Day: February 17, 2025

« Des criminels à mains armées ont cambriolé malheureusement un cambiste devant le lounge bar de Martin Bakole sur rond-point Huileries.
Pour des témoins et victimes de ce braquage, ces bandits armés avaient déjà fait le repérage du lieu :« Des criminels nous ont braqué.
Quand ils ont payé après consommation des boissons, ils m’ont suivi tous les deux jusqu’au guichet.
Ils étaient en train de tout observer, mais je n’avais même pas l’idée que c’étaient des bandits.
Ces bandits ont par la suite braqué le shop à côté de MB Lounge.

« Je dénonce avec fermeté les attaques contre les militants de notre parti politique UDPS dans le Nord et Sud-Kivu.
Selon lui, ces actes ignobles à l’égard de ces militants sont considérés comme étant des « violations délibérées des droits fondamentaux ».
Il a, à cette occasion, appelé la communauté internationale à procéder à un suivi minutieux de ces attaques qui sont inacceptables.
Par ailleurs, M. Kabuya a appelé tous les militants de l’UDPS à faire bloc autour du Chef de l’État, Félix Tshisekedi durant cette période de lutte contre l’agresseur.
Le président ad intérim de l’UDPS a encouragé les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et les Wazalendo face à cette guerre d’agression rwandaise dans la partie Est du pays et les a appelés à tenir bon dans ce combat noble et juste.

Aujourd’hui, c’est une date significative dans l’histoire politique de la République Démocratique du Congo.
Célébrer 43 ans d’existence est un moment crucial pour le parti et ses membres.
Cette messe d’action de grâce à la paroisse Saint Anne a dû être un événement mémorable pour renforcer la solidarité et l’unité au sein du parti », a-t-il ajouté.
Cette lettre étais la première contestation non-violente du régime de Mobutu , où Étienne Tshisekedi wa Mulumba qui a toujours prôné pour la démocratie.
Il sied de noter que, l’UDPS a joué un rôle crucial dans la lutte pour la démocratie en République Démocratique du Congo et continue de faire pression pour des réformes et des droits civils.

2025-02-172025-02-172025-02-172025-02-17Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/17-23/kwilu_pancarte.jpgLe territoire de Bulungu, dans la province du Kwilu, a enregistré plus de 20 cas de justice populaire entre 2020 et 2024, entraînant des pertes en vies humaines et des incendies de maisons d’habitation.
Selon l’administrateur du territoire par intérim, Triphon Mukunzi, cette situation est alimentée par une croyance selon laquelle il n’existerait pas de mort naturelle, poussant ainsi la population à se venger.
“La police interpelle systématiquement tout contrevenant, quel que soit son âge, et le remet à la justice”, a-t-il martelé.
L’administrateur a également évoqué un cas récent : la mort du chef de groupement Mbelo-Ludianga, Ferdinand Kikongo, accusé à tort d’être responsable du décès de l’un de ses neveux.
“Ces actes de justice populaire doivent cesser définitivement”, a-t-il insisté.

« En l’occurrence, depuis l’occupation de cette partie du pays par les troupes de l’armée rwandaise, les membres de notre parti sont systématiquement traqués, harcelés, enlevés et violentés à cause de leurs convictions et de leur coloration politiques », a déclaré Augustin Kabuya.
Face à cette situation, l’UDPS exhorte la communauté internationale à suivre de près cette situation qu’elle qualifie de « dramatique », marquée par des violences délibérées contre les droits fondamentaux des populations du Nord et du Sud-Kivu.
« Il est connu de tous que l’UDPS est un parti non violent depuis sa création en 1982.
C’est pourquoi, nous lançons un appel à la communauté internationale pour un suivi minutieux de cette situation dramatique des violences délibérées contre les droits fondamentaux des populations du Nord et du Sud-Kivu dans les zones occupées par l’armée rwandaise », a ajouté Augustin Kabuya.
Depuis que les rebelles du M23, soutenus par l’armée rwandaise, ont pris le contrôle de Goma, plusieurs violations des droits humains ont été rapportées, notamment des exécutions sommaires en plein jour.

Dans un communiqué rendu public ce lundi 17 février 2025, l’UDPS/Tshisekedi, parti présidentiel, déplore la traque systématique et ciblée de ses cadres et militants par les agresseurs dans la partie Est de la RDC, précisément dans le Nord et le Sud-Kivu, depuis le mois de janvier dernier.
Face à cette situation dramatique, l’UDPS/Tshisekedi alerte la communauté internationale sur ces actes barbares délibérés qui violent les droits fondamentaux des populations du Nord et du Sud-Kivu dans les zones sous occupation de l’armée rwandaise et de ses supplétifs du M23.
Il est de ce fait inacceptable que ses membres soient martyrisés à cause de leur opinion purement politique.
Sur ce, nous lançons un appel à la communauté internationale pour un suivi minutieux de cette situation dramatique des violences délibérées contre les droits fondamentaux de la population du Nord et du Sud-Kivu dans les zones occupées par l’armée rwandaise.
L’UDPS réconforte ainsi les Forces loyalistes et les combattants Wazalendo en leur demandant de ne pas céder à la démoralisation, ni à l’intoxication, et moins encore à la manipulation distillée par les agresseurs sur les réseaux sociaux, et de “tenir bon dans ce combat noble et juste” mené contre les ennemis de la République.

À l’issue du sommet dimanche, concernant la crise en Rdc, les chefs d’État ont approuvé le principe la fusion des deux processus de Luanda et de Nairobi pour éviter les interférences entre différents canaux de médiation.
Ce dernier estime que pour que la paix revienne en RDC, il n’y a pas d’autre solution que le dialogue.
Question :-Quelles suites pour la médiation dans la crise dans l’Est de la RDC ?
-Jean-Baptiste Muhindo Kasekwa, premier vice-président du parti Politique Engagement Citoyen pour le Développement, ECIDE, parti membre de la coalition Lamuka et notable du Nord-Kivu.
-Henry-Pacifique Mayala, coordonnateur du Baromètre sécuritaire du Kivu, Kivu Security Tracker (KST), un projet conjoint du GEC-Ebuteli, Human Right Watch et la Bridgeway Foundation.

De nombreux quartiers de Kisangani, dans la province de la Tshopo, sont privés d’eau potable.
Si dans les anciens quartiers, la population est au moins desservie en eau potable, dans de nouveaux quartiers, l’eau de la REGIDESO est une denrée rare.
Les habitants de ces entités sont obligés de se débrouiller pour puiser l’eau des puits dont la plupart ne sont pas aménagés.
Et ensuite l’inadéquation entre la capacité fonctionnelle initiale de l’usine de production et le nombre d’habitants de la ville.
« La population de Kisangani a augmenté par rapport à la capacité de production qui, à l’époque était dimensionnée pour desservir 500.000 habitants et aujourd’hui nous sommes deux millions d’habitants… ».

Lors de la 38e session ordinaire de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine, qui s’est tenue à Addis-Abeba (Éthiopie) les 15 et 16 février 2025, les États membres ont adopté la Convention de l’Union africaine sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes et des filles.
Ce nouvel instrument continental vise à :- Prévenir et éliminer toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles en Afrique- ⁠Renforcer les mécanismes juridiques et institutionnels pour lutter contre cette violence- ⁠Promouvoir une culture de respect des droits humains et de l’égalité des sexes sur le continentLa Convention, élaborée à la suite de la décision prise en février 2023 par les chefs d’État et de gouvernement, s’attaque aux causes profondes de la violence et encourage une action commune des États parties.
La 38eme session ordinaire de l’UA a également permis de discuter des priorités pour 2025 et des mécanismes de mise en œuvre de l’Agenda 2063 de l’Union africaine, sur le thème « La justice pour les Africains et les personnes d’ascendance africaine par les réparations ».
Nancy Clémence Tshimueneka