ESU : L’Université de Kinshasa accueille la soutenance de thèse de M. Gloire Kitambala Efoto, un nouveau regard sur les communications digitale et politique

La RDC a saisi les instances judiciaires française et belge contre les filiales du groupe Apple, géant de la Tech, qu’elle accuse d’utiliser dans leurs produits , des minerais « exploités illégalement » dans sa partie Est, en proie à l’insécurité causée par les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda.
Ces minerais passent en contrebande dans la partie Est du pays, transitant par le Rwanda où ils sont blanchis et « intégrés dans les chaînes d’approvisionnement mondiales ».
La plainte vise ces faits, mais également les « pratiques commerciales trompeuses qu’Apple utiliserait » pour rassurer les consommateurs que les chaînes d’approvisionnement sont propres », indique le communiqué des avocats de la partie congolaise, Robert Amsterdam (Washington), William Bourdon et Vincent Brengarth (Paris), et Christophe Marchand (Bruxelles).
À lire entre les lignes de ce communiqué, la RDC envisage, avec cette première action judiciaire, de confronter les individus et les entreprises impliqués dans la chaîne d’extraction, d’approvisionnement et de commercialisation de ses ressources naturelles et autres minerais pillés sur son territoire.

L’agence onusienne indique que ces mouvements de population pourraient s’intensifier à mesure que les combats s’étendent dans le Sud-Kivu2.
Selon l’agence, de nombreuses autres personnes restent bloquées dans des centres collectifs, des sites de personnes déplacées endommagés ou dans des communautés d’accueil1.
Au même moment, au Nord-Kivu, la destruction des installations sanitaires, y compris les morgues, et les hôpitaux surpeuplés augmentent le risque de propagation des maladies infectieuses, dont le choléra, le paludisme et la rougeole, indique le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés2.
Dans ce contexte, l’agence onusienne appelle à une cessation immédiate des hostilités afin d’assurer la sécurité des civils, y compris des personnes déplacées1.
Elle exhorte également toutes les parties au conflit à cesser les attaques contre les infrastructures civiles et à garantir un accès humanitaire sans entrave

Décédé le vendredi 07 février 2025 des suites d’une maladie, le chef de bureau à l’Inspection Générale des Finances (IGF), Apo Ipan Ansh, sera inhumé le mardi 18 février au cimetière Nécropole 1, dans la ville de Kinshasa.
Cette annonce a été faite par sa famille biologique ainsi que par son employeur, l’Inspection Générale des Finances, dans un communiqué parvenu ce jeudi à la rédaction de 7SUR7.CD.
– Lundi 17 février 2025 : veillée mortuaire dans la salle Via Nova, sur l’avenue Prince de Liège (ex-avenue Shaumba).
– Mardi 18 février :- 9h00 : levée du corps de la morgue du Cinquantenaire pour le recueillement dans l’enceinte de l’hôpital du Cinquantenaire.
– 17h00 : bain de consolation dans la salle Via Nova.