Kinshasa: rencontre entre le président Félix Tshisekedi et son homologue burundais Évariste Ndayishimiye

2025-02-242025-02-242025-02-242025-02-24Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/24-28/tshisekedi_et_ndayishimiye_a_kinshasa_ce_dimanche_23_fevr_2025_huit_clos.jpgLe président burundais Évariste Ndayishimiye a rencontré son homologue congolais Félix Tshisekedi ce dimanche matin à l’aéroport de Ndjili, à Kinshasa.
« Pas de déclaration à la presse », a confirmé Tina Salama, porte-parole de Félix Tshisekedi, renforçant ainsi le mystère autour de cette rencontre.
Le 31 janvier dernier, lors d’un échange de vœux avec le corps diplomatique à Bujumbura, Évariste Ndayishimiye avait exprimé ses préoccupations quant à la stabilité régionale.
Le président burundais avait notamment accusé Kigali de soutenir divers groupes rebelles, parmi lesquels Red Tabara, responsable d’attaques sur le territoire burundais.
Face à la détérioration continue de la situation, Ndayishimiye avait lancé un appel à la communauté internationale pour éviter une escalade du conflit et prévenir une catastrophe humanitaire.

Lubero : Début ce lundi d’un nouveau procès contre 61 militaires

Le tribunal militaire de garnison de Butembo va ouvrir ce lundi 24 février 2025 un procès à Musienene, dans le territoire de Lubero, pour juger 61 soldats des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).
Ces militaires sont accusés de vol, d’extorsion et d’autres exactions commises dans plusieurs localités de la région, alors qu’ils étaient déployés dans le cadre des opérations contre les rebelles du M23.
Fin décembre 2024, 17 soldats des FARDC ont été condamnés à la peine de mort pour des faits similaires, notamment la fuite devant l’ennemi, la violation des consignes, la désertion, la dissipation de munitions et le vol.
Cette condamnation faisait suite à celle d’une vingtaine d’autres militaires pour des motifs analogues.
L’ouverture de ce nouveau procès témoigne de la volonté des autorités militaires de lutter contre l’impunité et de rétablir la discipline au sein des forces armées, tout en assurant la protection des populations civiles dans les zones de conflit.

La MONUSCO et le gouvernement de l’Ituri évaluent la situation sécuritaire à Djugu

Une délégation conjointe composée de la MONUSCO et de membres du gouvernement provincial de l’Ituri a bouclé samedi 22 février sa mission d’évaluation de la situation sécuritaire dans le territoire de Djugu.
À l’issue de cette mission, des recommandations ont été formulées pour mieux protéger la population et prôner le vivre ensemble dans cette zone en proie aux attaques répétées de milices armées.
Il a rappelé qu’entre les années 2020 et 2024, il n’y avait presque plus de violences intercommunautaires dans cette région.
Parmi les causes de la résurgence des conflits, il cite notamment les problèmes économiques et le chômage des jeunes.
Au cours de leur descente sur le terrain, la délégation MONUSCO-gouvernement provincial a sensibilisé les communautés locales au vivre ensemble, à la cohabitation pacifique et à la cohésion sociale.

La rumba congolaise : histoire et influences de wendo kolosoy à koffi olomidé

Échos de la rumba à travers le continentTypiquement, la rumba a servi de lien culturel entre les deux Congo.
La danse et la rumba : un tout indissociableIl est impossible d’évoquer la rumba sans mentionner ses danses.
La rumba sous l’éclairage internationalReconnaissance par l’UNESCOEn 2021, la rumba congolaise a été inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.
La rumba congolaise s’affirme comme une force vive de la culture musicale africaine, incarnant la richesse et la diversité de l’identité congolaise.
La rumba reste un véritable trésor, un héritage à préserver et à célébrer à chaque note, à chaque rythme.

Linafoot Ligue 1 : TP Mazembe et Saint Éloi Lupopo se neutralisent (0-0), V.Club tombe dans le piège d’AF Anges Verts !

2025-02-242025-02-242025-02-242025-02-24Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/24-28/linafoot_ligue_1_tp_mazembe_et_saint_eloi_lupopo_se_neutralisent_v_club_tombe_dans_le_piege_d_af_anges_verts.jpgLe championnat Illicocash Ligue 1 de Linafoot s’est poursuivi ce dimanche 23 février avec le match nul entre le TP Mazembe et le FC Saint Éloi Lupopo (0-0) et la défaite de l’AS V.Club devant l’AF Anges Verts (0-1).
Dans le groupe A, le derby lushois opposant le TP Mazembe et le FC Saint Éloi Lupopo au stade TPM de Kamalondo, à huis clos, n’a connu ni vainqueur ni vaincu.
Les Corbeaux et les Cheminots se sont neutralisés sur le score de 0-0.
Les Salésiens ont ouvert le score par Molindo Mbala (58′), et le club visiteur a égalisé par Richard Kalombo (63′).
En premier match, le FC Les Aigles du Congo s’est imposé devant New Jack FC sur le score de 2-1.

La société civile salue la décision de la mise en place d’un gouvernement d’union nationale

2025-02-242025-02-242025-02-242025-02-24Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/24-28/patient_bashombe_matabishi_societe_civile_rdc.jpgDans une déclaration publiée ce lundi 24 février 2025, le comité de crise pour la paix et la sécurité en République démocratique du Congo a salué la décision de la mise en place d’un gouvernement d’union nationale.
D’après cette plateforme de la société civile, la mise en place d’un gouvernement d’union nationale va permettre au pays de faire face aux menaces extérieures, afin de garantir sa souveraineté.
« Le Comité de crise pour la paix et la sécurité, regroupant plusieurs organisations, mouvements de femmes et des jeunes de la société civile, salue la décision du président Félix Tshisekedi de mettre en place un gouvernement d’union nationale.
Et de poursuivre : « un gouvernement d’union nationale permettrait de créer un front commun, rassemblant les forces politiques, la société civile, ainsi que les différentes communautés, pour œuvrer ensemble à la paix et à la sécurité.
Le Comité de crise pour la paix et la sécurité se félicite de cette initiative et réaffirme sa volonté de contribuer activement à sa mise en œuvre.

« La nation a plutôt besoin d’un gouvernement de crise. Un groupe de stratèges, à la place des trompettistes » (Jo M. Sekimonyo)

Au cours d’une conférence animée le dimanche 23 février 2025 à Kinshasa, il s’insurge contre une équipe où il y aurait des flatteurs et des applaudisseurs.
Il appelle le chef de l’État à placer des stratèges à la place des personnes qu’il qualifie de tambourins.
Un groupe de stratèges, à la place des trompettistes, des tambourins, ou pire, des paniqueurs, qui rassurent la nation.
Il est nécessaire d’assigner aux forces armées et à la police nationale une nouvelle mission et de nouvelles ressources, » conseille Jo M. Sekimonyo.
Dans cet ordre d’idées, il prône la mise en place d’une politique économique qui financera la guerre imposée par le régime de Kagame.

Le Conseil européen en réunion ce lundi après le vote du Parlement pour des sanctions contre le Rwanda

La réunion sera particulièrement consacrée à l’escalade du conflit dans l’Est de la RDC et à ses conséquences pour la région.
Le Parlement européen met la pression sur la CommissionLe 13 février dernier, le Parlement européen a voté une résolution à une large majorité, exigeant des actions concrètes contre le Rwanda.
Ce vote a marqué un point tournant dans la position de l’Union européenne, avec 443 voix en faveur de la résolution sur 495 votants.
L’Eurodéputée belge Hilde Vautmans, à l’origine de la résolution, a insisté sur la nécessité de transparence dans le commerce des armes européennes.
Les yeux sont désormais tournés vers la Commission européenne, qui devra décider des actions à entreprendre à la suite de la résolution votée à Strasbourg.

Est de la RDC: les recommandations des chefs d’état-major de l’EAC

2025-02-242025-02-242025-02-242025-02-24Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/24-28/la_sec_de_eac_veronica_nduva.jpgSur la crise dans l’est de la RDC, une réunion des chefs d’état-major de la Communauté des États d’Afrique de l’Est (EAC) s’est tenue, vendredi 21 février, ayant pour objectif celui d’évaluer la mise en œuvre des recommandations du sommet EAC-SADC de Dar es Salaam.
Dans leurs conclusions – que RFI a pu se procurer – les chefs des armées d’Afrique de l’Est reconnaissent que non seulement les recommandations n’ont pas été appliquées, mais la situation s’est dégradée.
Les chefs d’état-major demandent également que les Nations unies modifient le mandat de la Monusco, afin qu’elle aide à sécuriser les Nord-Kivu et Sud-Kivu.
C’est pourtant à la demande de Kinshasa que la mission des Nations unies avait quitté le Sud-Kivu, en juin.
Enfin, les chefs d’état-major appellent à la création d’une force hybride EAC-SADC-Union africaine pour sécuriser les territoires sous occupation du M23.

Le déplacement des enseignants d’Ubundu vers Kisangani pour percevoir leurs salaires entrave le déroulement des cours

Le déplacement des enseignants d’Ubundu vers Kisangani pour régulariser leur situation salariale et percevoir leur dû, perturbe significativement le déroulement des cours dans les écoles publiques de l’antenne éducationnelle Ubundu III.
Ces enseignants, accusant trois mois d’arriérés de salaire, se rendent régulièrement à Kisangani pour faire le suivi de leur situation et percevoir leur salaire.
« Les enseignants ne sont pas permanents, ils suivent leur argent à Kisangani.
Pour le moment, les enfants n’étudient pas.
Il explique que les enseignants qui se déplacent sont ceux dont les comptes électroniques ne sont pas encore configurés pour recevoir leur paie via des services de paiement mobile.

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