RDC : Le Service national offre 450 bancs-pupitres à l’ISTA, fabriqués par d’ex-Kuluna

La campagne du Service national en faveur des établissements d’enseignement supérieur se poursuit en République démocratique du Congo.
Ce mardi, le Lieutenant-général Jean-Pierre Kasongo Kabwik, commandant du Service national, a remis 450 bancs-pupitres à l’Institut supérieur des techniques appliquées (ISTA) de Kinshasa.
Au total, 1.000 unités sont prévues pour l’ISTA dans le cadre de cette initiative visant à améliorer les infrastructures scolaires.
Les autorités académiques de l’ISTA ont salué cette initiative et l’implication du président Félix Tshisekedi dans le renforcement du Service national.
D’autres dotations sont prévues dans les semaines à venir à travers le pays, dans le cadre du programme du Service national pour l’amélioration des conditions d’apprentissage.

Membres du Groupe de contact international, l’Allemagne, la Belgique, le Danemark, les USA, la France, les Pays‑Bas, le Royaume‑Uni, la Suède, la Suisse et l’UE soutiennent des initiatives de dialogue

C’est le cas du groupe de contact international pour la région des Grands Lacs (ICG).
« Nous insistons également sur l’importance des initiatives de dialogue intra-congolais visant à renforcer la cohésion nationale de la RDC, telles que les efforts de facilitation menés par les églises », dit la déclaration.
Le Groupe de contact international soutient pleinement le processus politique conduit par les pays africains et établi par les processus de Luanda et de Nairobi.
« Nous saluons le travail accompli par le président angolais et nouveau président de l’Union africaine (UA), João Lourenço, ainsi que par l’ancien président kényan, Uhuru Kenyatta.
Mais cette démarche est réfutée par le parti présidentiel, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) qui affirme que « l’église n’a pas vocation de prendre des initiatives politiques ».

RDC : Uvira se réveille timidement ce jeudi, les activités toujours paralysées, des tirs toujours entendus au lendemain des affrontements entre militaires et wazalendo (Situation à 9H00 locales)

D’après les sources locales, plusieurs colonnes de militaires sont signalées dans la ville.
Les indices des affrontements de ces derniers jours entre forces coalisées des FARDC et des wazalendos sont toujours encore ressentis.
Pendant ce temps, le front est toujours signalé loin d’Uvira, dans la plaine de la Ruzizi.
Selon les informations, les rebelles du M23 sont arrivés à Sange dans la soirée.
Sange est la localité du territoire d’Uvira située sur la RN5, à au moins 35 kilomètres de la ville d’Uvira.

Présence suspecte du M23 à Kisangani : l’armée et la police se disent « pleinement mobilisées »

Le général-major Mujinga Timothée, commandant de la 31e région militaire, a rassuré mercredi 19 février la population de Kisangani face à des rumeurs annonçant la présence des rebelles du M23 dans la province de la Tshopo, notamment dans la capitale provinciale, Kisangani.
Face à cela et à d’autres messages inquiétants, l’armée parle « des rumeurs infondées » et « de fausses informations ».
Dans un communiqué, le général Mujinga Timothée a tenu « à rassurer que la PNC et les FARDC sont pleinement mobilisées pour assurer la sécurité et la protection de toute la population et de leurs biens ».
Pour vaincre l’inquiétude et tout mouvement suspect, l’armée invite à une collaboration solide entre la population et les autorités compétentes.
« La collaboration entre les forces de sécurité et la population est essentielle pour maintenir la paix et la quiétude dans notre province », lit-on dans le communiqué.

A l’ONU, Kinshasa exige un vote public d’une résolution contre Kigali: “Assez des prétextes, assez de relativisme culturel derrière lequel se cache un attentisme aux conséquences tragiques”

Dans son exposé, la cheffe de la diplomatie congolaise a appelé le Conseil de sécurité à plus de fermeté à l’égard de Kigali.
Kinshasa a exigé qu’une résolution de condamnation du Rwanda soit votée publiquement.
Assez des prétextes, assez de relativisme culturel derrière lequel se cache un attentisme aux conséquences tragiques.
Le statut du Rwanda doit donc être révoqué sans délai”.
Cette initiative n’est pas du tout appréciée du côté du pouvoir qui s’en tient aux processus de Luanda et Nairobi jusque-là au point mort.

Caricature : des consultations pour le pacte social d’un côté, l’avancée des rebelles de l’autre

La Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) et l’Église du Christ au Congo (ECC) poursuivent leurs consultations dans le cadre du projet « Pacte social pour la paix et le bien-vivre ensemble en RDC et dans les Grands Lacs ».
Cette initiative vise à rassembler les acteurs sociopolitiques et régionaux afin de trouver des solutions durables à la crise sécuritaire qui frappe l’Est du pays.
L’objectif du Pacte social est de favoriser un dialogue national inclusif pour renforcer la cohésion et éviter le recours aux armes.
Alors que les consultations avancent, la situation sécuritaire continue de se détériorer avec l’occupation d’une partie du Nord-Kivu et du Sud-Kivu par la rébellion du M23/AFC soutenue par l’armée rwandaise.
La classe politique congolaise explore diverses pistes pour restaurer la paix, mais l’absence de consensus sur les modalités d’un dialogue complique les efforts des religieux.

Crise sécuritaire dans l’Est de la RDC : tout en soutenant le “Pacte social pour la paix” de l’ECC-CENCO, les écrivains congolais appellent à l’unité et à l’action

Face à la situation sécuritaire en pleine détérioration quotidienne dans la partie Est de la RDC, les écrivains congolais sortent du silence et lancent un cri d’alarme.
Dans cette optique, les hommes des lettres congolais, conscients de la gravité de l’heure pour le pays, soutiennent le “Pacte social pour la paix” proposé par le duo ECC-CENCO, récemment proposé par les catholiques et protestants.
L’initiative de “Pacte social pour la paix et le bien-vivre ensemble en RDC” vise à instaurer un dialogue régional pour mettre fin aux conflits qui ravagent l’Est du pays.
Ce projet cherche à organiser un dialogue national inclusif pour renforcer la cohésion nationale et proposer des solutions durables à la crise sécuritaire.
Les écrivains congolais espèrent que ce message sera entendu et que l’histoire “ne retiendra pas leur silence face à l’inacceptable”.

Guerre dans l’Est de la RDC : les Kinoises se prononcent sur le dialogue comme solution pour sortir le pays de la crise (Baladeur)

Face à cette situation, la question du dialogue comme solution pour sortir de la crise demeure inexploitée.
Pour Jolie Nkuna, mère de famille résidant à Ngaba, le dialogue est une nécessité, mais il doit être encadré par des conditions strictes.
“Le dialogue est la seule solution pour mettre fin à la guerre dans l’Est.
Si l’on veut vraiment que cette fois cela fonctionne, il faut que les responsables de la violence soient tenus responsables et que des conditions strictes soient imposées”, a-t-elle précisé.
De son côté, Laetitia Ndaya, commerçante, insiste sur l’importance d’inclure les victimes directes de la guerre, notamment les déplacés, dans les discussions.

Lualaba : des hippopotames sèment la terreur au village Kapepa

Depuis 2018, les habitants du village Kapepa, situé dans le territoire de Mutshatsha, à 15 kilomètres de Kolwezi, vivent dans l’angoisse.
Deux hippopotames terrorisent la population, saccagent les champs et empêchent même la pêche dans le fleuve Congo, pourtant source de subsistance pour de nombreuses familles.
Ce village peuplé de milliers de personnes subit depuis plusieurs années la présence envahissante de ces animaux sauvages.
Les autorités locales sont accusées par certains habitants de ne pas prendre les mesures nécessaires pour protéger la population.
Lire la suite sur DESKNATURE.COM

Hausse de taux de criminalité à Goma : Neuf autres présumés bandits armés tués en moins de 24 heures

Quatre présumés bandits armés ont été tués dans la soirée de ce mercredi à Goma.
« Vers 23h, nous avons entendu des bruits, des pas et des voix, et nous avons rapidement compris que des voleurs faisaient du porte à porte.
Deux autres présumés voleurs ont été tués dans la même soirée toujours au quartier Himbi, sur l’avenue Walikale, près de la mosquée Katindo.
Au moins 16 personnes ont perdu la vie dans des circonstances violentes en moins de 48 heures à Goma et dans le territoire voisin de Nyiragongo.
La présence de ces prisonniers en liberté, combinée à l’activité des groupes armés dans la ville, alimente la montée de la criminalité, particulièrement des wazalendos.

Accepter les Notifications pour ne pas rater les news de la RDC OK No