Les consacrés congolais vivant en Italie encouragés à s’engager pour la paix

Le porte-parole de l’armée burundaise a fait cette déclaration en réaction aux informations relayées mardi par plusieurs médias, annonçant le retrait des militaires burundais de l’est de la RDC, après la prise de Goma et de Bukavu par le mouvement rebelle M23.
Sans préciser les parties de la RDC encore sous la responsabilité de l’armée burundaise, Gaspard Baratuza a traité de telles informations de « fake news » tout en recommandant au public de n’y prêter aucune attention.
C’est dans ce cadre qu’il a déployé environ 10 000 militaires dans l’est de la RDC pour faire face au groupe armé M23.
Ces accusations sont étayées par des rapports d’agences onusiennes, qui pointent un appui militaire rwandais au mouvement rebelle.
Pour la RDC, le M23 est un groupe “terroriste” et toute forme de négociation est catégoriquement rejetée.

Dans un élan patriotique,il a lancé un appel à l’unité nationale et à la cohésion, exhortant tous les Congolais à se ranger derrière le Commandant suprême, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi, pour la restauration de la paix dans l’Est du pays.
Un salon axé sur l’urbanisation et la connectivité des provincesL’édition 2025 des ExpobetonRDC s’annonce comme un véritable carrefour du développement urbain et économique.
Un accent particulier sera mis sur les corridors et les zones économiques spéciales, qui sont des moteurs essentiels pour l’intégration régionale et la connectivité entre les provinces.
Il a également rappelé que le traité du corridor du Lobito a été signé, et qu’il est temps d’accélérer sa mise en œuvre pour dynamiser le transport et le commerce à travers le pays.
Avec une vision ambitieuse et un engagement résolu, Jean-Bamanisa Saidi et son équipe s’activent pour faire de cette édition un tournant décisif pour l’avenir des villes congolaises et du secteur des infrastructures.

Boma, 21 décembre 2024 (ACP).- Les opérateurs de la justice ont suivi, du 20 au 21 décembre, une formation sur les droits des personnes détenues dans cette prison située dans la partie sud-ouest de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP d’une ONG.
« C’est une formation des sensibilisateurs sur les droits des personnes détenues qui intervient dans le cadre du projet appui à la protection des droits des personnes détenues de la prison de Ndolo à Kinshasa et la prison de Boma dans le Kongo central », a indiqué M. Gabriel Makiese, responsable de l’ONG Fédération congolaise de droits de l’homme et de développement, facilitateur de la formation.
« L’objectif est de former les membres du personnel pénitentiaire, les magistrats, les avocats, les défenseurs de droits de l’homme sans oublier un échantillon de détenus pour qu’ils puissent avoir les capacités avancées de sensibiliser les détenus pour que ces derniers connaissent leurs droits en tant que personnes détenues et comment les réclamer en cas de violation », a-t-il ajouté.
Le projet Appui à la protection des droits des personnes détenues, à travers lequel les détenus de la prison de Boma ont déjà bénéficié d’une assistante à différents niveaux, est un projet piloté par l’ONG Avocats de droits de l’homme (ADH), une structure basée à Kinshasa, dans la capitale de la République démocratique du Congo.
Ce concept opérateurs de la justice désigne, ici, notamment les responsables des parquets, de la prison, les avocats et les détenus de la prison de Boma.