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Rencontrées ce mardi 17 décembre dans les rues de Kinshasa, les kinoises sont partagés.
Pour Jeanne Inyego, commerçante, les kuluna représentent une véritable menace pour la vie et les biens des citoyens.
La peine de mort est la seule solution pour les empêcher de continuer à faire régner la terreur dans la ville.
La peine de mort est peut-être dure, mais c’est ce que la situation exige.
Les kuluna sont victimes d’un système qui les a laissés de côté ; il est temps d’agir sur les causes profondes de la délinquance.

2025-01-282025-01-282025-01-282025-01-28Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/27-31/marie_therese_sombo_safi_ayanne_25.pngSuite à la guerre d’agression dans la partie Est du pays, la journée de ce jeudi 30 janvier 2025, est déclarée à titre exceptionnel, “journée sans cours” et consacrée aux activités pratiques au sein de tous les établissements de l’enseignement supérieur et universitaire, en vue d’un soutien tous azimuts au président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, aux vaillantes FARDC et à la population de l’Est, sous la zone des combats.
Au cours de cette journée, indique une note circulaire de la ministre de l’ESU, Marie-Thérèse Safi Ayanne, il sera mis en place un fonds de solidarité au niveau de chaque établissement ou service pour la collecte des dons, en espèces et en nature, à parvenir à la tutelle pour leur acheminement ordonné aux FARDC et aux déplacés de guerre.
À en croire, cette note circulaire, il sera organisé des conférences, des journées de sensibilisation et des émissions télévisées en vue de porter la voix de la République face à cette guerre d’agression.
A cet effet, un appel à la vigilance, à la quiétude et à la sérénité a été lancé pour la suspension des mouvements de grève initiée par certaines structures corporatives ou syndicales.

À Goma, les tirs sporadiques résonnent encore ce soir dans plusieurs secteurs, notamment autour de l’aéroport, où des détonations à l’arme lourde ont été signalées.
La confusion est remarquée dans le centre-ville, tandis que la situation humanitaire continue de se dégrader.
La ville est plongée dans l’obscurité, sans électricité, ni eau, ni Internet.
Les données mobiles et la fibre optique sont coupées, et l’antenne provinciale de la Radio et Télévision nationale congolaise (RTNC) demeure hors service.
L’organisation appelle à la protection des civils et à un accès sécurisé pour fournir une aide vitale.