Un employé de MSF grièvement blessé par balle à Masisi-Centre

L’enseignement de l’éducation civique donne des valeurs, des savoirs et des pratiques sur la consommation et la production durables ; le changement climatique ; les droits humains et l’égalité entre les genres ; la diversité culturelle et la tolérance, la promotion de la paix et la résolution pacifique des conflits.
Ces notions sont importantes pour les jeunes de la RDC surtout que le pays traverse une période de conflits prolongés qui affectent profondément la société, en particulier les jeunes générations.
Quelles sont les améliorations que peuvent apporter l’enseignement de l’éducation civique chez les jeunes ?
Elément de réponse dans ce magazine que je vous propose de suivre en cliquant ici:/sites/default/files/2025-01/06012025banaokapieducationciviqueschezlesjeunesweb.mp3

Trois soldats sud-africains ont été tués et 18 autres blessés lors d’affrontements avec le groupe armé M23 dans l’est de la République démocratique du Congo, selon des sources militaires et politiques en Afrique du Sud, citéeS par l’AFP.
L’Afrique du Sud a engagé 2 900 soldats dans cette mission, aux côtés d’autres contingents du Malawi et de la Tanzanie.
La SAMIDRC, mandatée par la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC), a pour objectif de rétablir la paix et de soutenir les Forces armées de la RDC (FARDC) dans leur lutte contre les groupes armés.
Malgré une prolongation de son mandat jusqu’en décembre 2025, la mission est confrontée à des défis majeurs, notamment des pertes humaines et une intensification des affrontements.
La communauté internationale appelle à un arrêt immédiat des hostilités, tandis que la situation sécuritaire dans l’Est continue de se détériorer, aggravant une crise humanitaire déjà alarmante.

Par le biais du Centre des Opérations d’Urgences de Santé Publique (COUSP), le Professeur Christian Ngandu, coordonnateur du COUSP, a mis en lumière les efforts conjoints déployés par le gouvernement central et les autorités locales pour maîtriser cette épidémie.
Dans une interview, le Professeur Ngandu a expliqué que grâce aux actions de riposte menées par des experts de la santé, la situation est en voie de stabilisation.
« Dès que le COUSP a reçu l’alerte, une équipe nationale composée d’épidémiologistes, de biologistes, de prestataires de soins, et d’acteurs spécialisés en prévention et contrôle des infections a été déployée sur le terrain.
« Nous avons inclus les leaders locaux, notamment le président de la société civile du Kwango, afin de coordonner efficacement la riposte.
Tous les acteurs impliqués s’efforcent d’apporter une réponse adéquate pour protéger et soigner les populations touchées par cette maladie fébrile à étiologie inconnue », a-t-il ajouté.