Caricature : le parlement européen met la pression sur le Rwanda

« Les informations terrifiantes qui nous parviennent, font état de graves violations commises contre les enfants par les parties au conflit, notamment des viols et d’autres formes des violences sexuelles, lesquelles atteignent des niveaux jamais connus ces dernières années », a ajouté la source.
« Avant même que la crise ne s’intensifie, le recrutement d’enfants par des groupes armés était en hausse dans la région.
Des informations révèlent que des enfants âgés de 12 ans seulement sont recrutés au sein des groupes armés ou contraints de rejoindre leurs rangs », a-t-elle expliqué.
Face à cette situation, Mme Russell a appelé les décideurs du monde à agir dans l’urgence pour protéger les enfants et les familles face à cette recrudescence des bombardements et des tirs incessants dans la partie Est de la RDC.
Dans l’Est de la RDC, les déplacés sont confrontés à des conditions de vie précaires dans les camps.

Kikwit, 25 janvier 2025(ACP).
– La célébration du 13è anniversaire du parti politique Bloc uni pour la renaissance et l’émergence du Congo (BUREC), dans la ville de Kikwit, au Kwilu, sud – ouest de la République démocratique du Congo, a été dédiée à la restauration de la paix dans l’Est du pays, a constaté l’ACP samedi au cours d’une cérémonie.
« A cette occasion du 13è anniversaire de notre parti, nous compatissons avec nos sœurs et frères de l’Est pour tous les actes inhumains qu’ils subissent injustement de la part des ennemis de la RDC », a déclaré Grandi Makwela, secrétaire exécutif urbain du BUREC/Kikwit.
Il a profité de l’opportunité pour inviter les sympathisants de ce parti à se comporter dignement dans leurs milieux de vie respectifs pour sauvegarder l’honneur de leur parti, car BUREC est une école qui vise le changement des mentalités des Congolais, basé sur le pragmatisme, la loyauté et l’amour de la patrie.
Signalons que la célébration du 13è anniversaire du BUREC) est dédiée non seulement à la restauration de la paix dans l’Est du pays mais aussi au combat que mène le Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour libérer la partie est du pays.

La situation demeure alarmante à Goma plus de dix jours après de violents combats entre les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles du M23.
Les morgues de la ville sont toujours saturées, des centaines de corps n’ayant pas encore été inhumés.
« Les établissements de santé et les morgues sont saturés.
L’ONU avait fait état au total de plus de 3000 morts causés par les combats en trois jours à Goma et ses environs.
Selon les sources humanitaires, au moins 3 082 blessés ont été admis dans diverses structures de santé de Goma entre le 26 janvier et le 7 février.