L'Information c'est le pouvoir! Restez informé avec Congo Kiosk agrégateur des nouvelles de la RDC
Arrêt sur images
Kinshasa: en toute quiétude, les fidèles catholiques et protestants ont répondu présent aux cultes dominicaux malgré les menaces proférées par des personnes non identifiées sur les réseaux sociaux
Author(s): mediacongo.net
Source: Access the article
C’est ainsi que le gouvernement congolais a interpellé mercredi la SADC et l’EAC à convoquer en urgence la réunion des chefs des forces de défense.
Le gouvernement congolais avait pris acte de la décision unanime des chefs d’État et gouvernement du sommet conjoint SADC-EAC de réaffirmer le respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de la RDC, ainsi que de l’engagement pour le retrait des forces étrangères non invitées.
Cependant, Kinshasa estime que la mise en œuvre de ces décisions dépendra de la relance rapide et coordonnée des processus de Luanda et de Nairobi qui devront désormais être fusionnés.
Kinshasa a averti que toute tentative de détourner l’attention des véritables causes du conflit serait rejetée, rappelant que la crise actuelle est avant tout une atteinte à sa souveraineté et à sa sécurité, et non une question ethnique.
Le gouvernement a souligné que l’application stricte des décisions du sommet sera déterminante pour un retour durable à la paix.
Guerre à l’Est : «Uhuru Kenyatta a accepté de faciliter la négociation des pourparlers entre le M23 et la RDC»(sous-secrétaire d’État américain)
Bruxelles, 28 janvier 2025 (ACP).- La Belgique a décidé, lundi, de rappeler son ambassadeur en République démocratique du Congo, après le verdict concernant son ressortissant Jean-Jacques Wondo, condamné à mort en appel par la Cour militaire de Kinshasa, dans l’affaire du coup d’Etat étouffé le 19 mai 2024, selon un communiqué parvenu mardi à l’ACP.
Selon la source, le royaume de Belgique a dénoncé à plusieurs reprises la levée du moratoire sur la peine de mort en République démocratique du Congo.
« La Belgique est non seulement opposée à la peine de mort en toutes circonstances, quel que soit le crime, mais elle est activement engagée en faveur de son abolition sur la scène internationale.
Bruxelles, qui souligne « la grande faiblesse des éléments présentés durant les audiences et le manque manifeste de preuves crédibles », a estimé que cette condamnation à mort « ne peut être prise à la légère ».
« Elle aura des conséquences pour nos relations bilatérales, que nous allons examiner », a ajouté le texte.