Day: February 12, 2025

Kinshasa, 11 février 2025 (ACP).- Les jeunes ont été invités à se fixer des objectifs pour leur épanouissement dans la société, au cours d’une journée d’échange organisée mardi à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC), sous le thème : « Qui suis-je ».
« Pour que cet épanouissement soit effectif, vous devez découvrir vos talents et vous forger une vision pour mieux vous orienter dans la vie afin d’éviter de tomber dans les bavures de la société, sachant que le financement succède la vision », a-t-elle ajouté.
Elle a, par ailleurs, appelé les parents à accompagner leurs enfants, jeunes filles et femmes de science pour mieux s’épanouir.
« Chers parents, vous devez accompagner les jeunes filles et les jeunes femmes pour une prise de conscience en les aidant à mettre en place des mécanismes pour faire épanouir leurs vies, leurs potentiels », a souligné Mme.
Selon Mme Zimuangana, les femmes ne doivent jamais négliger le potentiel, le don, encore moins le talent que chacune d’elle possède.

Kinshasa, 11 février 2025 (ACP).- Les femmes Congolaises ont été encouragées mardi à former des réseautages et des espaces d’échange essentiel pour leur émancipation, lors d’un entretien à Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), à l’occasion de la journée internationale des femmes et filles de science.
« J’encourage les femmes congolaises à former des réseautage ainsi que des espaces d’échange essentiel pour favoriser leur indépendance et émancipation.
La création de plateformes où les filles et femmes peuvent se réunir, échanger et se soutenir mutuellement est très important », a déclaré Dr Micheline Kweme, médecin œuvrant à Kinshasa.
Le Dr Kweme a, à cette occasion, lancé un appel à toutes les jeunes filles à étudier et à s’engager dans de grandes études, tout en sachant l’urgence d’accompagner les futures générations dans leur quête de réussite et d’égalité.
« Je lance un appel aux jeunes filles à faire des grandes études qui leur ouvriront les portes de l’indépendance, car le savoir est une arme puissante », a-t-elle conclu.

« La transformation numérique est perçue comme un moyen incontournable pour le développement économique, en particulier pour les jeunes, qui représentent une part importante de la population dans notre pays » a déclaré Judith Mampasi, experte en réseaux et télécommunications.
A cette occasion, les intervenants ont échangé avec les participants sur leurs propres expériences dans le domaine du numérique.
Cette interaction a permis de renforcer le sentiment d’espoir, tout en mettant en lumière les nombreux projets innovants qui vont être lancés par ces jeunes dans le secteur du numérique.
Selon elle, cette conférence a marqué une étape importante dans la mobilisation en ce qui concerne l’emploi des jeunes et leur inclusion dans l’économie numérique, en leur montrant que, malgré les défis, le numérique reste une voie d’avenir pour la jeunesse congolaise.
Créée en décembre 2019, cette association juvénile a pour mission de renforcer l’autonomie et les capacités des jeunes en leur fournissant des outils nécessaires pour leur épanouissement.

« C’est une occasion pour moi de recevoir l’ambassadeur de la Corée du sud qui est venu s’enquérir des réalisations du gouvernement dans le secteur du handicap et j’ai plaidé auprès de mon interlocuteur pour la réhabilitation de l’Institut national pour aveugle (Inav) ainsi que la construction d’une école pour les personnes sourdes », a déclaré Irène Esambo Diata, ministre en charge des PVH-APV.
De son côté, le diplomate coréen Jeong Hong Geun, a exprimé sa satisfaction de cette collaboration avec la ministre en charge des personnes vivant avec handicap visant à l’avancement de ce ministère.
« Nous avons eu l’opportunité de comprendre ce que le gouvernement congolais prévoit pour la promotion des personnes avec handicap.
Nous le remercions pour cette initiative et la Ministre nous a proposé deux projets que nous allons étudier la possibilité de les réaliser », a-t-il indiqué.
Ce qui a été également expliqué à la ministre Esambo.

Par contre, Prospère Moke a été nommé procureur général près la Cour constitutionnelle pour le compte du Conseil supérieur de la magistrature.
Parcours élogieux des assermentésLes membres de la Cour constitutionnelle de la RDCLa première personne à prêter serment comme juge constitutionnelle, Marthe Odio Nonde, est originaire de la province du Kwilu.
De 1999 à 2011, elle a été conseillère à la Cour d’Appel, avant de devenir conseillère à la Cour suprême de Justice en 2001.
Il fut substitut du procureur de la République de 1991 à 1996, avant d’être désigné premier substitut du procureur de la République et chef du parquet secondaire en 1996.
Martin Mulumba a, en outre, soutenu que la Cour constitutionnelle est la juridiction pénale du Chef de l’État et du Premier ministre, précisant qu’elle est également dotée de compétences en matière électorale.

Kinshasa,11 février 2025(ACP).- La résilience face aux épreuves a constitué la toile de fond de l’ouvrage ‘’Le silence de l’âme’’ de l’écrivain Joyeux Ngoma de la République démocratique du Congo (RDC), en réédition prévue le 28 février dans le marché du livre, a appris mardi l’ACP de l’auteur.
« Dans le livre ‘’ Le silence de l’âme’’, j’insiste sur la résilience, cette capacité à se relever face aux épreuves, à puiser dans ses ressources intérieures face à l’adversité », a déclaré Joyeux Ngoma, l’auteur du livre.
Et d’ajouter : « Même face à la douleur, à la perte et à la désillusion, il existe une force inébranlable dans l’âme humain.
Malgré les épreuves écrasantes, qu’elles soient causées par la guerre, la migration ou l’illusion,…., il y a toujours un souffle d’espoir, une lueur de rédemption».
« La résilience, c’est ce qui permet de transformer la douleur et la souffrance en une source d’espoir et de force pour l’avenir », a développé l’auteur.

Kinshasa, 11 février 2025 (ACP).- La sixième édition du spectacle ‘’Trône du rire’’ est programmée pour le 28 février dans la commune de Kalamu au centre de Kinshasa en République démocratique du Congo (RDC), en solidarité avec la population dans la partie Est du pays, victime des agressions rwandaises, a appris mardi l’ACP des organisateurs.
« Cette sixième édition du ‘’Trône du rire’’ est spéciale, avec un thème qui nous tient à cœur ‘’Demain, l’Est de la RDC rira sans larmes’’(allusion à la population dans l’Est du pays).
Il vise à apporter de l’espoir et du réconfort à la population dans l’Est de la RDC », a déclaré Modecai Kamangu, promoteur du club ‘’Trône du rire’’.
Et de renchérir : « Malgré les difficultés, la ‘’population de l’Est’’ a toujours gardé leur sens de l’humour et leur joie de vivre.
Selon le promoteur, cette approche s’inscrit dans la continuité des actions visant à sensibiliser le public à la situation dans l’Est la RDC tout en mettant en avant la résilience de la population.

« Les chansons de Grand Kallé sont des intemporelles et des standards de la rumba congolaise.
Pour cause d’écarts de conduite, Kabasele Tshamala et ses quelques amis sont renvoyés de l’école.
Franco et ses amis conquièrent les cœurs des mélomanes kinois et gagnent aussi du terrain.
Kallé fait alors son entrée à la Maison d’édition « Decca-Fonior »via sa représentation à Léopoldville, l’Edition congolaise du disque (Ecodis).
ont participé à ses réalisations depuis la Belgique: Tino Baroza, Edo Clary Lutula, Roger Izeidi, et le saxophoniste camerounais Manu Dibango.

Bandundu, 11 février 2025 (ACP).- La pratique du petit commerce par les mineurs dans la ville de Bandundu au Kwilu (sud-ouest de la République démocratique du Congo), est devenue un phénomène inquiétant pour cette catégorie appelée à fréquenter l’école, a constaté mardi l’ACP, lors d’une ronde sur quelques marchés de cette entité urbaine.
« Ce phénomène s’enracine de plus en plus dans la ville au point qu’il est rare de circuler sans croiser des enfants qui traînent et s’activent dans la rue, se donnant aux activités génératrices de revenus, notamment la vente de l’eau, du pain, des papiers mouchoirs », a déclaré Clément Tayeye, président de la société civile de Bandundu.
Et d’ajouter : « Ils sont encore jeunes et devraient normalement aller à l’école.
Malheureusement ils se sont lancés dans la débrouillardise pour gagner de l’argent très tôt ».
Il sied de noter que plusieurs enfants sont exploités par leurs propres parents pour la survie de leur famille.