Lubumbashi : des enseignants d’universités formés sur le système d’information géographique

L’invalidation du candidat député national Sam Bokolombe par la Ceni lors des élections législatives nationales de 2023 à Basankusu dans le grand Equateur refait surface, avec des conséquences de droit qui en découlent.
Sur base de quels éléments la Ceni procède à l’invalidation de certains candidats à la députation nationale, a l’annulation de leurs scrutins, en l’occurrence Sam Bokolombe ?
Quelles conséquences de droit découlent d’une telle décision, lorsque la justice classe le dossier de l’enquêté sans suite ?
Cela, après avoir demandé à la Ceni de prouver ses accusations et après un appel à témoin sans résultat.
Blanchi, Sam Bokolombe menace ainsi de traduire en justice le président de la Ceni et l’Etat congolais pour obtenir réparation du préjudice causé.

2025-01-032025-01-032025-01-032025-01-03Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/01-05/prison_de_makala_liberation_prisonnier_1_242.jpegDes mesures collectives de grâce ont été accordées à certains détenus, par le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, aux termes d’une série d’ordonnances lues mardi 31 décembre 2024 à la radiotélévision nationale (RTNC).
« La commutation de la peine de servitude pénale à perpétuité en celle de 20 ans de servitude pénale principale est accordée à toute personne condamnée par décision judiciaire devenue irrévocable à la date du 31 décembre 2024 », a-t-on lu.
Les détenus passibles de la peine de mort ont vu, de leur côté, la sentence qui les frappait commuer en celle de servitude pénale à perpétuité.
« La remise de la peine restant à exécuter est accordée à toute personne condamnée à une peine de servitude pénale ou de travaux forcés inférieure à 5 ans par décision judiciaire devenue irrévocable à la date du 31 décembre 2024 », a également ajouté l’ordonnance précitée.
A ceux-là s’ajoutent aussi les condamnés pour blanchiment des capitaux, financement du terrorisme et autres crimes économiques et financiers, mais également pour atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’État.

Kinshasa, 13 décembre 2024 (ACP).- Des journalistes basés à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC), ont été formés vendredi, au cours d’un atelier sur les réformes institutionnelles et électorales par la fondation »Hirondelle », avec l’appui de l’Union européenne (UE), a constaté l’ACP.
Ces assises ont permis aux journalistes de Kinshasa d’être outillés sur les réformes institutionnelles et électorales », a déclaré Francis Albert Kamguem, Représentant-pays de la Fondation »Hirondelle ».
« Cette formation a ambitionné donc de doter les journalistes des outils nécessaires pour qu’ils comprennent mieux les réformes afin de les analyser et produire des contenus journalistiques de qualité.
Plusieurs points ont été évoqués au cours de cette formation, notamment, la terminologie, les caractéristiques, les types et les acteurs des réformes institutionnelles, les objectifs et défis des réformes institutionnelles, les mesures favorisant un large consensus, des critères de mesures de l’efficacité et des facteurs favorisant l’échec d’une réforme institutionnelle.
Les réformes institutionnelles des 30 dernières années, la présentation de la constitution du 18 février 2006 et de sa révision, les tendances vis-à-vis de la réforme constitutionnelle et les effets pervers de l’adoption ou non d’une réforme, font également partie des points abordés au cours de ces assises.