Fin du Go Pass en RDC : 2025 ou 2027 ? J Alingete et J Suminwa se contredisent

Deux femmes déplacées de la guerre du M23 ayant trouvé refuge dans le territoire de Kalehe au Sud-Kivu sont décédées suite aux bousculades alors qu’elles se trouvaient sur la file en attente de l’assistance des humanitaires à Minova.
« Deux dames sont décédées dans une bousculade en attente de l’assistance alimentaire à la paroisse de Bobandano à Minova.
La première était du village de Butumba et la seconde de Kalungu », dit à ACTUALITE.CD un habitant de Minova.
La cité de Minova située dans le territoire de Kalehe accueille les déplacés qui ont fui les combats entre les rebelles du M23 et les FARDC dans la province du Nord-Kivu.
Ces déplacés se trouvent dans des écoles, des centres de santé ou encore des églises.

Ce jeudi 13 février 2025, le Centre Hospitalier Universitaire Renaissance (ex Maman Yemo) a officialisé son accord-cadre signé avec la société One99 en janvier 2025, pour le renforcement du système de traitement médical au sein de cette structure.
Ce protocole d’accord vise également à établir le Centre Hospitalier Universitaire Renaissance (CHUR) comme « une référence pour les solutions et innovations technologiques avancées dans le domaine de la médecine ».
Ce partenariat a permis au Centre Hospitalier Universitaire Renaissance de disposer d’un laboratoire moderne, bien équipé des appareils sophistiqués, ainsi que des innovations technologiques pour le traitement pathologique.
Toute cette considération, nous avons estimé qu’il était bon que nous puissions ramener un nouveau mode opératoire », a-t-il déclaré.
Son directeur général Al Kitenge a rappelé son objectif, celui de prioriser la santé pour tous, et à toutes les couches de population.

Une femme d’une trentaine d’années a été tragiquement tuée par son mari, militaire de son état, ce mercredi 15 janvier, au camp Kalomo, connu sous le nom de camp Q.G, dans la commune de Makiso (Kisangani).
Le drame s’est déroulé aux alentours de 3 heures du matin, selon des témoins de l’événement qui ont été alertés par des pleurs des enfants.
Le militaire suspecté aurait souffert de problèmes de santé mentale depuis plusieurs années.
Ce dernier aurait commis l’irréparable alors que sa femme tentait de le soutenir dans sa lutte contre la maladie.
Un précédent cas avait vu un autre soldat tirer sur sa femme avant de se donner la mort.