Day: February 28, 2025

Dans son rapport rendu public ce lundi 24 février 2025, le Réseau panafricain de lutte contre la corruption (UNIS), membre de la coalition « Le Congo n’est pas à vendre (CNPAV) », note des inégalités salariales dans le traitement de base des animateurs des institutions politiques et des autres fonctionnaires et agents de l’État.
Analysant la loi des finances pour l’exercice 2024, ACTUALITE.CD avait révélé en mars 2024 que le traitement de base d’un député national se chiffrait à 9361 USD.
ACTUALITE.CD avait aussi révélé que le salaire de base à la Présidence avait connu une énorme progression.
Ce rapport, qui cite notamment les observations du FMI, renseigne que la prime couvre plus de 75 % des revenus des fonctionnaires.
Pour celles qui en offrent, les inégalités sont criantes entre les institutions politiques et l’administration publique.

“L’accès à la nourriture est extrêmement limité pour les familles de retour, qui n’ont ni réserves alimentaires ni moyens d’acheter de la nourriture.
Presque toutes les récoltes et les stocks alimentaires ont été pillés par des groupes armés, laissant les rapatriés dans des conditions désastreuses”, indique le rapport de Cluster Sécurité Alimentaire.
En conséquence, 70 % des ménages retournés présentent un score de consommation alimentaire pauvre, et 85 % ont déjà recours à des stratégies de survie extrêmes, telles que sauter des repas ou passer des journées entières sans manger.
Ces déplacements demeurent instables, alors que les combats progressent vers Uvira et les hauts plateaux.
Plus de 80 % d’entre elles ont perdu leurs stocks de nourriture et leurs actifs productifs, les condamnant à la mendicité.

Pour revenir rapidement à l’essentiel : le M23 est-il une rébellion ?
La question fondamentale ici est celle-ci : le M23 est-il une rébellion ?
Comme on le sait, pour les uns, la rébellion est un terme essentiellement laudatif, tandis que pour les autres, le terme de rébellion laisse transparaître une nuance péjorative.
C’est une banalité de bon sens que de rappeler ce qu’ont dit les Experts des Nations unies à la création même du M23: le Rwanda est impliqué dans le recrutement des jeunes rwandais, des réfugiés congolais et d’anciens combattants démobilisés dans le rang du M23.
On aura bien compris pourquoi nous défendons l’idée selon laquelle LE M23 N’EST PAS UNE RÉBELLION.

Monseigneur Donatien Nshole, secrétaire général de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) a été auditionné ce jeudi 27 février 2025 au Conseil National de Sécurité (CNS).
Selon Donatien Nshole, son audition par ce service de sécurité dirigé par le professeur Eberande Kolongele, a permis une bonne compréhension des préoccupations des uns et des autres avec des recommandations entre différentes parties prenantes.
J’ai beaucoup apprécié l’esprit et la teneur de l’entretien qui a permis une bonne compréhension des préoccupations des uns et des autres avec des recommandations respectives”, a expliqué à ACTUALITE.CD, Mgr Donatien Nshole.
Ces accusations ont été vite rejetées par la DGM.
Ces incidents interviennent au moment où le pays fait face à l’agression rwandaise via la rébellion du M23.

Ces véhicules, souvent responsables de déversements de béton sur les routes, contribuent à la détérioration rapide des artères urbaines et endommagent d’autres véhicules.
Le gouverneur a souligné que les déversements répétés de mottes de béton sur les routes constituent l’une des principales causes de la dégradation de la voirie.
Ces pratiques non seulement abîment les infrastructures, mais représentent également un danger pour les usagers de la route et engendrent des coûts de réparation élevés pour la ville.
Dans son communiqué, le cabinet du gouverneur a appelé tous les exploitants de centrales à béton à prendre des dispositions appropriées pour assurer un transport étanche de leurs produits.
En outre, les responsables devront assumer les coûts des réparations nécessaires pour remettre en état les routes.

Les échanges entre les deux parties ont tourné autour du projet « Pacte social pour la paix et le bien-vivre ensemble en RDC et dans les Grands Lacs ».
L’initiative vise à mettre les congolais toute tendance confondue ensemble en vue de faire face à la crise sécuritaire que traverse le pays à la suite de l’offensive de la rébellion de l’AFC/M23 soutenue par le Rwanda.
À l’en croire, l’étape de Brazzaville consacre la nécessité que les deux églises accordent au vivre-ensemble en tant que valeur fondamentale.
L’église catholique et l’église protestante ont initié pour ce faire, des consultations de la classe sociopolitique pour un dialogue national.
Mais cette démarche est réfutée par le parti présidentiel, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) qui affirme que « l’église n’a pas vocation de prendre des initiatives politiques »Clément MUAMBA

Physiquement, elle était très forte », a justifié à la presse, Lamia Boumhedi, son choix de la garder grappiller toutes les minutes.
Ce sera d’ailleurs elle, qui va être à la base du penalty controversé loupé un peu plus tôt à l’heure de jeu par Marlène Kasaj.
La milieu centrale du FCF Mazembe verra le décor à la 56′.
Son intérieur du pied trop appuyé, la dorsale 8 n’aura su profiter pour mettre les siennes au large.
« Je suis venue à la dernière minute pour sauver la situation de l’équipe nationale.

Après la fin du match, Youssouph Dabo, entraîneur de V.Club a passé en revue cette rencontre.
Selon le coach de Vclub, l’équipe a manqué d’intensité et de rythme lors du match, ce qui a laissé penser à un manque d’envie.
« On a manqué d’intensité, on a manqué de rythme, ça donne l’impression qu’on n’a pas envie.
Mais à partir du moment où on travaille, on revient sur le match, il n’y a pas de raison pourquoi on n’a pas envie de jouer.
Après ce match nul, Vita Club totalise 23 points après 14 matchs disputés.

Dans ce contexte, l’ancien VPM de la défense a ouvertement accusé l’ex chef de l’État, Joseph Kabila, d’être derrière l’insécurité qui sévit dans le grand Bandundu, exacerbée par le phénomène Mobondo.
Puisque nous avons arrêté ces gens, lesquels nous ont révélé la personne qui finance l’insécurité, qui corrompt et qui tue vos chefs.
Le PPRD, parti de l’ex majorité au pouvoir réfute ces affirmations qu’il qualifie de «diversion » du gouvernement qui n’assume pas ses responsabilités.
Dans un communiqué ce jeudi 27 février, signé par Emmanuel Ramazani Shadary, secrétaire permanent du parti de Joseph Kabila, le PPRD dénonce «la manipulation et l’instrumentalisation de la vérité ».
Et le vrai commanditaire de cette opposition c’est mon prédécesseur, c’est Joseph Kabila.