La CENCO mobilise les chrétiens pour prier le pape François

Le président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), monseigneur Fulgence Muteba, appelle à une mobilisation des chrétiens catholiques de la RDC afin de prier pour le pape François.
Hospitalisé depuis un mois, le Saint père demeure dans un état critique.Il souffre des complications liées à une pneumonie et à une infection pulmonaire complexe.
Malgré la gravité de son état, ses médecins affirment que la situation reste sous contrôle, bien que le pronostic demeure incertain.
Et la complexité de son état médical impose une vigilance constante.
Bien que sa situation suscite des inquiétudes au sein de l’Église catholique et du monde entier, le Vatican a partagé lundi 24 février des informations rassurantes concernant son état général.

Début des examens du premier semestre à Goma, dans un contexte sécuritaire instable

Les élèves des écoles secondaires de Goma au Nord-Kivu passent les examens du premier semestre dans un contexte sécuritaire instable.
Un de ces élèves témoigne :« Avec cette situation, nous avons été surpris de devoir retourner à l’école.
Et puis, on nous a dit de prévenir les autres que les examens vont commencer.
Du côté des élèves finalistes, ils tiennent à obtenir leurs diplômes d’Etat.
Les parents et les responsables scolaires essaient par tous les moyens de motiver les enfants pour qu’ils se concentrent afin de réussir ces examens, malgré cet environnement difficile.

« Proposer un gouvernement d’union nationale aujourd’hui, c’est se moquer des congolais » (Opposition)

Celui-ci estime, en l’espèce, qu’un « simple gouvernement d’union nationale ne fera rien d’autre que consolider la gloire personnelle de M. Félix Tshisekedi ».
« La coalition Lamuka a conscience que la voie à suivre aujourd’hui, c’est le dialogue prôné par les Églises catholique et protestante », tranche Prince Epenge.
« Une fois de plus, une piteuse réponse à une crise d’une rare gravité qui menace la survie de notre nation.
Les mêmes genres de réponse qui lui ont fait préférer des mercenaires à la modernisation et au réarmement de nos troupes, les milices à la mobilisation d’une armée de métier nationale.
Encore aujourd’hui, pointe-t-il, « ils pensent que le plus urgent, c’est d’attendre et que l’inertie et le pourrissement permettront de sauver le semblant d’autorité qu’ils perdent à pans entiers, à chaque territoire de notre pays qui tombe ».

« Proposer un gouvernement d’union nationale aujourd’hui, c’est se moquer des congolais » (Opposition)

Celui-ci estime, en l’espèce, qu’un « simple gouvernement d’union nationale ne fera rien d’autre que consolider la gloire personnelle de M. Félix Tshisekedi ».
« La coalition Lamuka a conscience que la voie à suivre aujourd’hui, c’est le dialogue prôné par les Églises catholique et protestante », tranche Prince Epenge.
« Une fois de plus, une piteuse réponse à une crise d’une rare gravité qui menace la survie de notre nation.
Les mêmes genres de réponse qui lui ont fait préférer des mercenaires à la modernisation et au réarmement de nos troupes, les milices à la mobilisation d’une armée de métier nationale.
Encore aujourd’hui, pointe-t-il, « ils pensent que le plus urgent, c’est d’attendre et que l’inertie et le pourrissement permettront de sauver le semblant d’autorité qu’ils perdent à pans entiers, à chaque territoire de notre pays qui tombe ».

Guerre d’agression en RDC : un eurodéputé qualifie de “comédie” les mesures prises par l’Union européenne contre le Rwanda !

Dans une publication faite sur son compte X, le parlementaire européen qualifie d’”injustifiable” l’absence de sanctions directes de l’Union européenne contre le Rwanda, pour l’agression du Grand Congo.
Pourquoi tant de mansuétude pour le Rwanda ?
Très remonté par cette situation, Thierry Mariani a qualifié de “comédie” les mesures de l’UE, et a profité de l’occasion pour appeler cette organisation internationale à frapper directement le Rwanda.
Pour rappel, à l’issue du Conseil Affaires étrangères des Nations-Unies, l’UE a suspendu des consultations en matière de défense avec le Rwanda.
L’Union européenne a appelé au retrait des troupes rwandaises du territoire congolais, et a exigé le Réexamen du protocole d’accord concernant les matières premières critiques.

« Proposer un gouvernement d’union nationale aujourd’hui, c’est se moquer des congolais » (Opposition)

Celui-ci estime, en l’espèce, qu’un « simple gouvernement d’union nationale ne fera rien d’autre que consolider la gloire personnelle de M. Félix Tshisekedi ».
« La coalition Lamuka a conscience que la voie à suivre aujourd’hui, c’est le dialogue prôné par les Églises catholique et protestante », tranche Prince Epenge.
« Une fois de plus, une piteuse réponse à une crise d’une rare gravité qui menace la survie de notre nation.
Les mêmes genres de réponse qui lui ont fait préférer des mercenaires à la modernisation et au réarmement de nos troupes, les milices à la mobilisation d’une armée de métier nationale.
Encore aujourd’hui, pointe-t-il, « ils pensent que le plus urgent, c’est d’attendre et que l’inertie et le pourrissement permettront de sauver le semblant d’autorité qu’ils perdent à pans entiers, à chaque territoire de notre pays qui tombe ».

Sud-Kivu: Les autorités politico-administratives de Bukavu s’installent à Uvira

2025-02-252025-02-252025-02-252025-02-25Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/24-28/jean_jacques_purusi_s_installe_a_uvira_25_fevr_2025.jpgDes autorités politico-administratives, des militaires des Forces armées de la RDC (FARDC) et des policiers se sont installés ce lundi 24 février, dans la ville d’Uvira au Sud-Kivu.
Cette décision a été prise à la suite de l’occupation de Bukavu, chef-lieu du Sud-Kivu, par les rebelles du M23 et de l’AFC de Corneille Nangaa, soutenus par l’armée rwandaise.
Toutes ces personnes sont arrivées à Uvira par la frontière de Kavimvira située entre le Burundi et la RDC.
Cela impacte fortement la circulation et les mouvements de la population.
« Ce manque de mobilité empêche même les secours d’intervenir à temps pour assister les blessés comptés par centaines.

12 ans après la signature de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, le Mécanisme national de suivi déplore l’aggravation de la crise sécuritaire dans l’Est

Signé en 2013, cet accord vise à promouvoir la paix, la sécurité et la coopération en République démocratique du Congo (RDC) et dans la région des Grands Lacs, en mettant l’accent sur la résolution des conflits armés et la protection des droits humains.
12 ans après sa mise en place, le Mécanisme national de suivi de l’Accord (MNS) exprime sa profonde consternation face à la recrudescence de la violence dans l’Est du pays.
Le MNS salue la résolution 2773 du 21 février 2025 du Conseil de sécurité de l’ONU, qui appelle à l’intensification des efforts pour rétablir la paix en RDC.
Le MNS appelle les garants de l’accord-cadre à convoquer d’urgence la quadripartite SADC-CIRGL-EAC-CEEAC et un sommet du Mécanisme régional de suivi pour évaluer le respect des engagements et envisager des sanctions contre les contrevenants.
Enfin, il appelle le Rwanda à reprendre de bonne foi le processus de Luanda et le M23 à se soumettre au cadre du processus de Nairobi.

Kinshasa : une campagne “WikiForMotherTongue” lancée pour valoriser les langues maternelles

« Nous pouvons valoriser nos langues maternelles en promouvant des contenus sur nos histoires locales, nos traditions et nos coutumes.
C’est une invitation à l’engagement, une main tendue vers un avenir où nos langues vivent pleinement dans l’univers numérique.
La langue maternelle, également appelée langue natale ou langue première, est la première langue qu’un individu apprend dans son enfance, généralement au sein de son environnement familial.
La langue maternelle est généralement acquise de manière informelle, par immersion et interaction avec les membres de la famille et la communauté environnante.
Enfin, une base solide dans la langue maternelle facilite l’apprentissage d’autres langues, favorisant ainsi le bilinguisme et le multilinguisme.

À Genève, Kinshasa s’engage à contribuer à la mise en œuvre de la résolution adoptée le 7 février et promet de faciliter le travail de la commission d’enquête pour documenter les violences des droits

La Cheffe du gouvernement a condamné l’agression rwandaise et les exactions commises par les rebelles de M23/AFC.
Selon elle, la résolution du Conseil des droits de l’homme des Nations unies du 7 février dernier est comme une réponse aux agressions répétées de Kigali.
Cette décision, prise à l’issue de la 37ᵉ session extraordinaire du Conseil, fait suite à l’escalade des violences dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Elle appelle également la Force de défense rwandaise à cesser tout soutien au M23 et à se retirer « instamment » du territoire congolais.
En complément, une commission d’enquête indépendante, composée de trois experts en droit international des droits de l’homme et en droit humanitaire, sera constituée pour poursuivre les travaux de cette mission.

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