Election du bureau du conseil provincial de la jeunesse du Kwango

Kenge, 16 février 2025 (ACP).- Les membres du bureau du conseil provincial de la jeunesse du Kwango au sud-ouest de la République démocratique du Congo ont été élus samedi à Kenge tard dans la soirée, au cours de l’assemblée générale extraordinaire élective organisé par le ministère provincial de la jeunesse de cette province.
Après compilation, le rapporteur de la commission électorale, Cedrick Batuyala a publié les résultats dont le candidat au poste de président, Espoir Lufalanka, l’a remporté sur son adversaire Didier Mwanza avec 92 sur 141 votants.
<< Les élections du bureau de conseil provincial de la jeunesse sont démocratiques et nous devons faire confiance à la commission de vote pour l’intérêt de la province >>, a conclu Augustin Kukula Kondalemba, Chef de Division Provinciale de la Jeunesse et Eveil patriotique du Kwango.
Auparavant, le ministre provincial de la jeunesse, Dr Apollinaire Yumba Tiabakwau, avait appelé lesmembres de la commission électorale de travailler dans toute neutralité et dans la transparence.
13 candidats étaient retenus définitivement à l’assemblée générale extraordinaire élective du bureau de conseil provincial de la jeunesse du Kwango, a-t-on appris.

Invasion rwandaise : le prétexte des FDLR en RDC détruit à l’UA

« Lorsqu’on gratte un peu sous la surface des prétextes régulièrement avancés par le Rwanda pour justifier son agression, il brandit la menace existentielle des FDLR et la protection des minorités ethniques en RDC.
« Ce sommet, conçu précisément pour établir un plan de neutralisation des FDLR, était l’opportunité idéale pour le Rwanda d’obtenir les garanties qu’il prétend réclamer.
En 30 ans, combien de fois les FDLR ont-ils envahi le Rwanda ?
« Depuis quand protège-t-on une communauté en l’exposant aux pillages, aux massacres et à l’occupation militaire d’une force étrangère ?
»Et surtout, en quoi le pillage systématique des ressources congolaises répond-il au problème des FDLR ou des minorités ?, s’est interrogée Judith Suminwa affirmant que « les faits sont là.

Agression rwandaise : après échange avec Tshisekedi, Macron appelle à un retrait “immédiat” du M23 de Bukavu

À travers un post sur son compte X ( ex Twitter), Emmanuel Macron annonce avoir échangé au téléphone avec le chef de l’État, Félix Tshisekedi, ce samedi 15 février 2025, sur l’agression rwandaise dans l’Est de la RDC, précisément au Sud-Kivu.
Le chef de l’État français, indique l’Élysée, a appelé à un cessez-le-feu “immédiat” qui doit être respecté par toutes les parties, insistant sur le retrait des rebelles du M23 de Bukavu, dans le Sud-Kivu.
« Des garanties de sécurité doivent être données pour permettre le retour sans délai des autorités civiles et militaires à Bukavu », a-t-il écrit.
Les Forces loyalistes et les Wazalendo seraient de retour dans la ville de Bukavu ce soir, renseignent plusieurs sources concordantes.

Matadi : le prix d’un bidon de 25 litres d’huile de palme passe de 30 000 à 60 000 francs congolais

Le prix d’un bidon de 25 litres d’huile de palme est passé, depuis quelques jours, de 30 000 à 60 000 francs, soit le double, dans la ville de Matadi, chef-lieu du Kongo-Central.
Une situation qui impacte directement le quotidien des habitants de Tshela, habitués à cuir plusieurs repas à la base des extraits de noix de palme, qu’ils appellent communément « la mwambe ».
Contacté, l’administrateur de territoire de Tshela indique que cette rareté de noix de palme se fait sentir depuis qu’une nouvelle usine de production d’huile de palme à Tshela a démarré ces essaies.
Hugo Mavambu laisse entendre que cette nouvelle usine s’est lancée il y a trois mois, à l’achat, à un bon prix de plusieurs régimes de noix de palme.
Et depuis, les producteurs locaux d’huile sont désavantageux et ils ne savent plus trouver les noix se palme.

Lubumbashi : la FEC alerte sur une éventuelle pénurie de carburant

La Fédération des entreprises du Congo (FEC) a alerté, mercredi 12 février, sur une éventuelle pénurie de carburant dans la ville de Lubumbashi, chef-lieu du Haut-Katanga.
Cette organisation patronale a tiré cette sonnette d’alarme dans une lettre, adressée au gouverneur de la province du Haut-Katanga, Jacques Kyabula.
Les premières sont essentiellement liées entre autres, à la baisse de production mais aussi à l’incendie survenu dans une raffinerie en Afrique du Sud.
Les deuxièmes portent sur l’engorgement à la frontière de Sakania.
Pour assurer l’ordre opérationnel à la frontière, les agents de la DGDA sont en sous-effectif et a cela s’ajoutent les tracasseries administratives dont sont victimes les transporteurs.

Mahagi : la population préfère plus le shilling ougandais que le franc congolais

La population du territoire de Mahagi (Ituri) préfère plus utiliser la monnaie ougandaise, Shilling que le franc congolais, boudé par les commerçants, a constaté, samedi 15 février, un reporter de Radio Okapi.
« Le franc congolais est presqu’égal au schilling pendant les transactions, mais comme tout le monde, il préfère utiliser la monnaie ougandaise au détriment du Franc congolais », a expliqué un taximan moto qui fixe le prix de la course en schilling.
Le Franc congolais n’a pas vraiment de valeur à Mahagi.
La monnaie qui domine ici, c’est le Schilling ougandais.
« Ici chez nous, huit mille francs congolais équivalent à dix mille schillings ougandais, mais au marché dix mille francs équivalent à dix mille schillings ougandais.

Agression rwandaise : la France « prête » à la mise en œuvre de nouvelles sanctions

2025-02-152025-02-152025-02-152025-02-15Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/10-16/kagame_macron_16_fevr_2025.jpgAprès la percée de l’armée rwandaise et du M23 dans la province du Sud-Kivu, la France, à l’instar de l’Union européenne, s’est dite « prête » à la mise en œuvre de nouvelles sanctions multilatérales contre tous les acteurs contribuant au conflit armé, à l’instabilité et à l’insécurité dans l’est de la RDC.
« La France condamne avec fermeté l’offensive du M23 soutenue par le Rwanda dans le Sud-Kivu en direction de Bukavu, à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC).
Alors que le Rwanda n’entend pas reculer, la France se dit « prête à la mise en œuvre de nouvelles sanctions multilatérales contre tous les acteurs contribuant au conflit armé, à l’instabilité et à l’insécurité à l’est de la RDC ».
La reprise du dialoguePour une solution durable à ce conflit, Paris a appelé l’ensemble des groupes armés, dont le M23, à déposer les armes et à reprendre le dialogue.
Selon l’administration Macron, la priorité va au retour au cessez-le-feu et à la reprise des négociations.

Antonio Guterres : « la souveraineté et l’intégrité territoriale de la RDC doivent être respectées »

2025-02-162025-02-162025-02-162025-02-16Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/10-16/guerre_rwando_congolaise_le_cps_de_l_ua_se_reunit_vendredi_en_presence_de_guterres.jpgLe secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, sans condamner clairement l’offensive des Forces rwandaises de défense (RDF), a exigé samedi le respect de la souveraineté et l’intégrité territoriale de la République démocratique du Congo (RDC).
L’impasse doit prendre fin et le dialogue doit commencer.
Et la souveraineté et l’intégrité territoriale de la RDC doivent être respectées », a-t-il déclaré du haut de la tribune de l’UA.
Pour Antonio Guterres, il est désormais temps de procéder à une mise en œuvre rapide des décisions du sommet de Tanzanie.
Dans un communiqué publié samedi, la France s’est dite « prête » à la mise en œuvre de nouvelles sanctions multilatérales contre tous les acteurs contribuant au conflit armé, à l’instabilité et à l’insécurité dans l’est de la RDC.

Conflits en Afrique : Mahamoud Ali Youssouf entend renforcer les mécanismes de médiation

2025-02-162025-02-162025-02-162025-02-16Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/10-16/mahamoud_ali_youssouf_et_tshisekedi_16_fevr_2025.jpgLe Djiboutien Mahamoud Ali Youssouf est le nouveau président de la Commission de l’Union africaine.
Inspiré par le programme « faire taire les armes d’ici 2030 », le chef de la diplomatie djiboutienne s’est engagé à intensifier les actions africaines pour prévenir les conflits et promouvoir la stabilité.
« Fort de mon expérience diplomatique, je renforcerai les mécanismes de médiation et d’arbitrage, et j’aborderai les causes profondes des conflits, telles que la pauvreté et les inégalités.
La collaboration avec les États membres, les organisations régionales et internationales, et la société civile sera cruciale pour construire un avenir pacifique », s’est-il engagé, rappelant que la paix et la sécurité sont essentielles pour le développement durable de l’Afrique.
Mahamoud Ali Youssouf a aussi promis de promouvoir l’implication de l’Afrique dans les forums internationaux, en utilisant ces plateformes pour faire avancer les intérêts économiques et de développement du continent, et en veillant à ce que l’Afrique soit un acteur influent dans les discussions sur les politiques mondiales.

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