Day: February 27, 2025

«En cette période d’agression, j’invite la jeunesse congolaise à lutter contre la désinformation, la manipulation, les intoxications et le tribalisme en cette période d’agression, afin de vaincre définitivement l’ennemi et le chasser de notre pays », a déclaré M. Nathanaël Atibu, président du congrès national de la jeunesse congolais (CNJCO).
M. Atibu également vice-président du conseil national de la jeunesse (CNJ), a appelé la jeunesse de rester éveillé et proactive face à cette guerre d’agression.
Le président du CNJCO a, à cette même occasion, appelé la jeunesse à la vigilance, à la mobilisation générale et aussi à jouer un rôle important pendant cette période crucial, car, selon lui, l’ennemi manipule la population à travers les fausses informations véhiculées sur internet.
Les jeunes congolais ont été appelés à adopter une posture de guerre, pour combattre la désinformation, la manipulation et l’intox en cette période de guerre.
Cette activité a été axée sous le thème : «la jeunesse congolaise face à la désinformation, la manipulation et aux intox en cette période d’agression », a eu lieu au collège des hautes études des stratégies de défense (CHESD) à Kinshasa.

Kinshasa, 26 février 2025 (ACP).- 450.000 ménages ruraux ont bénéficié du projet d’appui à la sécurisation alimentaire « Avenir » mis en œuvre sur la période 2022-2025, dans le cadre du protocole conclu entre la République démocratique du Congo (RDC) et la France à travers l’Agence française de développement (AFD), selon un document consulté mercredi, par l’ACP.
« 450.000 ménages ruraux, soit environ deux millions de personnes, sont des bénéficiaires du projet + Avenir + d’appui à la sécurisation alimentaire mis en œuvre sur la période 2022-2025 dans le cadre du protocole d’entente pour un partenariat stratégique en matière de croissance durable et inclusive conclu il y a trois ans entre la République démocratique du Congo ( RDC) et la France à travers l’Agence française de développement (AFD) », a -t-on lu dans le document élaboré par l’ambassade de France en RDC et l’AFD.
Selon la source, ce projet de sécurisation alimentaire en cours d’exécution co-financé par l’AFD et FIDA à hauteur de 40 millions d’euros, concerne les provinces de Maï -Ndombe, Kwilu, Kwango, Kongo Central et Kinshasa.
Par ailleurs, la RDC et la France à travers l’AFD ainsi que d’autres partenaires mettent sur pied un autre projet intitulé « Projet d’appui à la gouvernance, à l’insertion et à la formation agricole et rurale ».
Ce projet concerne la province de la Tshopo dont 2.300 bénéficiaires pour des formations techniques et professionnelles (50 tuteurs, 100 professeurs, 1.500 apprenants, 100 personnes des administrations).

« Par ce projet, nous entendons maintenir les cœurs des croyants focalisés sur la gloire de Dieu.
Nous voulons, à travers cette chanson, rappeler que toute chose concourt à la louange de l’Éternel », a déclaré Djimmy Nsotuna Kasongo.
« +Nzambe na nga+ est avant tout une déclaration d’appartenance à Dieu, une reconnaissance de sa grandeur et de son œuvre dans nos vies.
S’agissant de la place réservée à la musique gospel comme outil d’évangélisation, le chanteur chrétien a souligné qu’au-delà de son aspect musical, « Nzambe na nga » s’inscrit dans une démarche spirituelle profonde.
Djimmy Nsotuna Kasongo est une figure pionnière du paysage gospel congolais.

Lubumbashi, 26 février 2025 (ACP).- La première édition de l’exposition photographique intitulée : « L’image qui détrône l’écrit » a été organisée, mercredi, par la faculté des lettres et sciences humaines de l’université de Lubumbashi, dans la province du Haut-Katanga située dans le Sud-Est de la République démocratique du Congo(RDC).
« Je salue l’initiative de cette première édition de l’exposition photographique qui a pour thème : +’L’image qui détrône l’écrit+ et j’encourage les organisateurs pour cette initiative », a déclaré le professeur Léandre Mbolio, doyen de cette Faculté.
Il a, à cette occasion, félicité les étudiants qui ont participés à l’exposition tout en les invitant à produire des images qui se suffisent à elles-mêmes avant de donner la parole au professeur Fabien Kabeya, chef du département des Sciences de l’Information et de la Communication, qui a salué la pertinence de cette initiative, qui s’inscrit pleinement dans la logique du système LMD, plaçant l’étudiant au cœur de sa formation.
Pour cette première édition, les étudiants ont proposé des performances de qualité, mêlant musique, poésie, comédie, slam et autres expressions culturelles, offrant ainsi un moment de détente apprécié par l’auditoire.
Cette activité a connu la participation des autorités décanales, des professeurs, des assistants, des professionnels de la photographie ainsi que des étudiants.

Dans le cadre de la campagne de mobilisation générale des jeunes pour la défense de la partie, dénommé ” ELENGE KIDIBA TE ! ”
L’ambassadeur William Mukambila, Président du Conseil National de la Jeunesse et Coordonnateur du Mouvement patriotique Tous pour le Congo, a expliqué les cinq raisons pour lesquelles le Gouvernement congolais ne doit pas negocier avec les rebelles du M23/AFC et leur chef Corneille Nangaa.
Préserver l’ordre constitutionnel et la stabilité institutionnelleAccepter de négocier avec des groupes armés revient à remettre en question la légitimité de nos institutions.
Nous refusons de sacrifier la République sur l’autel du chant et de la violence.
La RDC doit se battre pour la paix par la force du droit et de la justice, et non par la compromission.

Toutefois ces organisations dénoncent les pratiques de surveillance et filtrage des plateformes numériques dont ont été victimes les habitants.”
Des pratiques de surveillance telles que la surveillance des plateformes, le filtrage et le blocage des contenus et des données ont été employées pendant la période électorale”, note cette étude.
Au-delà de la période électorale, les plaintes se multiplient sur la perturbation du réseau ou encore la lenteur et la lourdeur de la connexion.
PPI appelle à des mesures concrètes de la part du gouvernement.”
PPI et IRO ont également insisté sur leplaidoyer en faveur des réformes juridiques qui protègent les droits des citoyens à la liberté d’expression et d’information pendant les cycles électoraux.

Bien que la sécurité semble présente, leur situation demeure précaire, marquée par une série de défis dans leur quête pour reconstruire leur vie.
Celles qui parviennent à atteindre Kinshasa, notamment dans la commune de N’sele, espèrent échapper à la violence, mais découvrent un autre type de lutte pour leur survie.
Ces formations portent sur des secteurs comme la couture, la coiffure, la restauration, voire la vente en ligne.
Le manque de protection et la précarité de leur situation les rendent des cibles privilégiées pour les violences sexuelles, physiques et psychologiques.
Nous sommes venues ici chercher la paix, mais notre situation reste la même : nous vivons dans la peur de l’avenir.