Day: February 11, 2025

Mais de toute évidence, son PDG Sam Altman n’est pas ouvert à la négociation.
Elon Musk offre 97,4 milliards de dollars pour racheter OpenAISelon un récent article du Wall Street Journal, un groupe d’investisseurs mené par Elon Musk a soumis une offre de 97,4 milliards de dollars pour acquérir OpenAI.
Cette offre intervient dans un contexte de litige entre Elon Musk et Sam Altman.
Une divergence qui a conduit Elon Musk à poursuivre OpenAI en justice à partir du début de l’année dernière.
Cela sans toutefois oublier d’envoyer un pic cinglant à Elon Musk en lui proposant de racheter X (anciennement Twitter) pour 9,74 milliards de dollars.

« En prévision de la prise en compte de ladite action, un montant de CDF 70.000.000.000 était positionné dans l’enveloppe globale ci-haut indiquée.
En août dernier, les 2 500 magistrats restants avaient organisé une manifestation à Kinshasa, exprimant leur frustration face aux retards dans leur nomination.
Après avoir défilé dans les rues de la capitale, ils avaient passé la nuit devant la résidence du président de la République à la Cité de l’OUA.
À l’issue du concours organisé par le CSM en 2022, 5 000 candidats avaient été déclarés admis.
Avec les démarches en cours, le gouvernement espère combler les nombreuses lacunes dans le système judiciaire, particulièrement dans les juridictions de l’intérieur du pays, et renforcer ainsi l’efficacité de la justice congolaise.

Cette démarche fait suite à la détérioration de la situation sécuritaire et humanitaire depuis la prise de Goma par la rébellion du M23 soutenue par le Rwanda.
L’engagement auprès des communautés dans les zones de retour vise à résoudre les conflits liés à la terre et à promouvoir la coexistence pacifique.
“Les acteurs humanitaires doivent établir et respecter des principes d’engagement neutres, indépendants et impartiaux pour garantir l’accès aux populations affectées.
D’autres ont cherché refuge dans les communautés d’accueil et dans diverses structures, telles que des centres de santé, des écoles et des églises à Goma.
Global Protection Cluster (GPC) est un réseau d’organisations non gouvernementales (ONG), d’organisations internationales et d’agences des Nations Unies (ONU) engagées dans des activités de protection dans les crises humanitaires, notamment les conflits armés et les catastrophes.

Des combats ont repris l’après-midi de ce mardi 11 février entre les rebelles du M23 soutenus par les militaires rwandais et les forces armées congolaises appuyées par les wazalendo sur la ligne de front de Lubero (Nord-Kivu), après quelques semaines d’accalmie.
Des affrontements reprennent au lendemain d’une attaque meurtrière à la bombe larguée dimanche soir par le M23 et qui a causé la « mort d’un civil et des militaires congolais », à en croire les sources d’ACTUALITE.CD.
Les rebelles ciblent les positions de nos militaires et les FARDC répliquent », s’inquiète ce notable de Ndoluma.
Une reprise des combats malgré l’appel au cessez-le-feu lancé samedi par les chefs d’État et des gouvernements des pays membres de la SADC et de l’EAC lors d’un sommet conjoint consacré à la situation sécuritaire dans l’est du Congo, tenu en Tanzanie.
Pour l’instant, à Lubero, la ligne de front avancé est située entre Mambasa, chef-lieu de la chefferie des Bamate contrôlé par l’armée congolaise et Alimbongo, un village stratégique contrôlé par les rebelles du M23 appuyés par les militaires Rwandais.

Alors que la vie semble reprendre progressivement son cours normal dans la ville de Goma (Nord-Kivu) après plusieurs jours de paralysie à la suite d’intenses combats entre les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda et les FARDC, les besoins humanitaires restent critiques pour des milliers de personnes déplacées et vivant dans des camps,des écoles et églises dans et autour de la ville.
Ces derniers jours, poursuit la source citée, les équipes MSF ont repris leurs activités médicales dans plusieurs sites de déplacés.
“Nous traitons les victimes de violences sexuelles, distribuons de la nourriture et de l’eau et installons des installations sanitaires.
La question relative à la situation humanitaire dans la ville de Goma chef-lieu de la province du Nord-Kivu était abordée lors du sommet conjoint SADC-EAC à Dar-es-Salaam en Tanzanie.
Depuis l’occupation de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, par la rébellion du M23 soutenue par l’armée rwandaise, la situation sécuritaire et humanitaire s’est détériorée davantage.

L’union par fusion de ces éléments, jusqu’alors distincts, donnerait naissance à une réalité complexe.
En effet, un lien indéniable unit le problème bilatéral entre la RDC et le Rwanda à la question de l’activisme de ces groupes armés dans l’Est du pays.
Point n’est besoin de rappeler qu’il y a des groupes armés rwandais dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
ACTUALITE.CD : En quoi la fusion de deux processus poserait-elle vraiment problème à la RDC ?
Il est envisageable que le projet porté par les religieux soit intégré dans le cadre de l’évolution envisagée du processus de Nairobi.

La ville de Kisangani, plongée dans un délestage électrique drastique depuis dimanche, a également connu la sécheresse de robinets dans plusieurs quartiers.
A la suite d’une panne à la centrale hydroélectrique de la Tshopo, la REGIDESO n’a pas été en mesure de fournir la quantité d’eau habituelle dans la ville.
Pendant ce temps, le gouvernement provincial a suppléé la REGIDESO en combustible pour desservir la ville.
Une organisation de la société civile a demandé à la REGIDESO de rendre public un horaire de fourniture d’eau dans la ville de Kisangani.
À la SNEL, la réparation de la centrale ira jusqu’à jeudi à 10h.

Cette démarche fait suite à la détérioration de la situation sécuritaire et humanitaire depuis la prise de Goma par la rébellion du M23 soutenue par le Rwanda.
L’engagement auprès des communautés dans les zones de retour vise à résoudre les conflits liés à la terre et à promouvoir la coexistence pacifique.
“Les acteurs humanitaires doivent établir et respecter des principes d’engagement neutres, indépendants et impartiaux pour garantir l’accès aux populations affectées.
D’autres ont cherché refuge dans les communautés d’accueil et dans diverses structures, telles que des centres de santé, des écoles et des églises à Goma.
Global Protection Cluster (GPC) est un réseau d’organisations non gouvernementales (ONG), d’organisations internationales et d’agences des Nations Unies (ONU) engagées dans des activités de protection dans les crises humanitaires, notamment les conflits armés et les catastrophes.

C’était au lendemain du sommet conjoint SADC-EAC à Dar es Salam (Tanzanie), consacré à la crise sécuritaire dans l’est de la RDC.
Et une résolution pacifique par le biais d’un processus fusionné Nairobi-Luanda qui se centrera sur le dialogue.
“Il faut se concentrer sur le dialogue inter-congolais entre les parties en RDC.
La RDC et ses voisins.
Nous avons exhorté le gouvernement de la RDC à assurer la sécurité du personnel diplomatique et des missions de paix”, a insisté M. Ruto.