Est de la RDC : « Ce problème sera résolu s’il existe une unité africaine efficace » (Antonio Guterres)

Le premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean-Claude Tshilumbayi lance une mise en garde contre tous ceux tenteraient de profaner les lieux de culte, ce dimanche 16 février.
Jean-Claude Tshilumbayi réagissait ainsi contre les lanceurs des messages, sur les réseaux sociaux, incitant à la profanation des lieux de culte catholiques.
Il faut que tous ces gens qui lancent de tels messages soient arrêtés et tout celui qui tenterait de perturber les lieux de culte soit interpellé, jugé et condamné sévèrement ».
Il a révélé que ces messages ont été préparés dans des officines des « ennemis et de ceux qui combattent la République ».
Jean-Claude Tshilumbayi a rappelé que la RDC est un Etat où les libertés s’exercent librement parmi ces libertés celle de culte.

Au cours de la conférence co-animé avec le porte-parole de l’ECC -Église du Christ au Congo-, au siège de la CENCO, ce prélat catholique a rassuré la disponibilité des évêques à offrir leur disponibilité, pour, dit-il, le bien-être du Congo.
Abordant dans la même optique, Eric Senga, porte-parole de l’Église du Christ au Congo, a souligné la nécessité du dialogue à l’heure actuelle.
Même nos militaires ne sont pas faits pour mourir, ils ont droit à la vie », a déclaré le Révérend Pasteur Eric Senga.
Jusque-là, la délégation CENCO-ECC a déjà échangé avec le président de la République Félix Tshisekedi et l’opposant Martin Fayulu, à qui elle a remis la feuille de route.
Les deux personnalités ont manifesté leur intérêt au pacte social pour la paix voulue par les religieux.

« L’Académie CAFCO vise à pérenniser les actions d’un projet assurant l’émergence des jeunes femmes leaders à la base.
Selon Mme Lula, cette plateforme innovante va permettre aux femmes leaders de transmettre des compétences intergénérationnelles aux jeunes émergentes, tout en favorisant des synergies de travail entre elles.
« Les activités de l’Académie incluent les dialogues intergénérationnels entre femmes leaders et jeunes émergentes pour échanger des expériences.
Des modules de formation sur le leadership féminin, les droits fondamentaux des femmes, les conférences mondiales sur les femmes et le Programme d’Action de Beijing», a-t-elle expliqué.
Ce programme marque une étape décisive dans la promotion du leadership féminin en RDC, en plaçant les jeunes femmes au cœur de l’action pour une transformation durable.