La RDC interdit le survol et l’atterrissage des aéronefs immatriculés au Rwanda

L’objectif était double : présenter un bilan des actions menées depuis 2019 et détailler la nouvelle stratégie de la Première Dame pour le prochain quinquennat.
Cette vision reposait sur quatre axes clés : l’éducation, la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG), la santé et l’autonomisation.
Renforcer le leadership des jeunes filles et adolescentes par des formations et des campagnes de sensibilisation pour assurer leur maintien dans le système éducatif.
Soutenir la mise en place et la réhabilitation de centres de récupération et de formation professionnelle pour les filles vulnérables.
Plaider pour l’élimination des barrières à l’éducation, telles que les VBG, les maladies tropicales négligées (MTN) et les entraves culturelles.

« Bien que les lois et les politiques soient indispensables, nous savons qu’elles ne suffisent pas à elles seules.
Les stéréotypes de genre et les idées reçues profondément ancrées continuent de limiter les opportunités pour de nombreuses femmes.
« Dans un souci d’inclusivité, j’ai initié la création d’un ministère lié à la prise en compte des besoins et des droits des personnes.
La gouvernance inclusive vise à garantir que les perspectives et les expériences des femmes soient prises en compte dans l’élaboration des politiques et dans la gestion des institutions.
« Cet événement, placé sous le thème de gouvernance inclusive, est une véritable tribune d’espoir pour les femmes de la République démocratique du Congo.

« À partir d’aujourd’hui, la Cédéao et les pays de l’AES doivent initier et négocier les formalités de ce retrait » ont ajouté les sources.
Les pays de l’AES ne quittent pas l’Uemoa qui échappe étrangement aux accusations de manipulation dont la Cédéao fait l’objet.
Le Mali, le Niger et le Burkina ont déjà annoncé que les ressortissants de la Cédéao pourraient entrer sans visa dans leur espace commun.
Les « formalités de retrait » à négocier concernent également l’avenir des sièges des institutions de la Cédéao qui se trouvent dans l’espace AES, ou celui des ressortissants de l’AES actuellement fonctionnaires au sein de la Cédéao.
Parce que la Cédéao avait défini ce qu’elle avait appelé la « Vision 2050 de la Cédéao : La Cédéao des peuples, paix et prospérité ».