Day: February 23, 2025

Le président Félix Tshisekedi a reçu vendredi 21 février 2025, à Kinshasa, David Lammy, secrétaire d’État britannique aux Affaires étrangères, du Commonwealth et du Développement, venu lui exprimer « tout le soutien » diplomatique que son pays apporte à la RDC au moment où le Rwanda occupe illégalement les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Pour sa part, le président congolais a remercié son interlocuteur pour le plaidoyer en faveur du respect de la Charte des Nations unies.
Il a fait savoir que son pays, la RDC, a toujours privilégié la voie diplomatique pour une paix durable.
D’après cette source, il reste favorable à une résolution du conflit par le dialogue dans le seul cadre des processus de Luanda et de Nairobi mixés.
Devant le drame humanitaire et en réponse à la sollicitation du président Félix Tshisekedi, la Grande-Bretagne a promis une aide « substantielle » aux populations meurtries et contraintes à l’errance par les forces d’occupation.

Le député national Joseph Bangakya, élu de Rungu (Haut-Uele), a adressé une question écrite au directeur général de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) afin d’obtenir des éclaircissements sur l’installation d’une direction provinciale de la CNSS dans la province du Haut-Uele.
Il met en avant les bénéfices incontestables pour la RDC, la province du Haut-Uele, et la CNSS elle-même qui découleraient de l’érection du bureau de la CNSS d’Isiro en direction provinciale, notamment l’optimisation du travail de la CNSS, le recrutement prioritaire au sein des populations locales et la promotion des cadres de cette province.
Il appelle le directeur général de la CNSS à répondre à sa question dans les dix jours suivant la réception de la lettre, sous peine d’une interpellation.
“À défaut, je me réserve le droit, avec l’appui du caucus des députés nationaux du Haut-Uele, d’envisager d’autres actions pour obtenir gain de cause, pour le Haut-Uele, pour la CNSS et pour la RDC”, avertit-il.
Cette question écrite a été transmise au directeur général de la CNSS le 21 février par le bureau de l’Assemblée nationale.

Six véhicules chargés de matériaux pour la construction de six puits d’eau sont arrivés vendredi 21 février à Lubefu-Centre (Sankuru).
D’après le député national Hippolyte Djongambo, qui a plaidé en faveur de ce projet auprès des donateurs, les forages seront réalisés à Lubefu-Centre, Pembe et Shenga dans le secteur de Ndjovu.
Ce projet permettra également de réduire la corvée d’eau pour les femmes de Lubefu, qui doivent parcourir de longues distances pour puiser de l’eau.”
L’arrivée de ces six camions a suscité un immense enthousiasme et une grande joie parmi la population locale.
Elle est composée de plus de trente mille habitants de Lubefu-Centre et des localités de Pembe et de Shenga dans le secteur de Ndjovu.

Kinshasa, 23 février 2025 (ACP/MAP).- La présidente de la Commission des transports, de l’industrie, des communications, de l’énergie, de la science et de la technologie au Parlement panafricain (PAP), Behdja Lammali, a pris part, samedi à Midrand (Afrique du Sud), à la réunion du bureau élargi du PAP, indique un communiqué de l’Assemblée populaire nationale (APN).
Lors de cette réunion, « l’Algérie a reçu les félicitations des participants, à leur tête le président du PAP, à l’occasion de son élection au poste de vice-président de la Commission de l’Union africaine (UA), ce qui reflète la position privilégiée du pays sur la scène continentale », a précisé le communiqué.
Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels supervise depuis Blida la rentrée de la formation pour la session févrierEn outre, le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, M. Yacine El-Mahdi Oualid, a supervisé, dimanche, à partir de Blida, la nouvelle rentrée de la formation professionnelle pour la session février 2025, assurant une offre globale de plus 300.000 nouvelles places pédagogiques, tous modes et dispositifs de formation confondus.
A cela s’ajoutent « de nouvelles places pédagogiques pour les cours du soir, la formation des femmes au foyer, la formation en milieu rural et dans le cadre du dispositif d’alphabétisation, outre des nouvelles places pédagogiques pour les bénéficiaires de l’allocation chômage et les personnes aux besoins spécifiques ».
A noter que le secteur compte plus de 1.200 établissements de formation répartis sur différentes wilayas du pays, dont des instituts nationaux spécialisés et des centres de formation professionnelle.

« Les Forces civiles unifiées, une large coalition comptant des partis politiques, des représentants de la société civile et des factions armées.
La charte a déclaré que le gouvernement n’existait pas pour diviser le pays, mais plutôt pour l’unifier et mettre fin à la guerre, tâches, il a déclaré que le gouvernement aligné sur l’armée opérant à partir de Port-Soudan n’avait pas réussi à faire.
Les deux événements ont été accueillis au Kenya, suscitant la condamnation du Soudan et les critiques nationales du président kényan William Ruto pour avoir plongé le pays dans une mêlée diplomatique.
Le gouvernement soudanais a accusé les Émirats arabes unis de soutenir militairement et financièrement la RSF, les accusations d’experts de l’ONU et les législateurs américains disent crédibles.
Au début de cette semaine, le Soudan a adopté des modifications du document constitutionnel du pays, donnant à l’armée des pouvoirs élargis.

Kinshasa 23 février 2025 (ACP).- Une clinique juridique a procédé, samedi à Limete, commune au centre de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, au lancement de sa première association communautaire du droit à la santé dénommée « Bopikiliki» (bonne santé), au cours d’une campagne de sensibilisation sur cette thématique.
« Nous sommes très heureux d’aboutir à ce jour à la mise en place, après plusieurs mois d’études et d’échanges permanents avec les membres, composés pour la plupart des mères de famille de la commune de Limete, de notre première association communautaire du droit à la santé, afin de voir ensemble comment améliorer nos conditions de vie socio-économiques », a déclaré Me Charline Asifiwe Rugambwa, coordinatrice de la Clinique juridique de droit de la Santé.
Coordonnatrice de la clinique juridique, lors de la sensibilisation des membresPour Me Sédoux Lodji, secrétaire exécutif de cette organisation, cette première expérience dans la commune de Limete va conduire successivement à des séances de réflexions pour la création dans d’autres communes de Kinshasa, d’un nouveau dynamisme sur la thématique droit à la santé avec d’autres groupes sociaux vulnérables notamment les prisonniers, démunis et les marginalisés ainsi qu’avec les déplacés de guerre.
La clinique juridique du droit à la santé vise à assurer une assistance juridique gratuite sur cette thématique auprès de personnes vulnérables, a-t-on appris.
Parmi ses actions en figurent notamment; des campagnes desensibilisation sur le droit à la santé, sur les droits de l’homme et sur les mutuelles de santé, des formations de para-juristes, l’assistance psycho-socio-économique et juridique aux femmes, jeunes filles et enfants victimes des traumatismes des guerres ainsi que des sensibilisations sur le droit à un environnement sain pour garantir la bonne santé à tous, note-t-on.

Kinshasa, 23 février 2025 (ACP).- Un atelier stratégique régional des institutions nationales des droits de l’homme (INDH) pour contribuer au retour de la paix dans l’Est de la République démocratique du Congo (RCC), est prévu du 25 au 26 février à Kinshasa, selon un communiqué consulté dimanche par l’ACP.
« La Commission nationale des droits de l’homme (CNDH-RDC) organise pendant deux jours, soit du 25 au 26 février 2025 à Kinshasa, un atelier stratégique régional des institutions des droits de l’homme (INDH) et des leader des organisations de la société civile locale pour contribuer au retour de la paix dans l’Est de la RDC », a-t-on lu.
Selon des sources au sein de la CNDH-RDC, ce sont les représentants des INDH de la Communauté du développement de l’Afrique australe (SADC) et de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EA) qui vont prendre part à ces travaux, afin de proposer des solutions pour mettre fin, de manière définitive, aux massacres répétés des Congolais dans l’Est du pays.
L’atelier stratégique régional des INDH de Kinshasa ne manquera pas sûrement de condamner les violations massives des droits de l’homme orchestrées par l’armée rwandaise et ses supplétifs du Mouvement du 23 mars (M23) et de l’Alliance fleuve Congo (AFC), lors de l’occupation récente de Goma et de Bukavu, respectivement chefs-lieux du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.

Kinshasa, 23 février 2025 (ACP).- La construction de nouveaux établissements pénitentiaires à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC), a été préconisée, samedi, pour désengorger la Prison centrale de Makala, qui connaît une surpopulation, par un acteur judiciaire dans un entretien.
« La Prison centrale de Makala a été construite en 1957, avec une capacité d’accueil de 1500 pensionnaires.
Construire une prison dans chaque district va permettre de désengorger ce centre pénitentiaire de la capitale, bien qu’elle soit la plus grande du pays », a déclaré Jerry Ngienda, avocat général au parquet général de Kinshasa-Gombe.
Il a aussi relevé que le problème de la surpopulation de la Prison centrale de Makala va demeurer le plus longtemps possible, tant que le pays ne se construit pas d’autres prisons.
À travers cette vidéo-documentaires, les acteurs judiciaires et pénitentiaires ont été sensibilisés à l’amélioration des conditions de détention notamment préventive dans le pays.