Kinshasa: les déversements des mottes de béton sur la chaussée dégradent la voirie (Hôtel de ville)

2025 (ACP).-Les déplacés de Kisangani, chef-lieu de la Tshopo, dans le Nord-est de la République démocratique du Congo (RDC) ont bénéficié d’un don de produits de premières nécessités, a-t-on appris jeudi de source humanitaire.
Ceci devrait parvenir aux bénéficiaires avant les festivités de fin d’année dernière pour leurs permettre de festoyer avec faste.
«Pour des raisons évidentes, ces vivres ne sont arrivés que le dimanche dernier à Kisangani avant de les distribuer ce jour », a fait savoir le chef de division des actions humanitaires et solidarité nationale.
Il a remercié le bailleur pour avoir répondu, une fois de plus, aux besoins exprimés fin 2024 par les déplacés du conflit communautaire Mbole-Lengola via la division des actions humanitaires.
Plus de quatre mille déplacés de ce conflit vivent dans trois sites d’hébergement disséminés dans trois de six communes de Kisangani depuis bientôt trois ans.ACP/

Il est intervenu sur l’incidence de cette probable révision/changement de la Constitution sur le pacte républicain de Sun City.
Cet homme politique a indiqué que le changement de la Constitution aura une incidence néfaste sur le pacte républicain qui a aboli le pouvoir autoritaire.
« Cette Constitution n’est pas le fruit des belligérants, encore moins des étrangers.
Dans la foulée, il a ajouté que l’actuelle Constitution de la RDC est le fruit d’une synthèse de l’expérience constitutionnelle de la RDC depuis la loi fondamentale, la Constitution de Luluabourg, la Constitution de 1967, ainsi que le projet de Constitution issu de la conférence nationale souveraine de 1992.
Il s’inscrit dans le cadre du projet « Lema 2028 » mis en place par l’Église du Christ au Congo dans le but de préparer les prochaines élections.

« La cité de Sake est totalement et entièrement sous contrôle des FARDC (Forces armées de la RDC).
Goma est aussi sécurisée et hors de portée de l’ennemi », a déclaré à l’ACP le colonel Guillaume Ndjike, porte-parole de l’armée dans le Nord-Kivu.
« La pression qui est mise sur le front de Ngungu a fait perdre à l’ennemi le sommeil qui tente de saper le moral sur le terrain médiatique », a expliqué l’officier à l’Agence officielle de la RDC.
L’Est de la RDC est en proie à une insécurité permanente depuis 30 ans, entretenue par des groupes armés soutenus par des pays voisins, notamment le Rwanda.
Des experts des Nations Unies ont démontré, une fois de plus, dans un rapport que des forces régulières rwandaises combattent les FARDC dans l’Est, à côté des terroristes du M23.