et de rythme lors du match, ce qui a laissé penser à un manque d’envie.
« On a manqué d’intensité, on a manqué de rythme, ça donne l’impression qu’on n’a pas envie.
Mais à partir du moment où on travaille, on revient sur le match, il n’y a pas de raison pourquoi on n’a pas envie de jouer.
Après ce match nul, Vita Club totalise 23 points après 14 matchs disputés.

Au moins deux civils ont été tués lundi 16 décembre dans la soirée par des bombes larguées par les rebelles du M23 sur la localité de Buleusa, dans le territoire de Walikale, au sud du territoire de Lubero, (Nord-Kivu).
Ils sont tombés dans la localité voisine, Buleusa, causant la mort d’au moins deux autres personnes, expliquent les sources locales.
Des témoins rapportent que cette situation a créé la débandade et une panique généralisée au sein de la population civile.
Dans la matinée de ce mardi, des tirs nourris étaient encore entendus autour de Buleusa, créant une grande panique et des déplacements massifs des familles.
Certaines sources parlent déjà d’une occupation de ces entités par les rebelles, une information démentie par des sources militaires qui affirment que Buleusa serait encore une zone neutre.