Union africaine : João Lourenço prend la présidence tournante pour l’exercice 2025

2025-02-152025-02-152025-02-152025-02-15Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/10-16/joao_lourenco_251.pngLors de la 38ᵉ session ordinaire de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’UA, tenue à Addis-Abeba, capitale Éthiopienne, João Lourenço a été porté à la présidence tournante de l’Union africaine pour l’année 2025.
Dans son discours d’investiture, le président Angolais a présenté une vision axée sur le développement des infrastructures essentielles et l’intégration économique du continent.
Lourenço a également souligné l’importance des infrastructures comme levier de développement et de transformation économique.
« Nos priorités incluent les infrastructures fondamentales : réseaux ferroviaires, routiers, aéroportuaires, portuaires et centrales électriques, indispensables à l’industrialisation de notre continent et à l’amélioration des conditions de vie de nos populations », a-t-il promis.
Rappelons que João Lourenço, qui a abdiqué son rôle de médiateur dans le conflit qui oppose la République démocratique du Congo au Rwanda, succède à son homologue mauritanien Mohamed Ould Cheikh Ghazouani.

Kinshasa : déploiement des policiers pour assurer la sécurité des paroisses catholiques et protestantes

2025-02-152025-02-152025-02-152025-02-15Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/10-16/cathedrale_du_centenaire_a_kinshasa_25.jpgLes commandants de police ont été instruits de déployer leurs éléments dans les paroisses catholiques et protestantes pour assurer la sécurité avant, pendant et après les messes et cultes de dimanche 16 février à Kinshasa, a-t-on appris samedi 15 février 205 de source policière.
« Vous devez instruire tous les commandants des commissariats urbains sous vos ordres de procéder au déploiement des éléments de la Police nationale congolaise (PNC) dans chaque église catholique ou protestante dans vos zones de responsabilité », a indiqué le télégramme du commissariat provincial de la police ville de Kinshasa.
Selon le document, les commandants de police ont été instruits à signaler tout fait saillant de nature à troubler la tranquillité et l’ordre public.
Ce télégramme de la PNC a été envoyé aux commandants des commissariats plus de deux jours après la diffusion d’une vidéo dans sur les réseaux sociaux appelant à des actes de vandalisme contre ces églises.
Réagissant à cette vidéo largement relayée sur la toile, la commission diocésaine des jeunes de l’Eglise catholique a exhorté dans un communiqué, ses membres au calme et à ne pas céder à la provocation.

RDC : Dispositif sécuritaire renforcé à Kinshasa face aux menaces contre les églises, l’Assemblée nationale, le gouverneur, la police appellent au calme

Face à la montée des tensions et aux menaces de troubles ciblant les paroisses catholiques à Kinshasa, plusieurs autorités congolaises, dont le gouverneur de la capitale, la police, l’Église catholique et des responsables politiques, appellent au calme et à la retenue.
Le gouverneur de Kinshasa, Daniel Bumba, a exhorté vendredi les habitants à « ne pas céder à l’intox » et à continuer leurs activités normalement, notamment en se rendant aux lieux de culte.
Appels au calme des autorités et de l’ÉgliseLe premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean-Claude Tshilumbayi, a également lancé un appel à la retenue et condamné les menaces contre les lieux de culte.
De son côté, le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa, a exhorté les fidèles à la prudence, à la vigilance et à la protection des infrastructures ecclésiastiques, tout en les encourageant à assister normalement à la messe dominicale.
« Ne participez pas à des marches que nous ne sommes pas sûrs de pouvoir encadrer », a-t-il averti, cherchant ainsi à prévenir tout débordement.

Le djiboutien Mahamoud Ali Youssouf succède au Tchadien Moussa Fakhi à la présidence de la Commission de l’Union Africaine

Le désormais ancien ministre des Affaires Étrangères de Djibouti Mahamoud Ali Youssouf est le nouveau président de la Commission de l’Union Africaine succédant au Tchadien Moussa Fakhi Mahamat qui a épuisé ses deux mandats à la tête de cette commission qui fait office de la branche exécutive/administrative ou de secrétariat de l’Union Africaine (UA).
Il y avait notamment l’opposant kényan Raila Odinga, l’ancien ministre des Affaires étrangères malgache Richard Randriamandrato et le ministre des Affaires étrangères djiboutien Mahmoud Ali Youssouf.
Par ailleurs, le gouvernement de la République démocratique du Congo avait annoncé fin janvier 2025 qu’une note de protestation officielle sera prochainement transmise à la Commission de l’Union africaine (UA) à Addis-Abeba.
Rappelons-le, qu’en date du 30 janvier 2017, le Tchadien Moussa Fakhi a été élu président de la Commission de l’Union Africaine, devançant la Kényane Amina Mohamed.
Le Tchadien Moussa Faki avait succédé à la Sud Africaine Nkosazana Clarice Dlamini-Zuma.

Médiateur dans la crise sécuritaire dans l’Est de la RDC, João Lourenço prend la présidence tournante de l’Union africaine

João Manuel Gonçalves Lourenço, Président de l’Angola a pris officiellement ce samedi 15 février 2025 la Présidence tournante de l’Union Africaine (UA) pour l’année 2025 succédant à son homologue mauritanien Mohamed Ould Cheikh Ghazouani.
C’est l’un des moments forts à l’ouverture du 38ème Sommet de l’Union Africaine à son siège à Addis-Abeba en Ethiopie.
Parmi ces crises et conflits l’ont peut citer le Soudan, le Mozambique, l’Est de la République Démocratique du Congo et tant d’autres.
Dans un récent communiqué, l’Union Africaine avait exigé l’arrêt de combat sur terrain sans citer nommément le Rwanda considéré par Kinshasa comme à la base de la détérioration de la situation dans sa partie Est.
La vice-ministre des Affaires étrangères de la RDC, Gracia Yamba Kazadi, a exprimé la vive indignation des autorités congolaises lors d’un appel téléphonique avec Idrys Amir, chargé d’affaires de l’Union africaine en RDC.

RDC : découverte macabre d’au moins 70 autres corps de civils tués par des ADF à Lubero

Au moins 70 autres civils ont péri dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu.
Un forfait attribué aux rebelles ADF près de Maiba dans le groupement Manzya, à une quarantaine de kilomètres de Vuyinga.
Deux jours après l’enlèvement, leur corps ont été retrouvés gisant au sol vendredi dernier, rapporte le comité local de protection communautaire.
70 personnes ont été portées disparues par des présumés ADF.
Les victimes massacrées ont été retrouvées dans une église de la Communauté Baptiste au Centre de l’Afrique (CBCA).

RDC : Dispositif sécuritaire renforcé à Kinshasa face aux menaces contre les églises, l’Assemblée nationale, le gouverneur, la police appellent au calme

Face à la montée des tensions et aux menaces de troubles ciblant les paroisses catholiques à Kinshasa, plusieurs autorités congolaises, dont le gouverneur de la capitale, la police, l’Église catholique et des responsables politiques, appellent au calme et à la retenue.
Le gouverneur de Kinshasa, Daniel Bumba, a exhorté vendredi les habitants à « ne pas céder à l’intox » et à continuer leurs activités normalement, notamment en se rendant aux lieux de culte.
Appels au calme des autorités et de l’ÉgliseLe premier vice-président de l’Assemblée nationale, Jean-Claude Tshilumbayi, a également lancé un appel à la retenue et condamné les menaces contre les lieux de culte.
De son côté, le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque de Kinshasa, a exhorté les fidèles à la prudence, à la vigilance et à la protection des infrastructures ecclésiastiques, tout en les encourageant à assister normalement à la messe dominicale.
« Ne participez pas à des marches que nous ne sommes pas sûrs de pouvoir encadrer », a-t-il averti, cherchant ainsi à prévenir tout débordement.

Le djiboutien Mahamoud Ali Youssouf succède au Tchadien Moussa Fakhi à la présidence de la Commission de l’Union Africaine

Le désormais ancien ministre des Affaires Étrangères de Djibouti Mahamoud Ali Youssouf est le nouveau président de la Commission de l’Union Africaine succédant au Tchadien Moussa Fakhi Mahamat qui a épuisé ses deux mandats à la tête de cette commission qui fait office de la branche exécutive/administrative ou de secrétariat de l’Union Africaine (UA).
Il y avait notamment l’opposant kényan Raila Odinga, l’ancien ministre des Affaires étrangères malgache Richard Randriamandrato et le ministre des Affaires étrangères djiboutien Mahmoud Ali Youssouf.
Par ailleurs, le gouvernement de la République démocratique du Congo avait annoncé fin janvier 2025 qu’une note de protestation officielle sera prochainement transmise à la Commission de l’Union africaine (UA) à Addis-Abeba.
Rappelons-le, qu’en date du 30 janvier 2017, le Tchadien Moussa Fakhi a été élu président de la Commission de l’Union Africaine, devançant la Kényane Amina Mohamed.
Le Tchadien Moussa Faki avait succédé à la Sud Africaine Nkosazana Clarice Dlamini-Zuma.

Offensives du M23 dans le Sud-Kivu: la France se dit prête à la mise en œuvre de nouvelles sanctions multilatérales contre les auteurs de l’insécurité dans l’Est de la RDC

Vingt-quatre heures après l’assaut des rebelles de la coalition M23/AFC, soutenus par le Rwanda, à Kavumu, dans la province du Sud-Kivu ; la France, a levé le ton.
« La France condamne avec fermeté l’offensive du M23 soutenue par le Rwanda dans le Sud-Kivu en direction de Bukavu, à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC).
Elle est très préoccupée par les combats en cours, qui aggravent une situation humanitaire déjà dramatique.
« La priorité va au retour au cessez-le-feu et à la reprise du dialogue.
Les rebelles du M23, qui ont obtenu le contrôle de plusieurs localités au Nord-Kivu, ont entamé leur avancée vers la province du Sud-Kivu.

RDC: Des ados en armes et des actes de pillage à Bukavu après l’avancée du M23/AFC

La situation reste tendue à Bukavu, où des scènes de chaos sont signalées après l’entrée des combattants de l’AFC/M23 dans la province du Sud-Kivu.
Ce samedi, des tirs sporadiques résonnent toujours dans certains quartiers, tandis que des pillages se poursuivent dans certains coins de la ville.
Dans la ville, l’insécurité grandit.
Des groupes de jeunes, se présentant comme des Wazelondo, soutien aux FARDC, ont été impliqués dans des pillages, selon plusieurs témoignages.
Des civils se seraient également livrés à ces exactions, certains étant qualifiés de “voyous armés” détruisant des commerces, mettant le feu à des boutiques et extorquant des habitants.

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