Crise sécuritaire à l’Est : l’Union sacrée rejette le « Pacte social pour la paix » des Églises catholique et protestante

L’Armée syrienne a confirmé le retrait de ses unités pour « éviter de mettre en danger la vie des civils ».
La chute de Hama confirme les signes d’effondrement de l’armée syrienne et son incapacité à déployer une contre-offensive efficace.
Renverser le régime d’AssadLa prise de Hama fait surgir des scénarios dramatiques pour le pouvoir syrien.
La ville se trouve à 180 kilomètres de Damas et la voie vers la capitale est désormais barrée par une seule ville, Homs, située à 46 kilomètres.
En une semaine donc, cette coalition a fait reculer le régime et pris le contrôle de la région d’Alep pour continuer ensuite vers le sud et entrer jeudi dans Hama.

Un tragique accident de circulation a coûté la vie à trois personnes, dont Léon Tshimanga, bourgmestre de la commune de Nganza, vendredi 17 janvier, à Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï-Central.
L’incident s’est produit sur la route menant à l’aéroport de Kananga.
Selon les informations recueillies par Radio Okapi, le bourgmestre Léon Tshimanga, qui se déplaçait à pied, tentait de traverser la route lorsqu’il a été violemment percuté par un véhicule roulant à vive allure.
Malheureusement, les trois victimes ont succombé à leurs blessures sur le coup.
Les corps des victimes ont été transportés à la morgue de l’hôpital général de Kananga.

Sur le plan conceptuel, il faut très vite rappeler qu’en droit interne, l’article 5 de la Constitution du 18 février 2006 consacre la théorie de la souveraineté nationale, même si par la suite, il la fait reposer sur le peuple (le compromis).
Tout en affirmant que la souveraineté appartient au peuple, cette disposition lui reconnaît l’attribut d’être nationale.
Évoquant l’hypothèse d’un « abandon partiel de souveraineté », l’article 217 de la Constitution entre alors en contradiction avec l’article 5 de la même Constitution.
On ne peut pas prétendre protéger la souveraineté des États membres et en même temps, leur en prendre soi-même « une partie », c’est antinomique !
Maître Christian-Junior KABANGE NKONGOLOProfesseur à la Faculté de Droit de l’Université de Kinshasa