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Kinshasa, 19 décembre 2024 (ACP).- La crise au sein de l’Office national des transports (Onatra) et l’accord signé avec le Gouvernement de la République démocratique du Congo ont été évoqués, jeudi à la Primature, lors d’une réunion entre la Première ministre et les délégués de cet établissement public de l’État.
La cheffe du Gouvernement qui tient à la relance complète des activités de l’Onatra, a, séance tenante, instruit le ministre du Budget pour apurer deux mois d’arriérés de salaires, afin de remettre les cadres et agents de cette entreprise dans leur droit.
Et nous avons rassuré la Première ministre devant les ministres qui étaient présents, vu que le 24 décembre, le gouvernement a pris l’engagement de payer un mois, et le deuxième mois à la quinzaine de janvier.
Au total, trois dossiers étaient traités lors de cette réunion, à savoir : la question des arriérés de salaires, la spoliation du patrimoine de l’Onatra et la dette de l’Etat à cette entreprise du Portefeuille.
À son tour, Martin Lukusa, Directeur général de l’Onatra a salué l’implication de la Cheffe du Gouvernement dans le règlement du malaise dans son entreprise.

« On va jouer dans deux semaines, maintenant tout le monde nous connaît dans ce groupe et tout le monde nous respecte, par rapport au début de cette phase des groupes.
On doit se préparer sérieusement afin de regarder nos adversaires dans les yeux pour ramener des bons résultats à Kinshasa », a déclaré Papy Kimoto.
Malgré trois matchs nuls en autant de rencontres, l’entraîneur de Maniema Union reste optimiste.
Le prochain match de Maniema Union aura lieu le 3 janvier 2025 face à l’AS FAR de Rabat, au Maroc.
Ce sera l’occasion pour les Congolais de prendre une option sérieuse sur la qualification, à la limite, de décrocher un quatrième match nul.

Kinshasa, 21 février 2025 (ACP/Xinhua).- Le ministre tunisien de la Santé a indiqué que l’Intelligence artificielle et la technologie moderne doivent rester au service des êtres humains et non le contraire, lors du 10ème Forum international de la santé numérique organisé de jeudi à samedi à Hammamet, a rapporté vendredi l’Agence Chine nouvelle.
« C’est à nous, décideurs, médecins, chercheurs et ingénieurs de veiller à ce que le progrès technologique reste bien au service de l’être humain et non l’inverse », a déclaré Mustapha Ferjani, ministre tunisien de la Santé.
Pour lui, l’intelligence artificielle (IA) et la santé numérique « ne sont plus un concept futuriste », mais « plutôt une réalité irréversible à vivre avec ».
Il a insisté sur l’importance d’opter pour une approche responsable, humaniste et inclusive », où l’IA « complète et renforce l’intelligence naturelle des médecins, sans pour autant la remplacer intégralement.
Ainsi, nous encourageons les innovations et les initiatives, afin de stimuler la créativité et encourager les solutions qui bâtiront la médecine du futur ».