Langues maternelles : l’importance de l’éducation multilingue soulignée pour améliorer les résultats d’apprentissage

Moi, je reste convaincu que le président de la République a effectivement gagné les élections de 2018 ».
C’est pour ça que dans ce troisième chapitre, j’aborde la question du changement de la gestion de l’État », a-t-il indiqué.
Et de renchérir :« Ils nous ont montré qu’ils n’étaient peut-être pas aussi instruits que nous, mais qu’ils ne se trompaient pas.
« J’essaie de donner, à travers cet ouvrage, des raisons à l’opinion publique de faire confiance à l’homme qui nous dirige, parce que pour l’instant, on n’a pas d’alternative.
De toute façon, c’est lui qui nous doit nous faire gagner cette guerre, nous devons nous mettre en ordre de bataille.

Les autorités nigériennes ont annoncé la tenue des Assises nationales pour la période allant du 15 au 19 février courant, pour un avant-projet de la charte de la transition.
Le même jour, le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) et chef de l’Etat Abdourahamane Tiani a nommé les membres de la “Commission nationale chargée de la conduite des travaux des Assises nationales”.
Selon le décret qui la crée, cette commission a pour missions, entre autres, d’exploiter la synthèse des Assises régionales et de proposer un avant-projet de la charte de la transition.
Cette charte fixera la durée de la transition, ainsi que ses organes, la procédure de désignation de leurs membres et leurs prérogatives.
Dans une adresse à la nation en août de la même année, ce dernier a promis une transition dont la période ne dépassera pas les trois ans.

« La solution est à trois niveaux : judiciaire, diplomatique et militaire.
Associer cela à la mobilisation de la rue, nous gagnerons cette guerre », suggère-t-il.
Cependant, cette plateforme de la société civile dénonce la complicité de la communauté internationale face à cette tragédie.
La solution reste congolaise.
Sur terrain, les affrontements se poursuivent entre l’armée nationale et les rebelles soutenus par l’armée rwandaise au Sud-Kivu, après l’épisode de Goma.