Les hôpitaux de Goma ont enregistré plus de 4000 blessés, selon le ministre de la Santé

Intervenant lors de la 24ᵉ réunion du Conseil des ministres, la Première ministre Judith Suminwa Tuluka est revenue sur l’accentuation des embouteillages dans la ville-province de Kinshasa, consécutive aux mesures alternées de sens unique.
Soucieuse de permettre aux Kinois et Kinoises de passer une période des festivités de fin d’année sans inquiétude, elle a ordonné l’évaluation de cette mesure.
Pour lutter contre la saturation du trafic routier dans la capitale, la Commission nationale de prévention routière (CNPR) et d’autres services étatiques ont mis en œuvre certaines mesures expérimentales.
Parmi elles figurent une présence accrue de policiers aux intersections, l’instauration de la circulation à sens unique sur certaines routes très fréquentées, et la circulation alternée.
Bien que les autorités demeurent optimistes quant à l’efficacité à long terme de ces initiatives, la population kinoise et les conducteurs expriment leur mécontentement, estimant que ces mesures ont empiré la situation en augmentant les embouteillages.

La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) estime que le dialogue est important et doit être permanent dans tout État.
“La VSV, au regard des crimes et des violations graves des droits humains et du droit international humanitaire commis par le M23 en République Démocratique du Congo, encourage le gouvernement congolais à ne dialoguer qu’avec le régime rwandais et non avec le M23.
Il est important que la communauté internationale œuvre dans ce sens”, recommande la VSV par le biais de son directeur exécutif Rostin Manketa.
Uhuru Kenyatta, ancien président du Kenya, a également participé aux discussions dans le cadre du processus de Nairobi.
Les rebelles du M23, soutenus par Kigali, poursuivent leurs offensives malgré l’accord de cessez-le-feu signé par les parties prenantes.

Cette province éducationnelle comprend les territoires d’Oshwe et Kutu.
Une situation qui, selon lui, crée un malaise social et met en péril la qualité et la gratuité de l’enseignement primaire.
« Il y a trop de mouvements de grève, il y a trop d’irrégularités, et tout ça, ça menace et la qualité et la gratuité de l’enseignement.
Et de délocaliser la paie des enseignants de la province du Maï-Ndombe de la Caritas vers une autre banque payeuse », a plaidé le président de l’intersyndicale des enseignants de la province éducationnelle Maï-Ndombe 3.
Les efforts de Radio Okapi pour avoir la réaction de la Caritas Maï-Ndombe à ce sujet, sont restés vains.