Day: February 11, 2025

«Le café Robusta enregistre une hausse de prix sur les marchés internationaux durant la période du 10 au 15 février 2025, en se négociant à 5,58 USD contre 5,50 USD la période précédente, soit une hausse de 1,45% le Kilogramme», a-t-on lu.
Selon ce document, outre le café Robusta, un autre produit agricole et menu forestier marchand accuse une hausse sur les marchés internationaux, à savoir le café Arabica.
Ce produit agricole se négocie à 7,38 USD le kilogramme, la période sous examen contre 6,84 USD, la période précédente, soit une hausse de 7,89%.
Il se négocie à 10,71 USD le kilogramme contre 11,31 USD, soit une baisse 5,31%.
.La hausse, la baisse et la stabilité des prix des produits miniers marchands, agricoles et menus forestiers, indique la source, sont consécutives à l’offre et la demande sur les marchés internationaux et de la chaîne d’approvisionnement.

Katoy/316, 11 février 2025(ACP).- Les opérateurs économiques du village Katoy/316 dans la ville de Kenge, province du Kwango, au sud-ouest de la RDC ont été sensibilisés au civisme fiscal lundi, au cours d’une matinée fiscale organisée par la Direction générale des recettes du Kwango (DGRKWA), a appris l’ACP mardi de source administrative.
«Nous sommes en train de vous sensibiliser pour que tout citoyen qui habite le Kwango et qui a une activité économique à travers la province puisse savoir comment se comporter vis-à-vis de l’Etat et de la province en tant que opérateurs économiques.
Vous avez l’obligation de payer les impôts et taxes à la province», a-t-il ajouté.
Le directeur général de la Dgrkwa a fait savoir que la sensibilisation au civisme fiscal vise à doter à la province des moyens de son fonctionnement à travers l’Impôt sur le revenu locatif (IRL) et l’Impôt foncier (IF) dont la DGRKWA a la mission de mobiliser et canaliser des recettes.
Celles-ci, a-t-il, souligné, permettent au gouverneur de réaliser les projets inscrits dans son programme d’action pour le développement de la province du Kwango.

Kinshasa, 11 février 2024 (ACP).- Le progrès et l’évolution de l’intelligence artificielle (IA) dans le monde suscite fascination et inquiétude en République démocratique du Congo, selon un spécialiste du numérique, lors d’un entretien mardi avec l’ACP.
«Le développement sans cesse rapide de l’Intelligence artificielle suscite à la fois fascination pour les innombrables bienfaits qu’elle procure, mais également des incertitudes.
Chaque avancée technologique apporte de nouvelles opportunités, mais aussi des risques liés à son détournement par des acteurs malveillants», a déclaré M. Trésor Kalonji, spécialiste du numérique.
Cependant, le spécialiste a affirmé qu’il serait réducteur de ne voir en l’IA qu’une menace.
L’homme n’est pas irremplaçable et chaque innovation le pousse à se réinventer», a-t-il soutenu.

Il s’inscrit également, fait-il savoir,dans une démarche de lutte contre la déforestation et la pollution plastique, tout en favorisant l’autonomisation économique des jeunes des milieux défavorisés.
« En plus de l’éducation civique, aujourd’hui, nous ajoutons à notre liste de sensibilisation les questions environnementales », a-t-il déclaré.
À travers ce projet, le RODHECIC et le REBAC voudraient résoudre plusieurs problèmes interconnectés qui affectent la commune de Ndjili à Kinshasa, entre autres :•La déforestation et la dégradation des forêts ;•La pauvreté et le chômage des jeunes ;•Les maladies pulmonaires, le paludisme et les infections ;•L’insalubrité des quartiers ; etc.
« Ce projet économique et écologique s’inscrit dans une démarche de lutte contre la déforestation et la pollution plastique.
L’originalité de cette initiative est de lier la fabrication des foyers améliorés à la sensibilisation et à la salubrité, à la lutte contre la déforestation et au changement climatique.

Les deux nouveaux juges et le nouveau procureur général près la Haute Cour ont prêté serment, ce mardi 11 février 2025, devant le président de la République, Felix-Antoine Tshisekedi, au cours d’une cérémonie organisée au Palais du peuple.
Les trois assermentés ont jugé loyauté et fidélité à la Constitution et aux lois du pays.
Brefs parcours de ces nouveaux membres de la Cour constitutionnelle1.
3.. John Prosper Mole MayeleAvant sa nomination, il était avocat général près la Cour de Cassation.
Il a été tour à tour Procureur général près la Cour d’Appel de Kinshasa/Gombe et Procureur général près la Cour d’Appel de l’Ituri.

D’après une dépêche de la cellule de communication du ministère du Portefeuille parvenue ce jour à 7SUR7.CD, ces réformes profondes envisagées ont pour objectif de faire des entreprises publiques des « autoroutes » du développement.
L’objectif est de faire de ces entreprises des autoroutes du développement, capables de générer des bénéfices sociaux pour la population », lit-on dans la dépêche.
À en croire cette même source, Albert G. Zeufack a annoncé que la Banque mondiale est prête à accompagner ces réformes à travers différents programmes.
La rencontre entre le patron du portefeuille de l’État congolais et Albert G. Zeufack, lit-on dans la dépêche, témoigne de la volonté du gouvernement congolais de collaborer avec la Banque mondiale pour améliorer la gestion des entreprises publiques.
La rencontre entre le ministre du Portefeuille et le directeur des opérations de la Banque mondiale marque une étape importante dans la volonté du gouvernement congolais d’améliorer la gestion et la performance des entreprises publiques », renchérit la même source.

Cela pourrait entre autres s’expliquer par l’effet revenu lié à la croissance économique.
En même temps, il est clair que le gouvernement a donné une certaine priorité aux dépenses du secteur social liées à l’enfance (33,16 % du Budget).
Premièrement, les tensions politiques persistantes et la guerre dans l’Est du pays représentent une source d’incertitude quant à la mise en œuvre du budget 2025.
Parallèlement, les effets d’éviction des dépenses publiques, qui pourraient rediriger les ressources des dépenses sociales vers les dépenses sécuritaires et/ou en réponse aux résurgences de flambées épidémiques, ne sont pas entièrement à exclure.
Ces réformes devraient contribuer à améliorer le niveau d’exécution budgétaire et à renforcer la transparence et l’efficacité de la gestion des finances publiques.