À Kinshasa, il n’existe aucun mandat autorisant la fouille des téléphones des citoyens dans la rue.
S’il faut le faire, il y a des services attitrés et cela ne se fait que dans le cas où une personne a été ciblée.
Et cette vérification de téléphone ne se fait pas dans la rue », a-t-il déclaré.
La police va se mettre à la trousse des personnes qui partagent ces fausses informations », a poursuivi Blaise Kilimbalimba.
La situation s’est aggravée le week-end dernier, suite à un communiqué publié par la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), appelant le gouvernement à prendre des mesures.
Author(s): 7sur7.cd
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