Procès forages : Mike Kasenga acquitté et Francois Rubota écope de 3 ans de prison

Le secteur du diamant en RDC continue de jouer un rôle central dans les exportations minières du pays, avec une production totale combinée (industrielle et artisanale) de 2 298 683,09 carats au premier trimestre 2024, selon les données officielles du ministère des Mines.
L’exploitation industrielle, dominée par la Minière de Bakwanga (MIBA) et la Société Anhui-Congo d’Investissement Minier (SACIM), se concentre principalement dans la province du Kasaï-Oriental.
Ces deux sociétés ont produit respectivement 29 684,07 carats et 642 834,44 carats sur les trois premiers mois de l’année.
En parallèle, l’exploitation artisanale, largement présente dans des provinces comme le Kasaï, le Kasaï-Central, et le Maniema, a permis d’exporter 1 626 164,54 carats via des comptoirs tels qu’Amazona, Malabar, Miabi, et Saga, générant des revenus de 13 532 969,79 USD.
Les exportations totales de diamant, incluant les diamants industriels et gemmes, ont atteint 1 970 188,55 carats, avec des destinations majeures comme la Belgique (890 005,74 carats) et les Émirats arabes unis (1 017 101,71 carats).

Et d’ajouter : « cette formation a pour objectif d’améliorer les compétences techniques et managériales des participants dans la gestion et le contrôle des systèmes énergétiques ».
Il s’agit entre autres de la compréhension des fondamentaux des systèmes énergétiques, de l’acquisition des techniques adéquates de contrôle de l’énergie, de la maîtrise des outils de contrôle et documents essentiels de l’étude de la réglementation et des normes en la matière et la réalisation d’études des cas et d’application technique.
Je voudrais donc saluer cette initiative qui apporte un début de réponse à un défi majeur du développement du secteur de l’énergie en RDC« .
« C’est l’occasion de féliciter le ministre pour son leadership et les actions posées dans la mise en œuvre de l’agenda énergétique dont le peuple congolais attend énormément les avancées concrètes pour fournir les services énergétiques durables et équitables », a noté le diplomate onusien.
Il a réitéré l’engagement du PNUD-RDC à accompagner le gouvernement de la RDC dans sa quête d’améliorer l’accès à une énergie durable.

La Fondation Hirondelle, avec l’appui de l’Union européenne, organise une formation des journalistes de Kinshasa sur les réformes institutionnelles et électorales du jeudi 12 au vendredi 13 décembre 2024.
Elle reflète un engagement commun à renforcer les capacités des journalistes pour accompagner de manière efficace les débats qui animent la société, ceux liés aux réformes institutionnelles électorales.
Et d’ajouter : « En tant que journaliste, votre rôle est important pour informer et mobiliser les citoyens au cours de cette discussion.
Cette formation ambitionne donc de vous doter des outils nécessaires pour mieux comprendre ces réformes, les analyser et produire des contenus journalistiques de qualité ».
Pour cette première journée, les points évoqués ont été :- La terminologie, les caractéristiques, les types et les acteurs des réformes institutionnelles ;- Les objectifs et défis des réformes institutionnelles ;- Les mesures favorisant un large consensus, des critères de mesures de l’efficacité et des facteurs favorisant l’échec d’une réforme institutionnelle ;- Des réformes institutionnelles des 30 dernières années ;- La présentation de la constitution du 18 février 2006 et de sa révision ;- Les tendances vis-à-vis de la réforme constitutionnelle et les effets pervers de l’adoption ou non d’une réforme.