Agression Rwandaise : les alliés de l’UDPS, denonce la démarche de la CENCO-ECC et soutiennent ” la voie loyale qui reste les processus de LUANDA et Nairobi “

Kikwit, 16 janvier 2025(ACP)- 32 séminaristes du grand séminaire Mgr Mbuka Nzundu, à Kikwit, province du Kwilu, au sud-ouest de la République Démocratique du Congo, ont porté pour la première fois leurs soutanes au cours d’une cérémonie à l’église Sacrée Cœur.
a appris l’ACP jeudi de source religieuse.
“Sur les 32 séminaristes, 14 sont du diocèse d’Idiofa, 6 d’Inongo, 2 de Kenge, 9 de Kikwit et 1 de Popo-Kabaka”, a déclaré Mukwa Maze, chargée de communication de l’évêché de Kikwit.
Et d’ajouter que dans son homélie, l’évêque de Kikwit, Mgr Timothée Bodika Mansiyayi, a exhorté les séminaristes et les chrétiens à être la lumière et le sel du monde par leur comportement.

Cette semaine, de la prestation de serment de Brigitte Nsensele Wa Nsensele et Rose Mutombo Kiesse à la cour constitutionnelle au de la jeune handballeuse franco-congolaise Jemima Kabeya, zoom sur celles qui ont fait parler d’elles cette semaine.
Brigitte Nsensele Wa Nsensele a prêté serment cette semaine en tant que Première Présidente du Conseil d’État et de Rose Mutombo Kiesse en tant que Premier Avocat Général près le Conseil d’État.
Titulaire d’une licence en droit privé et judiciaire de l’Université de Kinshasa, Brigitte Nsensele Wa Nsensele succède à Marthe Odio Nonde, désormais nommée juge à la Cour constitutionnelle dans le quota de la Présidence de la République.
Elle prête ainsi serment en tant que Première Présidente du Conseil d’État.
Cinq jours plus tôt, elle avait disputé un match contre Chambray (défaite 22-20) en Ligue Butagaz Energie (D1 féminine), où son équipe occupe actuellement la septième place du classement.

Placé sous le thème “Litaka” (têtard), cet événement a rassemblé des artistes, des penseurs et des praticiens pour une réflexion approfondie sur les origines et les enjeux de l’art performance en République démocratique du Congo (RDC).
Il a insisté sur la diversité des pratiques artistiques en RDC, en se concentrant sur l’héritage et l’impact des mouvements artistiques contemporains.
Sa présentation a permis d’illustrer comment l’art performance peut servir de vecteur de critique sociale et d’affirmation identitaire.
Le collectif Farata, organisateur de ces journées, a souligné l’importance d’un tel événement pour favoriser un dialogue constructif autour de l’art performance.
La journée s’est par ailleurs conclue avec les performances du collectif Libongo et Mpeve, pour le plus grand plaisir du public.