Tshopo-Ligue provinciale de football : “Tout pour la promotion des clubs” (Nouveau président élu)

Kisangani, 26 février 2025 (ACP).- Le nouveau président de la Ligue provinciale de football de la Tshopo, dans le nord de la République démocratique du Congo (RDC), a promis, mardi, lors de l’Assemblée générale extraordinaire élective de cette entité sportive, de s’investir pour la promotion des clubs de son ressort, durant son mandat.
« Nous allons militer pour promouvoir les équipes tant au niveau provincial que national », a déclaré Guy Lusangi Hussein, le président sortant de la Ligue de football de la Province Orientale (Lifpo), réélu pour un nouveau mandat de quatre ans.
Raison pour laquelle, a-t-il avoué, que ce énième mandat à la tête de la Lifpo sera, pour lui, le tout dernier de la série durant lequel, il s’attellera à réaliser ce qu’il n’a pu faire jusque-là.
5ème mandat à la Lifpo pour Guy LusangiLors de ces assises de la Lifpo, les sociétaires ont voté pour la liste conduite par l’ancien président Guy Lusangi, qui a déjà tenu les rênes de cette entité sportive durant quatre mandat.
La trésorerie a été confiée à Mme Collette Eyimbo Mbombo, tandis que Lobanga Wakingombe, Yuma Tabwe Alimasi et Tibata Katusabe en sont sortis membres.

Les doctorants d’une école régionale invités à faire bon usage de leurs connaissances (directeur général)

« Il faut faire un bon usage des savoir conformément à la devise de l’université.
<< Mettez votre savoir au service des autres pour le développement du pays, de la communauté et de la sous-région. Nous sommes donc là pour vous préparer à faire face à des pandémies et à des épidémies qui vont venir », a-t-il recommandé. Il a précisé qu’une évaluation permanente des recherches sera organisée pour apprécier l’évolution des travaux des ces doctorants. Crée en 2023, l’INOHA est une institution de recherche et de formation qui vise à contribuer à l’élaboration des solutions innovantes pour faire face à des problèmes de santé à travers l’approche multidisciplinaire dite « une santé », rappelle-t-on.

Des enlèvements, agressions et braquages signalés à Goma (OCHA)

La situation sécuritaire dans la ville de Goma et ses environs est de plus en plus préoccupante depuis son occupation par les rebelles du M23 et l’Alliance fleuve Congo de Corneille Nangaa, soutenus par l’armée rwandaise.Un rapport du Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA), publié mardi 25 février, note la recrudescence d’incidents criminels, notamment des enlèvements, des agressions, des braquages de domiciles et des vols.
Le rapport indique également que des véhicules appartenant à des particuliers et à des organisations humanitaires, saisis par ces hommes armés, n’ont toujours pas été restitués.
A ceci s’ajoute, selon le communiqué, une menace persistante d’engins explosifs de guerre non explosés à Goma et dans ses zones périphériques.
Les six principaux hôpitaux de Goma, soutenus par des partenaires humanitaires, sont toujours débordés face à l’afflux de blessés.
Le cluster santé a alerté sur une aggravation de l’épidémie de choléra dans et autour de Goma, avec 420 cas et 1 décès signalés sur deux semaines consécutives.

Kongo-Central : faible couverture vaccinale due à l’inaccessibilité des zones de santé

Plusieurs zones de santé parmi les 31 que compte le Kongo-Central connaissent de sérieux problèmes d’inaccessibilité.
Par conséquent, les vaccins ne sont pas disponibles dans ces zones de santé.
Cette situation explique la faible couverture vaccinale, selon le médecin chef de zone de santé de Mangembo, le docteur Justin Lusekua, dans le territoire de Luozi.
D’après le docteur Bonheur Tshiteku, chef de division provinciale à la santé du Kongo-Central, sept zones de santé sur les 31 que compte la province ne sont pas accessibles.
Outre ce problème d’inaccessibilité, les zones de santé sont également butées au manque de véhicules pour faire le suivi des activités vaccinales du bureau central vers les aires de santé.

Guerre dans l’Est : le Conseil supérieur de la magistrature veut accompagner la CPI à rendre justice aux victimes des violations des droits de l’homme

Le président du Conseil supérieur de la magistrature, Dieudonné Kamuleta, a indiqué mardi 25 février que son institution est disposée à accompagner la Cour pénale internationale (CPI) dans sa mission de rendre justice aux victimes de graves violations des droits de l’homme dans la partie est de la RDC.
Dieudonné Kamuleta s’est exprimé lors de l’audience qu’il a accordée au procureur de la CPI, Karim Khan, en visite officielle de 48 heures à Kinshasa.
L’échange entre les deux personnalités a tourné autour du suivi que la CPI assure sur les crimes commis dans l’Est de la RDC par l’armée rwandaise et ses supplétifs du M23/AFC.
Il s’agit, selon le procureur, d’une étape clé dans la quête de justice pour les victimes des récentes atrocités commises dans la partie orientale de la RDC.

Kasaï-Oriental : au moins 500 cas d’enfants malnutris enregistrés à Miabi

Au moins 500 cas d’enfants malnutris ont été enregistrés depuis le mois de janvier dans la zone de santé de Miabi, au Kasaï-Oriental.
Et 60 % de ces enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition sévère.
Le médecin chef de zone de santé, Dr Dieudonné Tshimanga, justifie cette situation par le fait que le sol de cette région est inadapté à la culture du maïs et du manioc, deux aliments de base de cette population.
Il lance un appel auprès des organismes nationaux et internationaux pour la prise en charge multisectorielle de cette maladie.
Vous pouvez l’écouter dans cet extrait :/sites/default/files/2025-02/03._26022025-p-f-mbjmdieudonnetshimangamczmiabibon.mp3

Trois jeunes tués par des hommes armés au quartier Panzi à Bukavu

Trois jeunes ont été tués par balles au quartier Panzi-Essence, à Bukavu, ce mercredi 26 février par des hommes armés.
Des témoins rapportent que ces meurtres surviennent après qu’un homme en tenue militaire et portant une arme à feu a été brûlé vif la veille par la population.
Les habitants le suspectaient d’être à la base de l’insécurité qui prévaut dans leur quartier.
Cette situation a engendré un déplacement de population vers d’autres coins de la ville.
Le quartier Panzi, comme d’autres quartiers de la ville de Bukavu, est sous contrôle des rebelles du M23, l’unique force armée présente dans cette ville depuis quelques semaines.

La NOGEC rejette “fermement” l’idée de négocier avec le M23

2025-02-252025-02-252025-02-252025-02-25Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/24-28/la_nogec_rejette_toute_l_idee_de_negocier_avec_les_m23_2025.jpgAu cours d’une matinée politique tenue mardi 25 février 2025, le parti politique Nouvelle génération pour l’émergence du Congo (NOGEC) de Constant Mutamba, réaffirme son soutien indéfectible au président Félix Tshisekedi, et son engagement en faveur de la stabilité, la paix et le développement de la République démocratique du Congo.
Le parti cher au ministre d’État en charge de la Justice s’unit derrière le chef de l’État pendant cette période où le pays fait face à l’agression rwandaise.
Selon fidel Fido Said, secrétaire général de la Nouvelle génération pour l’émergence du Congo (NOGEC), sa formation politique s’oppose à toute négociation directe avec les terroristes du M23.
Le chef de file de l’opposition républicaine, Constant Mutamba, se joint au président Tshisekedi pour promouvoir la paix, la sécurité et le développement de la nation congolaise.
Pour le secrétaire général de la NOGEC, la mobilisation des militants témoigne d’une volonté collective de construire un avenir meilleur pour le Congo où l’unité et la détermination seront les fondements d’une véritable émergence, en phase avec la vision ambitieuse du président Félix Tshisekedi.

La NOGEC rejette “fermement” l’idée de négocier avec le M23

2025-02-252025-02-252025-02-252025-02-25Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/24-28/la_nogec_rejette_toute_l_idee_de_negocier_avec_les_m23_2025.jpgAu cours d’une matinée politique tenue mardi 25 février 2025, le parti politique Nouvelle génération pour l’émergence du Congo (NOGEC) de Constant Mutamba, réaffirme son soutien indéfectible au président Félix Tshisekedi, et son engagement en faveur de la stabilité, la paix et le développement de la République démocratique du Congo.
Le parti cher au ministre d’État en charge de la Justice s’unit derrière le chef de l’État pendant cette période où le pays fait face à l’agression rwandaise.
Selon fidel Fido Said, secrétaire général de la Nouvelle génération pour l’émergence du Congo (NOGEC), sa formation politique s’oppose à toute négociation directe avec les terroristes du M23.
Le chef de file de l’opposition républicaine, Constant Mutamba, se joint au président Tshisekedi pour promouvoir la paix, la sécurité et le développement de la nation congolaise.
Pour le secrétaire général de la NOGEC, la mobilisation des militants témoigne d’une volonté collective de construire un avenir meilleur pour le Congo où l’unité et la détermination seront les fondements d’une véritable émergence, en phase avec la vision ambitieuse du président Félix Tshisekedi.

Guerre dans l’Est : le Royaume-Uni suspend l’aide financière bilatérale au Rwanda

– Suspendre l’aide financière bilatérale directe au gouvernement rwandais, à l’exception du soutien aux populations les plus pauvres et les plus vulnérables.
– Suspendre l’assistance future en matière de formation à la défense pour le Rwanda.
Quant au Rwanda, le Royaume-Uni pense qu’il est inacceptable de résoudre ces problèmes de sécurité par des moyens militaires.
Pour le Royaume-Uni, “le Rwanda a certes des problèmes de sécurité, mais il est inacceptable de les résoudre par des moyens militaires.
Nous continuerons à réexaminer notre politique », lit-on dans une note à la presse partagée par le gouvernement britannique.

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